jeudi 9 août 2012
Record : Nouvelle Supercar Devon GTX
Scoop : Nouvelle Mercedes CLS
23:50
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Francfort : une version roadster de la Lamborghini Reventon ?
Francfort : une version roadster de la Lamborghini Reventon ?
Volkswagen et le taxi communicant du futur
Volkswagen a une vision bien sympathique du taxi du futur. Le Milano serait un monospace électrique doté de gadgets high tech. Outre des portes coulissantes et un large toit vitré pour mieux profiter de la vue dans les grandes villes, les passagers seraient choyés à l'intérieur. Ils auraient de la place pour allonger leurs jambes et disposeraient par ailleurs d'un terminal multimédia pour se renseigner sur les activités à faire en ville.
Comme on le voit sur ce visuel, on est dans une autre dimension. L'écran prévu sur les places arrière serait bien sûr relié à Internet.
Pour sa part, le chauffeur a aussi un écran tactile qui fait office de GPS et de terminal de paiement. C'est un futur dont on rêverait, mais la profession des taxis est tellement conservatrice (paiement en liquide, diesel plutôt que l'hybride) que l'évolution ne pourra venir que d'une grande flotte de taxi (type G7 ou Taxis Bleus), ou d'un changement de législation.
Comme on le voit sur ce visuel, on est dans une autre dimension. L'écran prévu sur les places arrière serait bien sûr relié à Internet.
Pour sa part, le chauffeur a aussi un écran tactile qui fait office de GPS et de terminal de paiement. C'est un futur dont on rêverait, mais la profession des taxis est tellement conservatrice (paiement en liquide, diesel plutôt que l'hybride) que l'évolution ne pourra venir que d'une grande flotte de taxi (type G7 ou Taxis Bleus), ou d'un changement de législation.
Mentor Graphics facilite le divertissement en voiture avec une plateforme embarquée compatible avec GENIVI
Fournisseur de logiciels de conception, tant pour le matériel que pour les logiciels, Mentor Graphics s'intéresse beaucoup à la voiture communicante. Il vient par exemple de développer une plate-forme embarquée pour l'infotainment qui répond aux exigences de conformité de l’Alliance GENIVI*, qui regroupe bon nombre d'acteurs de l'automobile autour d'un standard ouvert, afin de faciliter l'intégration des produits d'électronique grand public dans les véhicules. Elle permet aux équipementiers automobiles et aux développeurs de logiciels de fournir des systèmes IVI** compatibles avec les spécifications définies par l'alliance.
La plate-forme de Mentor Graphics intègre des logiciels middleware graphiques, de communication et multimédia avec des bibliothèques, l’infrastructure système et les composants de gestion en plus de Linux et des pilotes nécessaires. Elle est compatible avec les architectures ARM et les processeurs Intel Atom.
*GENIVI a été fondé par BMW et Intel. L'alliance compte plus de 120 membres, dont des constructeurs, des équipementiers et des développeurs.
**In Vehicle Infotainment
La plate-forme de Mentor Graphics intègre des logiciels middleware graphiques, de communication et multimédia avec des bibliothèques, l’infrastructure système et les composants de gestion en plus de Linux et des pilotes nécessaires. Elle est compatible avec les architectures ARM et les processeurs Intel Atom.
*GENIVI a été fondé par BMW et Intel. L'alliance compte plus de 120 membres, dont des constructeurs, des équipementiers et des développeurs.
**In Vehicle Infotainment
TomTom lance un nouveau kit pour smartphone
22:30
Android, annulation de l'écho, iPhone, kit voiture, mains-libres, Smartphone, TomTom
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TomTom lance un nouveau kit pour voiture qui permet de bénéficier de la fonction mains-libres et du guidage sur smartphone, avec un son de qualité. Ce produit est doté d’un système audio avancé de suppression du bruit et de l’écho, réduisant considérablement le bruit de fond (pour celui qui appelle) et éliminant le bruit ambiant pour le conducteur. Le son est par ailleurs renforcé, grâce à un haut-parleur intégré de 2 watts, ce qui permet d'entendre clairement les conversations ainsi que les instructions de navigation. Le microphone, qui est extensible, peut être rapproché du conducteur afin que les conversations soient encore plus claires.
Le kit de TomTom permet de connecter le mobile au choix sur le tableau de bord ou sur le pare-brise. Il assure la recharge tout en roulant. Parmi les plus : la possibilité de connecter deux téléphones simultanément, des instructions vocales pour faciliter le raccordement du téléphone et des touches de réponse et de rejet aisément accessibles pour gérer les appels, même lorsque le téléphone n'est pas fixé sur le support.
Voir la vidéo :
De conception nouvelle, le kit voiture dispose d'une attache réglable qui convient à n'importe quel smartphone, avec ou sans son étui. Ce produit existe en trois versions : deux pour iPhone (une avec le kit voiture seul, l’autre avec le kit et l’application de navigation TomTom pour iPhone) et une troisième pour smartphones compatibles micro USB, comme les téléphones Android.
Le kit seul est à 99,95 euros (149,95 euros si on le prend avec en prime l’application de navigation TomTom pour l’Europe occidentale).
Le kit de TomTom permet de connecter le mobile au choix sur le tableau de bord ou sur le pare-brise. Il assure la recharge tout en roulant. Parmi les plus : la possibilité de connecter deux téléphones simultanément, des instructions vocales pour faciliter le raccordement du téléphone et des touches de réponse et de rejet aisément accessibles pour gérer les appels, même lorsque le téléphone n'est pas fixé sur le support.
Voir la vidéo :
De conception nouvelle, le kit voiture dispose d'une attache réglable qui convient à n'importe quel smartphone, avec ou sans son étui. Ce produit existe en trois versions : deux pour iPhone (une avec le kit voiture seul, l’autre avec le kit et l’application de navigation TomTom pour iPhone) et une troisième pour smartphones compatibles micro USB, comme les téléphones Android.
Le kit seul est à 99,95 euros (149,95 euros si on le prend avec en prime l’application de navigation TomTom pour l’Europe occidentale).
Lexus fait la tournée des plages pour présenter la technologie hybride
Pas de temps mort pour les constructeurs. À l’occasion des vacances d’été, la griffe de luxe de Toyota organise un événement grand public baptisé le « Lexus Full Hybrid Beach Tour ». Il s' agit d'un road show, qui a débuté le 28 juillet et qui se termine ce week end. L'événement permet aux vacanciers de venir découvrir la marque Lexus ainsi que la technologie Full Hybrid. Cinq modèles (trois CT 200h, une GS 450h et un RX 450h) se déplacent dans les lieux les plus touristiques de France, à proximité des plages. Si vous êtes en vacances, c'est l'occasion d’essayer la nouvelle CT 200h, le premier véhicule 100 % hybride sur le segment compact premium.
Le programme aujourd'hui : Saint-Tropez, Cogolin, Sainte-Maxime, Frejus, Saint-Raphaël.
11 août : Antibes, Juan-les-Pins, Mandelieu, Cannes.
12 août : Beaulieu-sur-Mer, Villefranche-sur-Mer, Nice.
14 août : Menton, Roquebrune, Monaco.
Le programme aujourd'hui : Saint-Tropez, Cogolin, Sainte-Maxime, Frejus, Saint-Raphaël.
11 août : Antibes, Juan-les-Pins, Mandelieu, Cannes.
12 août : Beaulieu-sur-Mer, Villefranche-sur-Mer, Nice.
14 août : Menton, Roquebrune, Monaco.
Volvo confirme son objectif zéro mort en 2020
Avec Mercedes et Toyota, le constructeur suédois est l'un des rares industriels de l'automobile à prendre le pari d'une sécurité optimale à bord de ses véhicules. En même temps, c'est aussi l'engagement pris par son pays d'origine*. Ainsi donc, grâce à de nouvelles technologies, Volvo devrait pouvoir franchir une étape importante par rapport à son objectif clairement affiché : plus aucun mort ni blessé grave dans un véhicule de la marque en 2020.
Les recherches de Volvo Car Corporation se concentrent sur trois domaines essentiels : le maintien en toute sécurité dans le couloir de circulation, la prévention des accidents aux carrefours et intersections, ainsi que celle des collisions avec les animaux sauvages.
Grâce à l'assistance à la conduite autonome, le conducteur pourra maintenir la voiture dans sa file et adapter son allure par rapport au trafic. A l'aide des données fournies par une caméra et des détecteurs radars, le moteur, les freins et la direction réagissent automatiquement. Si le véhicule situé devant amené à faire un écart à cause d'un obstacle sur la route, la voiture pourra d'elle-même modifier la trajectoire du véhicule en conséquence.
L'électronique pourra superviser les manoeuvres complexes aux carrefours et aux intersections. Afin de pallier les erreurs, du conducteur ou des autres usagers, les véhicules pourront réagir comme les êtres humains. Les capteurs seront les yeux, les calculateurs le cerveau et les freins les muscles. Mais la machine, elle, ne se fatigue pas et reste lucide. L'idée est d'assister le conducteur avec des technologies avancées qui fonctionneront aussi bien aussi bien à Bangkok qu'à Vancouver, en s'adaptant aux différences locales de style de conduite et de densité du trafic.
Enfin, Volvo travaille aussi sur la détection des animaux, avec un système qui déclenche automatiquement le freinage, de jour comme de nuit. L'objectif est de réduire la vitesse d'impact (initialement de 100-110 km/h, à moins de 80 km/h). Avec une vitesse inférieure à 80 km/h, les systèmes de sécurité du véhicule sont efficaces et les risques de blessures graves deviennent minimes. Il faut pour cela détecter l'animal à une distance de 30 mètres. La marque suédoise développe un système apte à reconnaître la silhouette des animaux et leur manière de se déplacer, grâce à d'énormes quantités de données collectées (élans, cerf, chevaux, bétail et à terme chevreuils et sangliers). Volvo veut réduire à zéro le nombre d'accidents à bord de ses voitures. Mais, cela nécessite ausi une étroite collaboration avec les pouvoirs publics, les compagnies d'assurance et les autres constructeurs automobiles.
*La Suède partage cet objectif avec la Suisse et le Québec.
Les recherches de Volvo Car Corporation se concentrent sur trois domaines essentiels : le maintien en toute sécurité dans le couloir de circulation, la prévention des accidents aux carrefours et intersections, ainsi que celle des collisions avec les animaux sauvages.
Grâce à l'assistance à la conduite autonome, le conducteur pourra maintenir la voiture dans sa file et adapter son allure par rapport au trafic. A l'aide des données fournies par une caméra et des détecteurs radars, le moteur, les freins et la direction réagissent automatiquement. Si le véhicule situé devant amené à faire un écart à cause d'un obstacle sur la route, la voiture pourra d'elle-même modifier la trajectoire du véhicule en conséquence.
L'électronique pourra superviser les manoeuvres complexes aux carrefours et aux intersections. Afin de pallier les erreurs, du conducteur ou des autres usagers, les véhicules pourront réagir comme les êtres humains. Les capteurs seront les yeux, les calculateurs le cerveau et les freins les muscles. Mais la machine, elle, ne se fatigue pas et reste lucide. L'idée est d'assister le conducteur avec des technologies avancées qui fonctionneront aussi bien aussi bien à Bangkok qu'à Vancouver, en s'adaptant aux différences locales de style de conduite et de densité du trafic.
Enfin, Volvo travaille aussi sur la détection des animaux, avec un système qui déclenche automatiquement le freinage, de jour comme de nuit. L'objectif est de réduire la vitesse d'impact (initialement de 100-110 km/h, à moins de 80 km/h). Avec une vitesse inférieure à 80 km/h, les systèmes de sécurité du véhicule sont efficaces et les risques de blessures graves deviennent minimes. Il faut pour cela détecter l'animal à une distance de 30 mètres. La marque suédoise développe un système apte à reconnaître la silhouette des animaux et leur manière de se déplacer, grâce à d'énormes quantités de données collectées (élans, cerf, chevaux, bétail et à terme chevreuils et sangliers). Volvo veut réduire à zéro le nombre d'accidents à bord de ses voitures. Mais, cela nécessite ausi une étroite collaboration avec les pouvoirs publics, les compagnies d'assurance et les autres constructeurs automobiles.
*La Suède partage cet objectif avec la Suisse et le Québec.
Audi Q7
Ce forfait n'est pas bon marché. Pour les modèles V8 coûte € 7,900 et pour les 5.500 V6 euros (les deux sont diesel). Et il comprend un luxe que peu de jouets, vous pouvez facilement vivre sans. Certaines de ces commandes nouvelles sont régulateur de vitesse adaptatif, Parking System Plus, Bluetooth, troisième rangée de sièges et de ...
La voiture est également livré en standard avec le package Advanced Plus, qui ajoute les lumières d'adaptation, chauffants, Sièges électriques à l'avant-alimenté et mis à jour Audi Multimedia Interface.
Mansory Veyron Linea Vincero d’Oro
La voiture est toujours en fibre de carbone incolore, mais il semble encore plus Merci royale à la touche Mansory d'or! Ils comprennent la grille avant d'or, roues de turbine-design, les poignées de porte, les bouchons de rétroviseur et le bouchon du réservoir de carburant. Mais ce n'est pas tout: la buse de lave-phares couvre, les frontières autour de la LED de circulation diurne et les éléments décoratifs sur le toit tous les reflets de l'or précieux aussi.
skoda
16:18
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Škoda Auto
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Škoda Auto
Logo du constructeur automobile
Création | 1919 |
---|---|
Dates clés | 1925 : Rachat de Laurin & Klement 1991 : rachat par Volkswagen |
Fondateurs | Emil Škoda |
Slogan | Simplement évident |
---|---|
Siège social | Mladá Boleslav (République tchèque) |
Direction | Reinhard Jung (président du conseil d’administration) |
Activité | Fabrication et vente de véhicules |
Produits | Automobiles |
Société mère | Volkswagen AG |
Effectif | 27 860 employés en 2007 |
Site web | www.skoda.fr |
Histoire
L’ambitieux Emil Škoda
Né en 1839 en Bohême, Emil Škoda se destine à faire des études d’ingénieur, et sera formé pendant quelques années en Allemagne. À son retour, il trouve un emploi dans une petite usine de machines, située dans sa ville natale de Plzeň. Il a alors 26 ans. Trois ans plus tard, l’ambitieux ingénieur décide de racheter l'entreprise, et d’élargir considérablement ses secteurs de production (armement, etc.). Il dirigera personnellement les 4 000 employés de l’usine jusqu’à sa mort, en août 1900. Pendant la Première Guerre mondiale, l’entreprise vivra de la production de matériel militaire, puis de machines-outils, de locomotives et de moteurs d’avions.Les premières automobiles Škoda
La division automobile voit le jour en 1919. Pendant sept ans, elle survit grâce à la production de camions. Mais à la fin de l’année 1924, l’entreprise rachète au constructeur français Hispano-Suiza la licence de son torpédo H6B, sorti en 1919. Quelques dizaines d’exemplaires seront construits entre 1926 et 1930. En 1925, Škoda rachète Laurin & Klement, l’un des trois grands constructeurs locaux de l’époque, fondé en 1895. L’usine de ce dernier, située dans la petite ville de Mlada Boleslav, servira donc de siège social à Škoda Auto. Grâce à l’expérience de Laurin & Klement, la gamme Škoda se développe vite, et en 1936, le constructeur devance désormais Tatra et Praga sur le marché tchèque. Avant la guerre, Škoda compte quatre modèles à son catalogue : la Popular (995 cm3 et 1 089 cm3), la Rapid (1 564 cm3 et 2 199 cm3), la Favorit (1 802 cm3 et 2 091 cm3) et la limousine Superb (2 916 cm3, 3 137 cm3 et 3 991 cm3 pour le modèle à six cylindres).L’occupation, la guerre, et la nationalisation
En 1939, l’armée allemande envahit la Bohême, et Škoda se voit obligé de fabriquer du matériel militaire pour l’occupant, en plus de quelques voitures (un peu plus de 5 000 unités seront assemblées entre 1940 et 1944). Le 9 mai 1945, l’usine est bombardée par la Luftwaffe, causant la perte de la quasi-totalité des archives.[réf. nécessaire] Cinq mois plus tard, alors que les soviétiques occupent le pays, le gouvernement décide de nationaliser les entreprises de plus de 500 salariés, supprimant au passage toute concurrence. Škoda, comme Tatra et Aero, est évidemment concerné. C’est le début de 45 ans de production dictée par l’État.1945-1960 : les années florissantes
La production reprend à partir de 1946. Škoda ne propose d’abord que les anciennes Popular et Rapid (sans compter les 162 Superb produites jusqu’en 1949, uniquement destinées aux administrations). Mais l’usine réagit, et présente la nouvelle 1101 à l’été 1946. Si sa face avant est redessinée dans le style de l’époque, cette voiture est en réalité une Popular OHV de 1944, dont le moteur atteint 32 ch (contre 30 auparavant). Des variantes break, ambulance et cabriolet seront également disponibles.Deux ans plus tard, une 1102 modernisée est exposée au Salon de Paris. Sa version cabriolet sera essayée par André Costa en 1950, et s’en tirera avec les honneurs.
Entre-temps, les ingénieurs Škoda sont chargés de concevoir une limousine d’apparat, remplaçant la Superb. Cette VOS (initiales de « voiture pour le gouvernement », en tchèque), sera construite à 107 exemplaires par le carrossier Sodomka, entre 1950 et 1952.
Équipée d’un six cylindres 5.2 de 120 ch issu d’un camion Praga, cette limousine blindée de 4,5 tonnes atteignait 80 km/h.
De 1951 à 1952 l’usine de Mlada Boleslav construit près de 2100 Tatra T600, le constructeur de Koprivnice agrandit son usine pour fabriquer davantage de camions.
En mars 1952, la vieille 1102 cède sa place à la 1200, une berline moyenne tout en rondeurs, développant 36 ch. Disponible en version break et fourgonnette, elle sera remplacée fin 1955 par une 1201 proche esthétiquement, mais forte de 45 ch. La berline disparaîtra du catalogue en 1958, les autres carrosseries lui survivront pendant trois ans.
L'impact du communisme se fait néanmoins ressentir lorsque, en 1953, les usines Skoda sont rebaptisées Staline jusqu'aux manifestations ouvrières de cette même année. Les ouvriers de Skoda détruisent, dans un mouvement iconoclaste, des portraits de Staline et du président de la République Klement Gottwald¹.
Afin d’offrir une voiture accessible à une plus large part de la population, Škoda lance en 1955 la 440, qui tire son nom de son moteur quatre cylindres de 40 ch. Claude Vogel, essayeur du journal l’Automobile, mesure une vitesse de pointe de 122 km/h, et une consommation de 7,5 L aux 100 km, lorsqu’il l’essaye en février 1958. Il la qualifie même de « sympathique et enthousiaste ».
Sa production limitée, la priorité donnée à l’exportation, et son prix toujours trop élevé ne permet pas à tous les Tchécoslovaques de s’en offrir une.
En 1957, la version 445 gagne 5 ch, et on note l’apparition du sympathique cabriolet 450.
En mars 1959, Škoda dévoile à Genève la nouvelle Octavia, qui, une fois déclinée en cabriolet Felicia, remplace la 440.
1960-1975 : Une gamme jeune et dynamique
Restylée plusieurs fois, l’Octavia remportera un succès à l’exportation, et sera assemblée à Anvers, aux côtés des Volvo Amazon. La production de la berline cesse en 1964, avec l’arrivée de la nouvelle Škoda 1000 MB, mais le break Kombi perdure jusqu’en 1971. En tout, Škoda aura produit près d’un demi-million de 440 et Octavia depuis 1955. La 1000 MB (pour 1 000 cm3 et Mlada Boleslav) sort en septembre 1964, et se distingue de l’Octavia par sa technique de fabrication : utilisant des matériaux plus modernes, elle pèse 200 kg de moins que cette dernière. Nouvelle, cette voiture marque un tournant dans l’histoire de Škoda. Développant initialement 42 ch, son moteur arrière en gagnera six en 1968.La 1000 MB est également la première Škoda à bénéficier de la nouvelle usine, qui a nécessité l’intervention de 134 fournisseurs étrangers (dont Renault, qui a fourni les machines-outils), originaires de plus de 15 pays.
La gamme 1000 MB comptera dans ses rangs la MBX (un petit coupé de 52 ch), la MBG (une berline équipée de ce même moteur), et la MBT, qui se veut plus abordable.
En 1969, le visiteur du Salon de Belgrade découvrira même une version Rallye de 65 ch. Enfin, la 1100 MB de 1967 apportera un nouveau moteur 1 100 cm3 de 52 ch. Les nouvelles 100 (moteur 1 000 cm3 de 48 ch) et 110 (1 100 cm3 de 52, puis 53 ch) sont dévoilées à la foire de Brno, en septembre 1969. Si le dessin change, la base technique n’évolue presque pas, le moteur restant à l’arrière.
D’ailleurs, l’usine fête la sortie de la 500 000e Škoda équipée d’un moteur arrière le 11 février 1970.
En septembre de la même année, Škoda présente la 110 R, un coupé dérivé de la 110, qui sera bientôt un succès en Europe de l’ouest. Surnommé parfois « la Porsche de l’est », ce coupé 2+2 se contentait d’un modeste quatre cylindres de 62 ch, lui permettant d’atteindre les 100 km/h en 18,5 secondes, et de pousser jusqu’à 145 km/h.
La carrière de la 110 prends fin en 1976, et celle de la 100 en avril 1977. Le coupé 110 R, qui n’a pas encore de successeur dans la nouvelle gamme, ne s’éteindra qu’en 1980, après avoir été produit à 56 902 exemplaires.
1975-1990 : Des voitures qui deviennent obsolètes
Škoda, conscient que la solution du moteur arrière est dépassée, étudie des modèles à moteur avant depuis la fin des années 1960. Mais le gouvernement tchécoslovaque refuse d’accorder un budget suffisant à l’usine de Mlada Boleslav, et les ingénieurs doivent se contenter de moderniser le procédé actuel. C’est dans ce contexte qu’est présentée en 1976 la nouvelle Škoda type 742, qui existe en version 105 S et L (1 046 cm3, 46 ch), et 120 L et LS (1 174 cm3, 52 et 58 ch). À l’époque, le chrome des pare-chocs est progressivement remplacé par du plastique, et les 105/120 n’y échappent pas à partir de 1982. En 1978, puis en 1981, la gamme accueille les 120 GLS et 105 GL, à l’équipement plus complet. En 1982, le coupé Rapid (appelé Garde sur son marché national) fait son apparition. Il reprend le moteur de la 120 GLS, soit le 1.2 de 58 ch. A la rentrée 1983, les berlines voient leur face avant redessinée, mais pas le coupé. Deux ans plus tard, les nouvelles 130 L et GL arrivent avec un « gros » 1300 de 61,5 ch, qui sera également monté sur le coupé 130 R. Si ces modèles arrivent en fin de carrière, Škoda continue à les faire évoluer, et propose (uniquement en Allemagne et en Suisse) une version 135 moins polluante (1987), puis une 136 de 64 ch (1988), ces deux modèles étant également déclinés en coupé. Condamnées par l’arrivée d’une nouvelle compacte à moteur avant, la Favorit, ces voitures devenues anachroniques s’éteignent tout doucement : les 105 et 130 disparaissent en 1988, la 120 en 1989, et les autres versions en 1990. On notera que l’importateur britannique Roger Ludgate a fabriqué des versions cabriolet sur la base de la Rapid. Quelque 300 exemplaires ont vu le jour jusqu’en 1990.1990-2000 : la révolutionnaire Favorit, et le rachat par Volkswagen
Au début des années 1980, Škoda parvient à avoir l’aval du gouvernement pour la construction d’une « tout-à-l’avant ». C’est la délivrance pour le constructeur tchécoslovaque, qui va pouvoir moderniser sa gamme. En 1983, Škoda fait appel au studio de design Bertone pour les lignes de la voiture, et au bureau d’études Porsche (qui avait déjà collaboré avec le soviétique Lada pour la mise au point de la traction avant Samara) pour la réalisation du prototype. La voiture est présentée en septembre 1988, à la Foire de Brno. Si elle reprend le moteur de la défunte 130, la voiture est pour le reste totalement nouvelle : moteur et traction avant, carrosserie 5 portes, confort et amélioration du comportement routier. Une révolution que Škoda n’avait pas connue depuis la 1000 MB de 1964. Bientôt complétée par un break et un pick-up, la Favorit va permettre à Škoda d'augmenter sensiblement ses ventes à l’exportation. Début 1990, alors que la démocratie s’installe dans le pays, les usines sont privatisées. Or, le développement de la Favorit a vidé les caisses, et la santé de l’entreprise n’est pas bonne. Au mois d’août, deux repreneurs éventuels restent en lice : Renault et Volkswagen. C’est finalement l’Allemand qui remportera ce bras de fer, faisant de Škoda la quatrième marque de son groupe le 16 avril 1991. Désormais, l’avenir du constructeur tchèque, qui pourra puiser dans la vaste banque d’organes VW, est assuré. En 1994, la Favorit est remplacée par la Felicia, première Škoda de l’ère Volkswagen. Elle reprend le nom du petit roadster de 1959. S’il s’agit avant tout d’un profond restylage de la Favorit, la qualité de fabrication progresse. La Felicia sera déclinée en version break, pick-up, et fourgonnette. En 1996, l’Octavia fait son apparition, c’est une berline de 4,50 m. de long, basée sur une Golf. Son rapport prix/équipement imbattable assure le succès de la seconde génération, sortie en 2004 et rajeunie en 2009.Depuis 2000 : succès grandissant et créativité retrouvée
En 1999, la Felicia cède sa place à la Fabia, qui partage sa plate-forme avec la Volkswagen Polo et la Seat Ibiza. Cette année-là, l’importateur français dépasse pour la première fois le cap des 10 000 unités écoulées, tandis que son homologue belge franchit les 4 000 immatriculations. Sérieuse, la citadine tchèque est remplacée en mai 2007 par la Fabia 2, au dessin plus expressif. Pour contrer son image sans cesse associée à des voitures bas de gamme, Škoda réplique en 2001 par la grande Superb, basée sur une Passat. Cette routière revendique l’espace intérieur d’une limousine pour le prix d’une familiale. Son statut de « grosse Octavia » la condamne a sombrer dans l’anonymat jusqu’en 2008, où la deuxième génération ne passe pas inaperçue grâce à ses nombreux équipements de sécurité, et son coffre à double ouverture : comme une simple malle (à l’image d’un modèle à 4 portes), ou avec un hayon. Ce système plus tard racheté par BMW en fera la nouvelle coqueluche des taxis français. En 2006, Škoda présente le ludique Škoda Roomster, une sorte de ludospace à la sauce tchèque, le côté utilitaire en moins. Absent du segment courtisé des SUV, Škoda se rattrape en octobre 2009, lorsque le Yeti sort en concession. Ce petit baroudeur, long de 4,20 m., se veut une alternative aux ténors de la catégorie, que sont les Volkswagen Tiguan, Ford Kuga, Peugeot 3008 ou Renault Koleos. En 2011, Škoda dévoile la citadine Citigo, jumelle des Volkswagen Up! et Seat Mii. Concurrente des Renault Twingo et autres Peugeot 107, elle sera disponible sur le marché en 2012.Bien mal en point à la fin des années 1980, Škoda s’est redressé grâce au soutien de Volkswagen, et l’avenir semble un peu plus radieux pour ce constructeur qui bat chaque année ses records de ventes historique.
Identité visuelle
Modèles
Modèles produits en série
Modèles d’avant-guerre
- Škoda 360 (1926-1927)
- Škoda 4R (1928-1930)
- Škoda 6R (1929-1930)
- Škoda 422 (1929-1932)
- Škoda 430 (1929-1936)
- Škoda 645 (1929-1936)
- Škoda 860 (1929-1932)
- Škoda 633 (1931-1934)
- Škoda 637 (1932-1935)
- Škoda Popular 420 (1933-1939)
- Škoda Superb (1934-1940)
- Škoda Favorit (1936-1941)
- Škoda Popular 1100 OHV (1938-1946)
- Škoda Popular 995 (1939-1946)
- Škoda Popular 1101 (1940-1944)
- Škoda Rapid (1935-1938)
- Škoda Rapid OHV (1938-1946)
Modèles d’après-guerre
- Škoda Superb (1946 - 1949)
- Škoda 1101 (1946 - 1948)
- Škoda 1102 (1948 - 1952)
- Škoda VOS (1950 - 1952)
- Škoda 1200 (1952 - 1955)
- Škoda 1201 (1955 - 1961)
- Škoda 1202 (1961 - 1971)
- Škoda 440 (1955 - 1959)
- Škoda 445 (1957 - 1959)
- Škoda 450 (1957 - 1959)
- Škoda Octavia (1959 - 1971)
- Škoda Felicia (1959 - 1964)
- Škoda 1000 MB (1964 - 1969)
- Škoda 1100 MB (1967 - 1969)
- Škoda 100 (1969 - 1977)
- Škoda 110 (1969 - 1976)
- Škoda 110 R (1970 - 1980)
- Škoda 105 (1976 - 1988)
- Škoda 120 (1976 - 1989)
- Škoda 120 R (1981 - 1984)
- Škoda 125 (1988 - 1990)
- Škoda 130 (1984 - 1988)
- Škoda 130 R (1984 - 1988)
- Škoda 135 (1987 - 1990)
- Škoda 135 R (1987 - 1990)
- Škoda 136 (1987 - 1990)
- Škoda 136 R (1987 - 1990)
- Škoda Favorit (1988 - 1995)
Modèles de l’ère Volkswagen
- Škoda Felicia (1994-2001)
- Škoda Octavia (1996-2010)
- Škoda Fabia (1999-2007)
- Škoda Superb (2001-2008)
- Škoda Octavia 2 (2004- )
- Škoda Roomster (2012- )
- Škoda Fabia 2 (2012- )
- Škoda Superb 2 (2012- )
- Škoda Yeti (2012- )
- Škoda Citigo (2012- )
Prototypes
- Škoda Rapid (1955)
- Škoda 976 (1956)
- Škoda 977 (1956)
- Škoda 978 (1956)
- Škoda 988 (1957)
- Škoda 989 (1957)
- Škoda 990 (1959)
- Škoda 1000 MB Cabriolet (?)
- Škoda 1000 MB Break (?)
- Škoda 720 (1967)
- Škoda 1000 GT UVMV (1971)
- Škoda 740 (1971)
- Škoda Super Sport (1971)
- Škoda 760 (1973)
- Škoda 761 (1976)
- Škoda 763 (1977)
- Škoda 762 P1 (1979)
- Škoda 762 P2 (1980)
- Škoda Favorit Coupé (1987)
Concepts-car
- Škoda Felicia Golden Prague (1998)
- Škoda Ahoj (2002)
- Škoda Fabia Paris (2002)
- Škoda Tudor (2002)
- Škoda Roomster Concept (2003)
- Škoda Yeti (2005)
- Škoda Yeti 2 (2006)
- Škoda Joyster (2006)
- Škoda Vision D (2011)
- Škoda Mission L (2011)
Škoda à l’étranger
Comme ses compatriotes Praga, Tatra et Aero, Škoda a vendu la majorité de ses voitures d’avant-guerre sur son marché intérieur. Mais dès 1946, des importateurs ouvrent en Europe, notamment en France (où elles sont importées par Jacques Poch), et en Belgique. Vers cette même époque, on commence à voir des Škoda sur les salons étrangers ; Paris, Bruxelles, Genève, on encore Amsterdam. À partir du début des années 1950, l’usine de Mlada Boleslav produit des versions à conduite à droite, destinées aux marchés britanniques et australiens. Entre 1957 et 1961, un garage de Los Angeles se charge de la distribution des Octavia et Felicia aux États-Unis, une première pour des voitures « de l’est ». Conçue pour résister à des climats difficiles, la Škoda 1202 sera appréciée en Afrique et en Amérique du Sud. Une usine de montage turque en assure la production entre 1965 et 1972, et commercialise même une version redessinée jusqu’à la fin des années 1970. L’Octavia, quant à elle, a été importée au Pakistan par Haroon Industries, qui fait appel à l’ingénieur Josef Velebny, travaillant chez Škoda, pour concevoir un utilitaire nommé Skopak, assemblé là-bas à partir de 1970. En 1966, le même Velebny réalise à la demande de l’importateur néo-zélandais (où les Octavia et 1000 MB sont assemblées depuis 1964) un petit 4x4 rappelant un Land Rover : le Trekka, qui est également vendu en Australie, en Indonésie, et aux îles Fidji. Dans les années 1970, quelques buggys seront construits sur une base Škoda, comme le VF du concessionnaire belge François Vernimmen, le Kirby italien, et le type 736 conçu en 1972 par le centre d’apprentissage Škoda. En 1985, l’importateur britannique (qui importe les 105, 120 et 130 sous le nom de Škoda Estelle) fait réaliser une version cabriolet sur la base du coupé Rapid. Le propriétaire de ce dernier peut faire transformer sa voiture pour 1 306 £, soit près du tiers du prix d’achat de la Rapid… Quelque 300 voitures seront transformées jusqu’en 1990, dont quelques versions « Lux », proposées à partir de 1989. Depuis le rachat par Volkswagen, Škoda connaît un essor sans précédent sur les marchés européens : en France, la marque a battu sept fois son record de ventes sur la période 2000-2010, et l’importateur belge a fait de même six fois. En Allemagne, Škoda se bat même avec Renault pour la place de premier importateur. Enfin, en République tchèque, le constructeur national se réserve toujours plus du tiers du marché.Škoda et le sport automobile
Réticent dans les années 1930, Škoda finit par s’engager en sport automobile à la fin des années 1940, notamment grâce aux 1101 et 1102. Son premier fait d’armes remonte à 1948, lorsque trois 1101 Tudor de série terminent groupées les 24 Heures de Francorchamps à plus de 82 km/h de moyenne. Après quelques résultats positifs au Rallye des Tulipes et au Rallye de Monte-Carlo, Škoda décide de mettre au point une barquette 1102 Sport (rappelant les Tatraplan Sport du compatriote Tatra), qui sera notamment engagée aux 24 Heures du Mans 1950. Quelques années plus tard, Škoda récidive avec l’Octavia, qui brille notamment au Rallye Wartburg, au Raid Polski, et au Rallye de Monte-Carlo (en 1961, les finlandais Keinanen et Eklund remportent leur catégorie, et le premier récidivera l’année suivante, associé à son compatriote Vainsila). L’âge d’or des Škoda en rallye débute réellement en 1974, avec les coupés 180 RS (154 ch) et 200 RS (163 ch), dérivés de la paisible 110 R. Ces deux monstres capables d’atteindre 210 km/h serviront de base à la fabuleuse 130 RS, qui sera fabriquée à près de 200 exemplaires entre 1975 et 1980. Prometteuse dès sa première sortie sur le circuit de Brno, la remplaçante de la 120S remportera nombre de victoires prestigieuses dans une multitude de rallyes internationaux. De 1984 à 1988, la présence des Škoda en rallye sera assurée par la 130 LR. S’il remporte quelques victoires intéressantes, ce méchant coupé de 129 ch n’aura jamais le palmarès de son aînée, la 130 RS. En 1994, Škoda Motorsport engage deux Favorit en Championnat du Monde des Rallyes, avec pour meilleurs résultats une 8e et une 9e place. Arrivée en 1995, la Felicia Kit Car se distinguera notamment l’année suivante, avec une troisième place en catégorie F2 du Championnat du monde des rallyes. A la lutte avec les Seat pendant toute la saison, les Škoda ont malheureusement perdu toute chance de victoire dans le dernier rallye. Sur les 48 exemplaires fabriqués, quelques-uns sont encore en activité. L’Octavia Kit Car fait son apparition en 1997, au Rallye de Sardaigne. Elle enchaînera les places d’honneur jusqu’en 2003, mais sans jamais briller vraiment. La petite Fabia arrive donc à la mi-2003 sur le Championnat du monde des rallyes. Si les deux premières saisons sont décevantes, les pilotes officiels de l’écurie Red Bull Škoda afficheront des résultats plus satisfaisants par la suite, notamment au Rallye de Catalogne 2006, et au Rallye d'Allemagne en 2007. En 2009, Škoda engage une Fabia S2000 en IRC, avec pour pilotes le tchèque Jan Kopecký, vainqueur notamment des Rallyes de Barum et des Asturies en 2009, et du Rallye des Canaries en 2010, ainsi que le finlandais Juho Hänninen, vainqueur du Rallye de Russie en 2009, et des Rallyes d’Argentine et de Sardaigne en 2010, et le français Nicolas Vouilloz.Partenariats
Škoda Auto est partenaire du Tour de France cycliste depuis 2004, et devrait l’être au moins jusqu’en 2013, d’après un récent accord passé avec ASO, l’organisateur du Tour. Škoda sponsorise également les équipes cyclistes professionnelles Cofidis, Cervélo, La Française des Jeux, Euskaltel – Euskadi, Milram, Rabobank, Saxo Bank, et Omega Pharma-Lotto.Sources
Sur les autres projets Wikimedia :
- Škoda Auto, sur Wikimedia Commons
- Bernard Vermeylen, Voitures des pays de l'Est, Boulogne-Billancourt, ETAI, 2008, 239 p. (ISBN 978-2-7268-8808-7) (OCLC 470767381)
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