Le « full hybride parallèle » consiste à intégrer le moteur électrique entre le moteur à combustion et la transmission. C’est un challenge, en raison du faible espace disponible. Mais, l’avantage est qu’il est possible d’utiliser une boîte automatique, une boite CVT ou une boîte à double embrayage.
L’autre choix technique est ce que Bosch appelle « l’axle split hybride ». C’est une chaîne de traction hybride qui associe un moteur à combustion à l’avant et un moteur électrique monté sur l’essieu arrière, avec en prime une transmission intégrale. C’est la configuration de la Peugeot 3008 Hybrid4.
L’équipementier propose par ailleurs une fonction « roue libre ». Jusqu’à une vitesse de 160 km/h, il suffit que le conducteur lève le pied de l’accélérateur pour que le moteur thermique se coupe et que le véhicule continue d’avancer sans consommer de carburant. Pendant ce laps de temps, tous les systèmes de sécurité et de confort continuent de fonctionner sans restriction. Dès lors que le conducteur appuie de nouveau sur l’accélérateur ou le frein, le moteur à combustion se remet en route, de façon imperceptible.
Mais, l’avenir passe selon lui par l’hybride rechargeable. Avec une batterie de 16 kWh, qu’il suffit de recharger régulièrement, et une traction hybride, le conducteur peut à la fois rouler en mode électrique en ville et parcourir de longues distances avec le moteur thermique.
Demain, on parlera de l'électro-mobilité
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