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lundi 13 février 2012

Vision Connected Drive : le véhicule connecté du futur selon BMW

BMW fera l'événement au salon de Genève avec sa technologie Connected Drive. La firme à l'hélice est notoirement en avance sur la communication embarquée, à tel point que les derniers développements font carrément l'objet d'un concept car. Celui-ci, qui a pour nom Vision Connected Drive, est un superbe roadster. Il est aussi réussi que Vision Efficient Dynamics, qui lui illustrait au salon de Francfort de 2009 la réduction des émissions de CO2. Si l'on fait abstraction du design, ce concept car innove par son mode d'affichage et des fonctions liées à la navigation et à la connectivité qui vont rendre la vie à bord encore plus agréable. Les geeks vont adorer.


Voyons pour commencer une vidéo :



Ainsi donc, le nouveau système d’affichage et de commande équipant ce concept Vision Connected Drive est aussi visionnaire que novateur. Il y a en fait trois interfaces différentes, toutes les trois interconnectées.


La première est l'affichage tête haute en trois dimensions. Une grande partie du pare-brise devant le conducteur fait office de surface de projection pour relayer les infos dans le champ de vision du conducteur. À bord de la BMW Vision Connected Drive, ce dispositif de réalité augmentée constitue la zone d’affichage principale et se substitue au combiné d’instruments classique. Les informations essentielles pour la conduite telles que la vitesse, les indications de navigation ou les alertes sont directement projetées sur le pare-brise. Les informations semblent planer au-dessus du capot moteur.
Et la nouveauté, c'est une technologie nouvelle d’affichage qui permet de superposer différents contenus en trois dimensions. Grâce à cette superposition, le système peut hiérarchiser visuellement les signaux. Ainsi par exemple, la vitesse reste visible en arrière-plan, tandis que les indications relatives au guidage à destination ou les alertes sont affichées au premier plan.


La possibilité de représenter la situation de conduite en réalité augmentée est une autre particularité de l’affichage tête haute en trois dimensions. On peut ainsi incruster par exemple des indications de navigation directement sur la route ou mettre en relief certains bâtiments ou bien des véhicules ou piétons constituant un danger éventuel. Ces incrustations permettent au conducteur de saisir les informations importantes plus rapidement et d’agir en conséquence.


L’affichage tête haute en trois dimensions se double d'un combiné d’instruments à programmation libre, lui aussi en trois dimensions, qui fait office de visuel d’information central. C'est le second point fort de ce concept car. Lui aussi est disposé directement dans l’axe de vision de ce dernier et prend la place du combiné d’instruments classique. Il vient approfondir les informations fournies par l’affichage tête haute, par exemple par une représentation cartographique relative au guidage à destination en cours, des informations de divertissement comme les pochettes d’albums ou playlists ou encore des messages (SMS et e-mails). Comme sur l’affichage tête haute, l’utilisation de plusieurs plans d’affichage permet de représenter des contenus en trois dimensions et de les superposer pour les filtrer selon leur importance.


L’écran central traditionnel s’étant substitué au combiné d’instruments, le passager se voit attribuer sa propre interface : le visuel d’information passager (ou Passenger Information Display). Entièrement séparé des deux instruments d’affichage du conducteur, il met sa propre zone d’interaction à la disposition du passager. Non lisible par le conducteur - dont il ne risque donc pas de détourner l’attention-, cette interface permet au passager de gérer individuellement les informations et le programme de divertissement. Mais, elle permet aussi d’appeler des informations supplémentaires et de les transférer ensuite, d’un simple geste de la main, au combiné d’instruments pour les porter à la connaissance du conducteur. C’est cette possibilité qui rend le Passenger Information Display à bord de la Vision Connected Drive si exceptionnel et traduit dans le détail l’idée de la mise en réseau qui est à la base de l'approche Connected Drive chez BMW. Le passager peut ainsi rechercher des informations, des morceaux de musique et des adresses pour le guidage à destination pendant le voyage, puis les répercuter au conducteur.
L’interface du passager est commandée par une surface tactile disposée en dessous d’elle et pilotée par des gestes. Des points lumineux dans l’habillage conducteur d’électricité du tableau de bord réagissent au moindre contact et fournissent un retour d’information de l’interaction entre le véhicule et le passager.


Enfin, la marque allemande a développé un "navigateur émotionnel". Réservé au visuel du passager, il permet de se familiariser avec l’environnement parcouru grâce à des informations affichées dans un style magazine. Le passager peut fouiner dans les informations et effectuer des recherches sur les sujets qui l’intéressent en définissant des filtres et se voit ainsi proposer un accès inédit – à la fois émotionnel et intuitif – aux informations. Le navigateur émotionnel remplit donc deux fonctions. D’un côté, il élargit la perception du passager en lui fournissant un surcroît d’informations sur son environnement, de l’autre, il sert de filtre ne laissant passer que les informations désirées ou pertinentes. Plusieurs filtres (sémantiques) permettent de limiter la quantité des informations proposées par le navigateur émotionnel de manière ciblée et d’offrir un accès personnalisé aux informations disponibles.
Grâce aux informations du navigateur émotionnel, un bâtiment devant lequel on serait peut-être passé sans même le regarder, peut ainsi attirer l'attention du passager. Les informations proviennent du "cloud", autrement dit de serveurs à distance et de services géolocalisés, reliés au navigateur émotionnel. On peut imaginer par exemple d’utiliser ces informations par la suite, par exemple pour guider le conducteur à un restaurant qu’on vient de découvrir, pour acheter des billets d’entrée pour une exposition actuelle ou pour faire une visite guidée de la ville en mode multimédia.


Comme le montre bien l’étude BMW Vision Connected Drive, l’automobile de demain sera hautement intégrée et se fondra, donc, tout naturellement dans l’univers interconnecté. Cette mise en réseau ne se contentera cependant pas d’établir de simples liens entre le véhicule et le monde extérieur, mais visera l’interconnexion la plus intelligente possible. C'est là que les solutions de filtrage prennent toute leur importance, car, à l’avenir, nous pourrons être "en ligne" presque toujours et presque partout. L’objectif consiste à mettre l’information idéale à la disposition du conducteur, du passager avant ou des systèmes embarqués. Des services locaux, liés à l’humeur ou à la situation, tels que la fonction de Recherche locale de Google ou bien le Navigateur émotionnel mis en oeuvre sur le concept car BMW Vision Connected Drive, ne sont qu’une première étape. Mais, peut-être que dans dix ans, les fonctions réalisées sur l’étude BMW Vision Connected Drive seront indissociables de notre vie quotidienne.

1,5 million d'utilisateurs pour Coyote

Après la certification NF « Logiciel », qui reconnaît la conformité de ses produits et services dans le cadre de la nouvelle législation, voici une autre bonne nouvelle pour Coyote. La jeune société française compte désormais 1,5 million d'utilisateurs. Un chiffre qui est, selon la marque, le témoignage de la confiance conservée, voire accrue, que les usagers de la route accordent aux solutions d’aide à la conduite proposées par Coyote System. Et comme le système repose justement sur la Communauté, c'est l’assurance d’avoir des informations de plus en plus pertinentes en provenance d’un nombre d’utilisateurs en progression constante.
 « Ce cap de 1,5 million, c’est bien plus qu’un simple chiffre sur un compteur, c’est le signe encourageant de tous les usagers de la route qui croient que nos solutions sont une véritable contribution à la sécurité routière. » a déclaré Fabien Pierlot, Président Directeur Général de Coyote.

Nokia et Microsoft forment un partenariat stratégique

Alors que le Mobile World Congress s'ouvre aujourd'hui à Barcelone, Nokia et Microsoft ont annoncé leur intention de former un partenariat stratégique étendu, s’appuyant sur leurs forces et leurs expertises complémentaires dans le but de bâtir un nouvel écosystème mobile mondial.
Cette alliance aura des conséquences dans le domaine de l'automobile. Selon les termes de l'accord, Nokia Maps ferait partie intégrante des services de cartographie de Microsoft. Par exemple, le service Maps serait intégré au moteur de recherche Bing de Microsoft et à la plate-forme de publicité adCenter pour proposer une expérience de recherche et de publicité locale unique. Il faut rappeler que Nokia est le propriétaire de Navteq, le leader mondial de la cartographie numérique. Si l'accord prévoit avant tout pour Nokia d'adopter Windows Phone comme principale plate-forme pour ses smartphones, il aura sans doute des répercussions dans le domaine des applications. Les développeurs auraient accès à un éco système mondial, cumulant la force de frappe de Nokia et de Microsoft. Il ne faut pas oublier non plus que le géant du logiciel est impliqué dans l'automobile, tout comme Nokia, qui veut faciliter l'adoption du smartphone dans le véhicule. L'alliance entre les deux géants pourrait faire contrepoids à l'hégémonie d'Apple et les velléités de contrôle du marché par Google avec sa plateforme Android.

La Chine va t elle réussir à imposer le véhicule électrique ?

Selon une étude de la Banque Mondiale, la Chine devrait dépasser les USA à partir de 2020 pour les ventes de véhicules électrifiés. A cette date, le marché devrait représenter 2,2 millions (11 % des immats), contre 1,5 million en Amérique, sur un total de 8 millions dans le monde. Ce nombre comprend aussi bien les véhicules électriques à batteries que les hybrides rechargeables.


Pourquoi un tel enthousiasme ? Il est vrai que la Chine a prévu d'investir 15 milliards de dollars, dans les 5 ans à venir, pour doper le marché de l'électrique avec des infrastructures de recharge. C'est un effort très important. Par ailleurs, le pays a étendu aux 25 plus grandes villes ses tests de véhicules électriques et propose dans 5 d'entre elles des aides importantes à l'achat pour les particuliers. Cependant, les chinois restent de marbre devant ces annonces. Ils préfèrent pour le moment acheter des modèles haut de gamme, de préférence allemands, et bling bling tendance émissions de CO2. Clairement, l'électrique et l'hybride ne sont pas dans les priorités. Selon l'association des constructeurs chinois, il ne s'est vendu que 5 655 voitures électriques et 2 713 hybrides en 2011.


Toutefois, les pouvoirs publics ont un réel pouvoir de contrainte. Pékin a par exemple durci les règles, en imposant un tirage au sort pour limiter le trafic les jours de pollution. A contrario, les utilisateurs de véhicules électriques ne seraient pas concernés par ces interdictions. Mais surtout, le pouvoir souhaite également que les constructeurs et les fabricants de batteries coopèrent pour baisser les coûts. Et ça, ça pourrait donner des résultats.

Audi n'est pas prête a céder sa suprématie sur le monde de l'endurance.

Attendu depuis quelques mois, voilà enfin le nouveau bolide d'Audi dédié à l'endurance à savoir le R15 TDI. Et oui! 3 ans seulement après l'introduction de la R10, celle-ci prit sa retraite tant bien forcé que mérité. Cette retraite fus forcé puisque la R10 à bien pu gagner le dernier Le Mans grâce notamment à la régularité de ses performances sur la piste mais aussi au problème qu'avait eu la 908 de Peugeot - sa concurrente directe - En effet, et depuis que la 908 à fait ses premier tours de circuit en 2007 et jusqu'à la fin de la saison 2008, la R10 a été bel et bien dépassé en terme de performances pures, ce qui a fait que le besoin de pousser encore plus loin les performances de ses voitures commençait bien à se sentir chez les dirigeant d'Audi. Chose qui s'est bien sur concrétisé par l'introduction cette année de toute nouvelle R15 qui aura pour objectif, comme celle qui l'avait précédé, de contrer les bolides de Peugeot et de gagner, gagner et encore gagner.
Vue son apparence, on constate que la R15 n'a pas hérité des traits de design de sa petite sœur. En effet, elle affiche un ligne aérodynamique très novatrice puisque à vue d'œil on constate que presque tout a été redessiner : bouclier, entrée d'air (à l'avant comme sur les côté), pontons latéraux, ailerons...
Alors que les premières photos ont déjà fait le tour du monde, le constructeur aux anneaux a été très discret concernant la mécanique qui anime sa nouvelle monture. Tout ce qui a filtré est qu'elle sera équipé d'un engin moins volumineux que le V12 5.5 litres de son prédécesseur.
Il ne nous reste plus qu'à attendre plus d'infos puisque cette 908 killer, si je ne m'abuse, fera sa première aux 12 heures de Sebring au mois de mars.

Bentley : un SUV au Salon de Genève ?

La gamme de la marque de luxe pourrait donc s'agrandir dans peu de temps. Pour l'instant ce ne sont encore que des rumeurs, mais Bentley pourrait profiter du prochain rendez-vous helvète qui se tiendra dans quelques semaines pour dévoiler son SUV.

Concept ou véhicule de série, rien n'a fuité, mais l'idée de voir un modèle haut de gamme sur ce segment se fait de plus en plus insistante.


Le constructeur britannique reste muet sur le futur design ou le nom de son véhicule, mais ce dernier devrait reposer sur la plate-forme du groupe Volkswagen sur laquelle sont produits les Porsche Cayenne ou Audi Q7.


Pas de détails donc pour ce futur SUV, mais les dernières rumeurs parlent d'une motorisation W12 pour ce nouveau modèle.


Si Lamborghini devrait montrer sa vision du SUV en avril prochain au Salon de Pékin, Bentley pourrait donc être le premier à dévoiler son modèle.


Provenance du site Turbo.fr

La Porsche Cayman 2 presque à découvert

Reposant sur le même châssis 981 adopté par le dernier opus de Boxster qui sera officiellement présenté au Salon de Genève début mars, le Porsche Cayman pourrait avoir les honneurs du Mondial de l'Automobile qui débutera fin septembre à la Porte de Versailles.

Débusqué par
Auto Evolution en phase de test, le second opus du Cayman apparait davantage comme une évolution du modèle actuel que comme un véhicule totalement inédit.

Suivant la recette utilisée pour la star 911 et le Boxster 3, les designers de la marque allemande ont visiblement décidé de ne pas dérouter les clients. A vrai dire, on ne s'en plaindra pas, tant le design originel s'avère particulièrement homogène. On remarquera tout de même un pavillon moins incliné ainsi qu'un fenestron plus important qui confèrent un caractère davantage grand tourisme au profil.


Côté motorisations, cette Porsche Cayman 2 devrait bénéficier des mêmes blocs que le Boxster 3, en offrant des puissances assez voisines avec un moteur fort de 274 ch en entrée de gamme et un bloc d'au minimum 320 équidés pour le Cayman S.

Provenance du site Turbo.fr

La Mercedes CLS Shooting Brake poursuit ses essaisi

Deux ans après un concept dévoilé au Salon de Pékin, la CLS Shooting Brake de série ne devrait pas se faire attendre plus longtemps et devrait être présentée cette année.

Quelques mois plus tard, au Mondial de l'Automobile de Paris 2010, le constructeur allemand avait dévoilé la deuxième génération de son coupé quatre portes. 2012 sera marquée donc par l'arrivée de sa déclinaison break.


En attendant sa première apparition mondiale, la mule d'essai poursuit ses tests comme le prouvent ces clichés espions publiés par nos confrères de
Worldcarfans.

Il ne devrait pas y avoir de grandes différences au niveau du design par rapport à la version berline de la voiture, les seuls changements devraient se situer sur la partie arrière du véhicule. Avec les camouflages, il n'est pas facile de se faire une idée sur ces changements, mais la ligne de toit semble être un peu plus inclinée.


En ce qui concerne la gamme de moteurs, elle devrait reprendre les motorisations déjà disponibles et cette CLS Shooting Brake devrait elle aussi bénéficier d'une déclinaison AMG.


Il ne reste désormais plus qu'à connaitre la date de la présentation officielle de cette version break de la Mercedes CLS.


Provenance du site Turbo.fr

Lexus RX 450h restylé : premières photos

Lancée en juin 2009, la troisième génération du Lexus RX se vend chez nous essentiellement en motorisation hybride où elle continue d'ailleurs de jouer un rôle important en terme d'image pour un constructeur précurseur en matière de motorisations essence/électrique.

Histoire de rester en phase avec le reste de la gamme, le manufacturier premium japonais s'apprête à apporter quelques modifications cosmétiques à son célèbre crossover. Le changement le plus notable apparaît sur la proue avec l'adoption de la calandre en sablier, aperçue sur la dernière génération de routière GS et que l'on devinait déjà sur la compacte CT 200h.


De quoi renforcer le dynamisme de ce futur Lexus RX 450h, tout comme l'adoption d'un bouclier remodelé et de diodes électroluminescentes en forme de tête de flèche à l'avant, alors que la poupe gagne des feux légèrement redessinés. L'habitacle gagne quelques inserts métallisés, notamment sur le volant, tandis qu'une version dénommée F Sport proposera un kit carrosserie spécifique plus agressif.

Provenance du site Turbo.fr

Opel Astra Sedan premières photos

On a déjà une idée de ce à quoi ressemblera ce modèle destiné essentiellement aux marchés d'Europe orientale et méridionale.



En effet, lancée au printemps 2009, l'Opel Astra cinq portes que l'on connaît chez nous est également distribuée en Chine sous le nom de Buick Excelle XT dont une variante à malle dénommée Excelle GT a été présentée un an plus tard.

Légèrement recarrossé, ce modèle est désormais aussi commercialisé chez l'Oncle Sam sous le nom de Buick Verano après sa première mondiale au Salon de Detroit 2011. Hormis la calandre baroque qui sera troquée au profit de la proue plus sage de l'Astra, c'est donc une cousine assez proche de ces deux modèles qui devrait arpenter les routes du Vieux Continent d'ici la fin de l'année.


C'est vraisemblablement au Mondial de l'Automobile qui se tiendra à la Porte de Versailles à l'automne, que le manufacturier de Rüsselsheim exposera cette nouvelle berline tricorps.


Provenance du site Turbo.fr

Still cold !


La Chine punit GM

GM dont la survie dépend principalement de la Chine , peut trembler . En effet , euphorisé par les résultats de ces dernières années , GM ne peut pas suffisamment fournir et dès 2010 a envisagé la construction d'"une nouvelle usine capable de produire 300 000 véhicules supplementaires par année .Oui mais voilà l'état chinois qui tire les ficelles des équilibres économiques du pays a décidé de freiner cette frénésie de la voiture individuelle et 2011 a vu les ventes stagner voire régresser . Et alors que GM attendait son feu vert , le projet n'a finalement pas été validé .Parce qu'entre temps le veto américain frappant Youngman n'a pas du tout plu aux instances chinoises qui elles avaient approuvé le plan .
Alors aujourd'hui GM se voit contraint de ranger ses plans expansionistes dans un tiroir pour ne pas dire dans ses valises :
"Nous n'allons pas dépenser un milliard de smackers si nous devons être expulsés" a déclaré un porte-parole de chez GM .


So far, G.M.'s biggest problem in China has been keeping up with demand.
The four factories they co-habit with SAIC can only turn out so many vehicles.
So they have been making plans for a brand new assembly plant that will cost over one billion dollars to erect and will be able to build an additional 300,000 cars.
But that was against yesterday's reality.
Traffic congestion and pollution was becoming a real problem in China's major cities.  So the Government, which can do pretty much what it pleases, cut the number of new cars it would allow to be sold.
Result, the growth in China's new car market was basically nil in 2011.
And there's no sign that these quotas will be eased.
Second issue.
China is in the throws of selecting a whole new set of leaders.  We shouldn't say "China" as much as "the Communist Party."  These new leaders may have much different ideas about foreign companies, car ownership, allowable profits, and a host of other issues.
If they figure that widespread new car ownership is not in the national interest, we have seen they have no qualms about shutting off the tap.
If they decide that foreign car companies have no place in their future China, they can simply pass a law.
They have already reversed their acceptance of foreign investment in local firms.  And in China, if something isn't allowed, its pretty much forbidden.
Finally, there's the imbroglio over the sale of Saab to China's Youngman.
G.M. scotched that deal, fearing their technology originally given to Saab would be made freely available to the whole of China's car industry.
This cannot win them many hearts in Beijing.
And Youngman is still in the hunt.
G.M. recently received approval to go ahead with the plant from the local Environmental Protection Bureau.
But G.M. now says that a plan hasn't been finalized.
Which is corporate-speak for "We're not going to spend a billion smackers if we're going to get kicked out."
Though is a somewhat hackneyed phrase, doing business in China has many moving parts.
No wonder G.M. is being cautious.

BMW et Mercedes : Un rapprochement très probable dans l'horizon.

Les deux ennemies jurés, BMW et Mercedes, pourraient bien entrer, dans peu de temps, dans une nouvelle ère qui marquerait l'histoire des deux constructeur : collaboration et union face au danger venant de l'extérieur. Les deux constructeurs se verront partager leurs savoirs faire respectifs dans plusieurs branches.

Mercedes chercherait en fait une collaboration avec BMW pour rendre ses modèles d'entrée de gamme (Classe A et Classe B) plus rentable, chose que le constructeur à étoile n'a pas pu concrétisé tout seul. Mercedes espère même obtenir la plateforme de la BMW série 1 à fin de passer ses compactes du statut de traction (roues avants motrices) à celui de propulsion (roues arrières motrices).
BMW voudrait bien d'une nouvelle marque au sein de son groupe et cette initiative intéresse bien Mercedes, puisqu'elle cherche bien à partager le coût de la recherche de ses Smart et ainsi les rendre plus profitable.

La course vers la puissance étant un souvenir du passé et puisque le cap de la recherche s'est dirigé maintenant vers l'amélioration de la tenue de route et la légèreté des autos, les deux marques pourront bien se partager leurs motorisations respectives : les mêmes V12 équiperaient leurs limousines respectives tout comme les autres motorisations des autres véhicules, mais en gardant quelques moteurs qui traduiront les images respectives des deux marques (comme les V8 AMG ou les V6 en ligne BMW).

Un autre aspect des échanges entre les deux marques toucherait à la recherche en matière d'électronique dont le partage constituerait un grand bénéfice pour les deux constructeurs.
Le rapprochement de Mercedes et BMW n'est pas du tout une chose nouvelles puisque ils travaillaient déjà sur le développement des motorisations hybrides pour pouvoir ainsi baisser les coûts et faire face aux des pays comme le Chine et l'inde qui viennent seulement d'entamer un développement qui pourrait être fulgurants dans les années à venir et dangereux pour les marques européennes.

The Saab museum is alive...


... and really alive Peter Bäckström enjoy a ride on snow with Per Eklund’s 96 just outside the museum in Trollhättan, it’s a pleasure to see this!

Citroën fait hommage au quintuple champion du monde WRC Sébastien Loeb.

Citroën vient de nous délivrer les première photos de ce que devra être sa prochaine série spéciale qu'elle dédie à l'homme, on parle évidemment de Sébastien Loeb, qui a fait sa gloire au championnat du monde WRC durant 5 saisons. Cette série sera bien évidemment basé sur son coupé C4 et elle sera baptisé C4 By Loeb. Cette série sera mise en vente durant les semaines à venir et sera décliner en deux couleur : noir Perla Nera et rouge Aden. Toutes les deux seront garnit par des graphismes aux lignes affilés sur les portes et sur l'arrière. La version rouge sera équipé de jantes blanche à cabochant rouge sur lequel il y a le logo de la marque alors que la noire sera équipé de jantes noires.
Côté habitacle, Citroën a mis le paquet pour que le design soit sportif et élégant à la fois. L'intérieur de la voiture affiche une couleur rouge, couleur symbolique de la vrai C4 de compétition. L'accent de sportivité est visible aussi à travers le levier de vitesse, un pédalier en aluminium et des décors en métal sur la console centrale. Et pour couronner le tout une plaque numérotée est placée sur la partie basse de la console ainsi que la signature du champion lui même qui peut être visible sur les rétros.

Contrairement à celle de Loeb, les équipement de confort sont présent sur ce modèle tel que le pack de climatisation, jantes 17"...
Sous le capot plusieurs motorisations seront disponibles. Deux en essences : le VTi 120 ch et le THP 150 ch et deux en diesel : Les HDI 110 ch et 140 ch.
On remarque bien que les nouveautés qu'apporte cette série spéciale touche principalement le côté esthétique alors que la mécanique déçoit un peu. En effet, on s'attendait qu'une série ainsi dédié à une légende du sport automobile pourrait bien avoir un peu plus de tonus sous son capot.

Quand les pilotes se blessent...

La semaine dernière, robert Kubica s’est grièvement blessé dans un accident de Rallye. La gravité de ces blessures fait qu’il est aujourd’hui certain qu’ils ne pourra pas disputer le début de cette saison de Formule 1, et que certains docteurs se demandent s’il pourra un jour remonter en course dans une voiture du plus haut niveau.

Pour ma part, je ne peux envisager que quelqu’un qui n’à pas gardé de séquelles (physiques ni psychologiques) d’un accident comme celui de Montréal 2007 ne puisse faire face à cette épreuve supplémentaire, aussi dure soit elle. Je souhaite donc tous mes vœux de rétablissement à Robert Kubica et lui adresse toute ma sympathie.

Ceci dit, cette blessure et cette indisposition posent des questions plus larges. R. Kubica c’est blessé à un mois et une semaine du premier grands prix de la saison en pratiquant une activité à risque pour son loisir. Renault aurait-il du lui interdire de rouler en rally?

La question est compliquée.

On pourrait penser que vu les enjeux sportifs et financier, le pilote doit être protégé de toute prise de risque non nécessaire. Les exemples de blessure hors circuit ne manquent pas. Mark Weber qui se fracture deux fois les clavicules en deux ans en faisant du VTT. Juan Pablo Montoya qui se fracture lui aussi une épaule, officiellement en disputant un match de Tennis. Plus loin, Patrick Depailler se cassait les deux jambes dans un accident de deltaplane…

Ainsi, les pilotes de F1sont des gens qui aiment prendre des risques, et comme tout le monde, parfois, ils font des erreurs aux conséquences pouvant être lourdes. Leur interdire les pratiques des activités à risque semble donc justifié…

Mais alors que penser de l’accident de tondeuse de Niki Lauda? En 1976, quelques mois après son terrible accident du Nurbürgring, Niki Lauda alors en convalescence faisait un tonneau avec son tracteur tondeuse… Doit on aussi interdire aux pilotes de sortir de chez eux? Ou commence l’activité à risque?

En poussant plus loin, le pilote n’est finalement qu’un employé, un cadre supérieur de l’entreprise qu’est une écurie. Doit-on donc interdire à tous les cadres supérieurs de toutes les entreprises de pratiquer des activités à risque? Alors pourquoi ne pas pousser l’interdiction à tous les éléments assurant la productivité dans une entreprise? Attention, la pente est glissante…

De plus, à interdire certaines activités à certains éléments clé d’une entreprise, on prend le risque de pousser ces gens à la désobéissance. Je reprends l’exemple de Juan Pablo Montoya dont tout le monde sait aujourd’hui que sa blessure n’était pas du à un match de tennis, mais à un accident de moto (qui lui était interdit par son patron)…

Je pense donc que même si la question est compliquée, les enjeux colossaux, et les conséquences lourdes, le risque fait parti de la vie. Les pilotes (mais aussi les cadres dirigeant, les employés, …) ne sont pas des pièces que l’on doit stocker dans un écrin quand ils ne sont pas utilisés… Donc, malgré les conséquences que cela peut avoir, Renault à eu raison d’autoriser son pilote à faire ce que bon lui semblait.

Illustration de l’article:

Drapeau rouge à Monaco en 1997 durant les essais de la Porsche Supercup.

Porsche 911 pendant le Rallye des Bauges en 2001.

Tyrell Ford de Jos Verstappen à Monaco en 1997.

Même endroit même lieux, la Benetton de Gerard Berger...

... Quelques secondes plus tard

1997, Olivier Panis vient juste de fracasser sa Prost Peugeot pendant les essais libres dans Anthony Noghes...

... Et quelques minutes plus tard.

La Mac Laren de David Coultard, toujours en 1997, avec derrière la Minardi d’Ukyo Katayama.

Enfin, les deux dernières pour Jean Alesi en 1998 à Monaco.