
L'association qui réunit les fabricants européens de motos, l'ACEM, n'est pas très favorable pour l'heure à l'appel d'urgence. Elle estime que la mise en place d'une solution de communication embarquée, programmée pour appeler les secours en cas d'accident, serait d'abord synonyme d'un surcoût important pour les fabricants. Ensuite, le gain est moins évident que dans l'automobile. Le nombre de vies sauvées serait oscillerait entre un quart et la...