Hertz, le leader mondial de la location de véhicules, et Plyce, un nouveau réseau social français basé sur la géolocalisation des individus, s’associent dans le cadre d’une campagne promotionnelle autour du club d’autopartage Connect by Hertz. L'objectif est de proposer des offres promotionnelles exclusives pour toutes les personnes qui utilisent ce service et signalent leur présence dans une station Connect by Hertz. Pour info, Plyce est une start up dans laquelle a investi Xavier Niel, le patron de Free. Concurrent de Foursquare et de Facebook, ce réseau social qui s'appuie sur les lieux fréquentés pour créer du lien entre les gens à proximité. Ses utilisateurs se géolocalisent de manière volontaire sur un lieu en temps réel (" check-in ") grâce à leur mobile (iPhone, Android, Nokia) et s'échangent des messages. Deux offres permettant de louer une voiture de façon très avantageuse ont été mises en place dans le cadre de cet accord : - se localiser 3 fois dans une station Connect By Hertz permet de bénéficier d’une inscription annuelle gratuite d’une valeur de 120 euros ainsi que deux heures de location gratuite. - en devenant « Capitaine » du lieu : la personne le plus souvent identifiée dans une station Connect by Hertz pourra également profiter d’une heure gratuite supplémentaire.
Après adhésion au club Connect by Hertz, les membres peuvent profiter des 100 voitures réparties dans les 70 stations à Paris et proche banlieue quand et où ils en ont besoin, sans le stress et les dépenses associés à la possession d'une voiture. Il n'y a aucune file d'attente et le service est disponible 24h/24. Les tarifs sont « tout compris » et « clé en main » avec le carburant, la maintenance, l’assurance, l’assistance et l’entretien. Ce service offre aux consommateurs une nouvelle forme de mobilité avec une plus grande flexibilité. Liens : https://www.connectbyhertz.com/default.aspx http://fr.www.plyce.com/
Mercedes n'est pas le seul à célébrer ses 125 ans cette année. Il partage cet événement avec Bosch, un autre fleuron de l'industrie allemande qui se trouve être, accessoirement, le premier équipementier mondial. La société emploie 288 000 personnes et est implantée dans 60 Pays, dont la France. Autres chiffres à retenir : Bosch dépose chaque année 3800 brevets et investit 3,5 milliards d'euros dans la recherche. C'est un leader dans le domaine de l'injection diesel et essence, ainsi que dans la sécurité active - domaine où on lui doit l'ABS et l'ESP.
Je ne reviendrai pas sur les multiples innovations apportées par Bosch tout au long de ces années. Il y a un site (http://www.125.bosch.com/) qui fait cela très bien. je voudrais plutôt parler de ce qui nous attend. Comme je l'ai déjà écrit sur ce blog, Bosch a pris le tournant de l'hybride avec des technologies déjà en place sur les modèles de Volkswagen et Porsche. Elles vont arriver aussi sur la Peugeot 3008 Hybrid4. Et puis, l'équipementier est aussi dans la course à l'électrique avec des batteries produites en commun avec Samsung, à travers la joint venture SBLimotive qui fournit BMW (Mini, Série 1) en vue de son projet Mégacity.
Par ailleurs, la firme se diversifie (est-ce possible pour une société présente dans déjà tant de domaines ?). Elle produit désormais des modules pour les vélos à assistance électriques. L'usine Bosch de Mondeville en Normandie vient de démarrer la production en série du nouveau système d'assistance électrique eBike. Ainsi 13 fabricants de vélos totalisant 16 marques pourront équiper leurs différents modèles et fournir dès le printemps les premiers vélos équipés de ce système, composé de l’unité d’entraînement, de l’ordinateur de commande (interface homme machine) et du pack de batteries lithium-ion. Le nouveau système d'assistance électrique eBike Bosch laisse une grande liberté de conception aux fabricants de vélos, pouvant ainsi donner une gamme de modèles très variés. Les caractéristiques d’entraînement du système se déclinent en 4 niveaux baptisés respectivement Eco, Tour, Sport et Speed et peuvent donc s’adapter sur mesure au type de vélo.
Bosch compte même aller plus loin. Il a présenté à Los Angeles un système de recharge à base de panneaux solaires. Grâce à une mini-station, il devient possible de recharger les batteries du vélo en deux heures et demie. La station a été élaborée par la nouvelle division "solar Energy" du groupe et fait appel à des films en couches minces. Un concept plus futuriste, mais prometteur. Impliqué dans l'électrique et le solaire, avec un oeil sur les éco-technologies, l'équjipementier allemand semble avoir pris le virage des technologies vertes. Pas mal, pour une PME qui a débuté en ouvrant à Stuttgart un atelier de précision mécanique et d'ingénierie électrique...
Qui l'eût cru ? Le futur de la voiture communicante risque de se jouer entre Microsoft et Google. Entre Windows et Android. Pendant longtemps, la firme de Bill Gates a été considérée comme un épouvantail et certains se souviennent peut être des débuts laborieux d'Auto PC (qui était pourtant en avance sur son époque) sur la Citroën Xsara. C'est en fait Fiat qui a donné sa chance à Microsoft et à Windows dans l'automobile, en intégrant ses solutions pour son offre "Blue & Me", lancée à partir de 2006. Puis, Ford a embrayé et a lancé SYNC aux Etats-Unis. Tous les deux ont produit plus d'un million de voitures communicantes, avec des solutions "Windows inside".
Le principe à la base est de proposer une connectivité Bluetooth (pour la téléphonie mains-libres) et USB, afin de pouvoir brancher un lecteur MP3 ou une clé USB, le tout en association avec de la reconnaissance vocale et des commandes au volant. Chez Fiat, en Europe, l'offre s'est enrichie avec la navigation (cartographie sur clé USB ou GPS portable relié au véhicule), puis l'éco-conduite (calcul des émissions de CO2, désormais lié au GPS Tom Tom sur la Punto EVO). Aux Etats-Unis, Ford est allé plus loin avec des applications à télécharger pour la voiture, dans le cadre de son offre SYNC. Il y a notamment l'écoute de radios sur Internet et les news sur Twitter. On a vu plus récemment avec la Kia "UVO" une solution innovante à base de reconnaissance vocale (on peut demander qui-est ce ?, quand une chanson passe) et d'un widget qui permet de récupérer "on line" des infos sur Facebook et Twitter.
Pour sa part, l'équipementier Continental travaille sur la plateforme Windows ainsi que sur Android. Les deux technologies ont été présentées lors du dernier CES à Las Vegas. En se basant sur la technologie Google, Conti permet d'avoir une liaison constante avec l'extérieur ("Always on", le slogan de sa solution Auto Linq), en mariant le mobile avec l'auto. Par exemple, le conducteur peut se servir de son Smartphone pour consulter l'état du véhicule (fermeture des portes, état de la batterie) ou le localiser sur un parking. A la maison, il est possible aussi de consulter des infos sur la voiture à distance, à partir d'un PC relié à Internet. Et, sur la route, la connexion Internet (3G et plus) donne accès à de la navigation enrichie (prix des carburants, trafic, météo) et aux réseaux sociaux. Selon Gartner, le standard Android aura une part de marché de 18 % en 2012 sur les Smartphones vendus dans le monde et adressera une communauté de près de 100 millions d'utilisateurs. On comprend l'intérêt que portent les constructeurs, notamment à travers le consortium GENIVI (dont Continental fait partie), à l'univers "plug & play" de Google.
Google est déjà présent sur les GPS nomades avec la recherche locale. Il arrive aussi sur les GPS embarqués, avec d'une part BMW qui l'utilise déjà, et son arrivée annoncée sur la nouvelle A8 chez Audi, dotée d'une liaison 3G et Wi-Fi. Il y aura à la fois la recherche locale Google et Google Earth. Mais, Google pourrait aussi semer la zizanie avec sa solution "Google Maps Navigation", adaptée aux mobiles et proposée gratuitement sur les mobiles Android. C'est une solution très efficace, qui utilise toute la puissance du "cloud computing" pour traiter la reconnaissance vocale et aller chercher les infos géolocalisées sur Internet. De plus, elle intègre les images satellite et celles de Google Street View.
Voir la vidéo sur You Tube :
J'ai en tête une citation de Xavier Niel, le fondateur de Free (qui est plutôt visionnaire) : "dans 10 ans, les GPS seront remplacés par Google Maps". Si tel était le cas, c'est tout un éco-système qui s'effondrerait. Certains partenaires des constructeurs, dont Navteq et Tom Tom, seraient les premières victimes de la navigation gratuite. Alors, Windows ou Android ? Le match ne fait que commencer.
Qui l'eût cru ? Le futur de la voiture communicante risque de se jouer entre Microsoft et Google. Entre Windows et Android. Pendant longtemps, la firme de Bill Gates a été considérée comme un épouvantail et certains se souviennent peut être des débuts laborieux d'Auto PC (qui était pourtant en avance sur son époque) sur la Citroën Xsara. C'est en fait Fiat qui a donné sa chance à Microsoft et à Windows dans l'automobile, en intégrant ses solutions pour son offre "Blue & Me", lancée à partir de 2006. Puis, Ford a embrayé et a lancé SYNC aux Etats-Unis. Tous les deux ont produit plus d'un million de voitures communicantes, avec des solutions "Windows inside".
Le principe à la base est de proposer une connectivité Bluetooth (pour la téléphonie mains-libres) et USB, afin de pouvoir brancher un lecteur MP3 ou une clé USB, le tout en association avec de la reconnaissance vocale et des commandes au volant. Chez Fiat, en Europe, l'offre s'est enrichie avec la navigation (cartographie sur clé USB ou GPS portable relié au véhicule), puis l'éco-conduite (calcul des émissions de CO2, désormais lié au GPS Tom Tom sur la Punto EVO). Aux Etats-Unis, Ford est allé plus loin avec des applications à télécharger pour la voiture, dans le cadre de son offre SYNC. Il y a notamment l'écoute de radios sur Internet et les news sur Twitter. On a vu plus récemment avec la Kia "UVO" une solution innovante à base de reconnaissance vocale (on peut demander qui-est ce ?, quand une chanson passe) et d'un widget qui permet de récupérer "on line" des infos sur Facebook et Twitter.
Pour sa part, l'équipementier Continental travaille sur la plateforme Windows ainsi que sur Android. Les deux technologies ont été présentées lors du dernier CES à Las Vegas. En se basant sur la technologie Google, Conti permet d'avoir une liaison constante avec l'extérieur ("Always on", le slogan de sa solution Auto Linq), en mariant le mobile avec l'auto. Par exemple, le conducteur peut se servir de son Smartphone pour consulter l'état du véhicule (fermeture des portes, état de la batterie) ou le localiser sur un parking. A la maison, il est possible aussi de consulter des infos sur la voiture à distance, à partir d'un PC relié à Internet. Et, sur la route, la connexion Internet (3G et plus) donne accès à de la navigation enrichie (prix des carburants, trafic, météo) et aux réseaux sociaux. Selon Gartner, le standard Android aura une part de marché de 18 % en 2012 sur les Smartphones vendus dans le monde et adressera une communauté de près de 100 millions d'utilisateurs. On comprend l'intérêt que portent les constructeurs, notamment à travers le consortium GENIVI (dont Continental fait partie), à l'univers "plug & play" de Google.
Google est déjà présent sur les GPS nomades avec la recherche locale. Il arrive aussi sur les GPS embarqués, avec d'une part BMW qui l'utilise déjà, et son arrivée annoncée sur la nouvelle A8 chez Audi, dotée d'une liaison 3G et Wi-Fi. Il y aura à la fois la recherche locale Google et Google Earth. Mais, Google pourrait aussi semer la zizanie avec sa solution "Google Maps Navigation", adaptée aux mobiles et proposée gratuitement sur les mobiles Android. C'est une solution très efficace, qui utilise toute la puissance du "cloud computing" pour traiter la reconnaissance vocale et aller chercher les infos géolocalisées sur Internet. De plus, elle intègre les images satellite et celles de Google Street View.
Voir la vidéo sur You Tube :
J'ai en tête une citation de Xavier Niel, le fondateur de Free (qui est plutôt visionnaire) : "dans 10 ans, les GPS seront remplacés par Google Maps". Si tel était le cas, c'est tout un éco-système qui s'effondrerait. Certains partenaires des constructeurs, dont Navteq et Tom Tom, seraient les premières victimes de la navigation gratuite. Alors, Windows ou Android ? Le match ne fait que commencer.
Nous vous l'annoncions jeudi dernier ,il n'y aura pas de version cabriolet de l'A1 avait déclaré Rupert Stadler ,pouvant faire concurrence à la future A3 Cabriolet .
Mais que les conducteurs de plein air se rassurent ,il y aura bien une version découvrable de l'A1 . Si vous connaissez la Fiat 500 c ,l'A1 reprendra le même système ,mais avec plus de prestance . Conservant ses arches en alu ,le toit de l'A1 Decouvrable glissera entre les arches . Une solution moins onéreuse ,et optimisant une mise en production rapide .Néanmoins un inconvénient la visibilité arrière sera très restreinte .
Pourquoi rapide ? Parce qu'ils faudra rivaliser au plus vite avec justement la Fiat 500 c ,et la Mini Cabriolet .
Grace à notre amis Homer S de Worldscoop ,nous avons le droit à de nombreux shop de très bonne qualité ,et très réussis . Différents coloris ,bleu , marron ,rouge ,noire ou encore dans des coloris plus exclusif avec une teinte verte et une autre violette .
La capote en toile n'a pas été délaissée ,puisqu'elle est disponible en bleu ,marron ,rouge ,noire et verte . L'A1 Découvrable sera disponible avec toutes les motorisations de l'A1 3 portes et Sportback ,et sera commercialisée au second semestre 2012 .
Via Homer S de Worldscoop ; Frederic.E pour l'info .
Performance upgrades for used vehicles Starting February 1:st, Hirsch Performance offers a special discount on all performance upgrades for vehicles from model year 2008 and older. This special offer makes it possible for owners of older Saab models to upgrade their vehicles at a very attractive price and enjoy the Hirsch Performance driving experience. Contact your Saab dealership today for details. The 30% discount is on the consumer price (excluding VAT) and is valid from February 1, 2012. Please contact your dealer for a price quote including installation costs.
C'est autobild, le site allemand qui l'annonce ,l'Audi A2 devrait etre produit à partir de 2015 ...Il intègrera un nouveau système de propulsion alternatif . Les moteurs bien évidement TDi et TFSi mais hybrid et électrique.
Un directeur de projet aurait déclaré qu'il y aurait d'intenses discussions ,mais pas encored de décisions finale . Pour le moteur électrique ,il devrait développé environ 100 ch . Et pour l'hybride serait un moteur électrique soit avec un moteur essence trois cylindres - ou d'un moteur diesel combinés.
Enfin tout comme sa prédécesseur cette future A2 sera innovente pour ses moteurs.
A peine présentée, la nouvelle Mercedes-Benz Classe E se pare déjà d'un pack sport AMG. A défaut d'un gonflage moteur d'Aufrecht Melcher Grossaspach, il faudra donc se contenter de modifications uniquement esthétiques n'enlevant pour autant rien à l'exclusivité du kit, puisque certains éléments sont indisponibles séparément.
A peine présentée, la nouvelle Mercedes-Benz Classe E se pare déjà d'un pack sport AMG. A défaut d'un gonflage moteur d'Aufrecht Melcher Grossaspach, il faudra donc se contenter de modifications uniquement esthétiques n'enlevant pour autant rien à l'exclusivité du kit, puisque certains éléments sont indisponibles séparément.