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mardi 1 mai 2012

Audi va utiliser une technologie du futur pour sa R18 TDI aux 24 H du Mans

La marque aux anneaux a fait une première sortie remarquée, lors des récents essais pour les 24 H du Mans. Sous sa robe sombre et high tech, la R18 TDI s'est montrée plus véloce que les Peugeot 908. A six semaines de l'événement, le constructeur allemand lève un peu le voile sur le moteur. Le V6 TDI, plus léger de 25 % par rapport à l'ancien V10, développe plus de 540 ch. Ce bloc diesel est une vitrine technologique qui embarque des composants que retrouveront un jour les automobilistes sur des modèles de série.



En fait, plusieurs pistes ont été explorées, dont la technologie hybride et la récupération d'énergie. Le Dr Ullrich, patron d'Audi Motorsport, a préféré assurer avec un diesel classique. Mais, dès que la solution aura fait la preuve de sa fiabilité, elle sera utilisée au Mans. L'architecture du V6 TDI autorise d'ailleurs une évolution vers l'hybride. Mais, pour revenir à ce moteur diesel, la singularité provient d'un concept déjà utilisé en Formule 1 dans les années 80 et qui a pour nom "hot side inside". Les collecteurs d'échappement, qui étaient placés de part et d'autre du moteur, ont finalement été intégrés entre les deux rangées de cylindres. Il en résulte un meilleur écoulement de l'air et un centre de gravité plus bas. L'autre atout de ce moteur est son angle d'ouverture à 120 degrés, qui en fait un démonstrateur technologique. Audi n'utilise qu'un seul turbo - un turbo à géométrie variable emprunté à Garrett et déjà présent sur la R15 TDI - au lieu de deux. Placé au dessus du moteur, il renvoie l'air extrait de la prise d'air directement sur le toit de l'auto, ce qui permet de convertir la pression dynamique générée à haute vitesse sans perdre de puissance au passage. Et l'autre trouvaille est un système de refroidissement assez unique pour les têtes de cylindres qui pourrait trouver une suite pour les modèles de série. En plus, ce moteur est le plus silencieux jamais conçu par Audi en compétition.


Par ailleurs, Audi a peaufiné chaque détail afin que la R18 TDI soit une voiture « light » et même « ultra light ». Le gain de poids aura un effet bénéfique sur la performance et la réduction de la consommation, selon la marque allemande. D’une certaine façon, ce sera le reflet sur la piste de ce qu’Audi réalise déjà sur les modèles de série. Autres détails techniques : la boîte de vitesses à 6 rapports est à commande électrique et les feux sont à LEDS comme sur les modèles de série. L’aérodynamisme a été conçu aussi de façon à mieux refroidir l’habitacle.

Tom Tom se sert-il de ses GPS comme des mouchards ?

Après l'iPhone qui stocke les données géolocalisées, est-ce au tour des GPS de jouer à Big Brother ? Aux Pays-Bas, les automobilistes ont eu la surprise de voir des contrôles radar vraiment très bien placés. Les policiers étaient disposés, comme par hasard, là où les automobilistes ont vraiment l'habitude de rouler trop vite. La polémique a enflé quand il s'est su que la police néerlandaise s'était en fait appuyée sur les données GPS de Tom Tom, et en particulier son service IQ Routes qui analyse l'historique des vitesses moyennes pour indiquer le meilleur itinéraire.



L'explication ? La voici. Tom Tom dispose en fait d'une filiale, baptisée Licensing, et dont la vocation est de revendre des données (anonymes) et des technologies à des clients extérieurs. En l'occurrence, le client était le gouvernement néerlandais qui était intéressé par les vitesses moyennes pratiquées, afin de remédier aux points de blocage et d'améliorer le réseau routier.
Au départ, l'intention était louable, mais les pouvoirs publics ont en fait détourné la base de données de l'objectif initial.


En clair, Tom Tom s'est fait avoir dans cette affaire. Cela n'a pas empêché l'entreprise de présenter ses excuses, avec notamment une vidéo du PDG, Harold Goddijn, qui a été mise en ligne sur You Tube.

Voir la vidéo :



Ce précédent fâcheux servira de leçon à Tom Tom. Il va modifier en conséquence ses licences, afin de ne pas porter atteinte à ses clients. L'objectif de l'entreprise est d'aider à réduire les embouteillages et rien d'autre. La base de donnés IQ Routes contient à ce jour 3000 milliards d'itinéraires.

Une mise à jour pour le Parrot Asteroid

L'autoradio connecté par clé 3 G peut recevoir une mise à jour avec la version 1,5 du logiciel. Les améliorations portent sur la connexion Internet (partage de la connexion par USB avec les mobiles Android, Blackberry et Windows Phone (ou via Bluetooth pour l'iPhone et les téléphones sous Symbian). Le nouveau logiciel permet également de piloter l'autoradio par des commandes au volant (système Unika* proposé par Parrot). L'Asteroid innove aussi avec TextFriendly, une fonction qui permet d'écouter ses mails et ses SMS en text to speech et d'y répondre à la voix. Pour le reste, rappelons que cet autoradio connecté donne accès à un univers de services avec parmi les applis Parrot Maps, Road Trip, Parking Dispo, Essence Eco, Deezer, Coyote, la Météo, les Pages Jaunes, ou encore Orange Live Radio.

Voir la vidéo :

 

*Compatible avec 200 modèles de 34 marques

Des voitures sans pilotes et en ville dès 2013 ?

Voilà une annonce qui a de quoi intriguer... Quel constructeur a donc décidé d'introduire cette technologie ? En vérité, aucun. Mais, il n'en demeure pas moins que la ville de Belfort va bien accueillir en mars 2013 une démo (on appelle ça un showcase dans le jargon) de véhicules qui roulent en convoi et sans conducteur. L'expérimentation aura lieu dans le cadre du projet SafePlatoon, financé par l'ANR (Agence Nationale de la Recherche) et qui a débuté en mars 2011 pour une période de 36 mois. Il est piloté par l'Université de Technologie Belfort-Montbéliard (UTBM) et soutenu par le Pôle Véhicule du Futur. L'objectif est de développer d'ici 2014 des algorithmes assez fiables, de façon à ce que des véhicules puissent s'insérer dans le trafic, détecter les obstacles (autres véhicules, piétons) et quitter la voirie pour venir se garer. Les applications pourraient concerner l'auto partage en libre-service, les militaires mais aussi le monde de l'agriculture.



Les partenaires* de SafePlatoon ont déjà participé à des projets liés à la conduite en convoi et aux véhicules autonomes. Par ailleurs, on parle ici de petits véhicules, plus proches de la voiture de golf. Par exemple, l'UTBM a développé via son laboratoire SeT (Systèmes et transports) la Set Car, qui est un petit véhicule électrique (sur base de Chrysler Gem), ou encore le Robucar, qui est propulsé par quatre roues motrices et complètement automatisé. Dans les deux cas, le prototype est équipé d'un télémètre laser et peut se localiser dans un environnement virtuel dans lequel les objets ou les piétons sont modélisés. Le projet SafePlatoon va utiliser la simulation 3D (grâce à la plateforme Pro-Sivic de la PME Civitec) pour tester la fiabilité des algorithmes avant de passer à la phase pratique. Après Belfort, d'autres démos sont programmées : à l'automne 2013 dans une ferme expérimentale de l’Irstea (anciennement le Cemagref), et la dernière en mars 2014, sur la plate-forme PAVIN**. Ce sera l'occasion de voir plusieurs véhicules autonomes : des SetCars, mais aussi le VIPA (Véhicule Individuel Public Autonome) de Ligier, des quads, des 4x4 et même des tracteurs ! Les constructeurs automobiles seront conviés à ces démos. L'UTBM devrait même inviter Google pour leur montrer ce que les frenchies savent faire et leur faire goûter à l'occasion de la Cancoillotte.

*Comme le LASMEA (Laboratoire des Sciences et Matériaux pour l’Electronique et d’Automatique)
** La Plate forme d’Auvergne pour les Vehicule Intelligents est un site de 5000 m2 offrant aux petits véhicules de type Cycab la possibilité d’évoluer dans des environnements realistes ; urbain d’une part, avec 317 m de voies goudronnées des façades d’immeubles, un carrefour, un rond-point, une zone de montée de passagers ; et rural d’autre part avec 264 m de pistes stabilisées avec zone de dévers, sol instable (bac à sable), anneau de vitesse (15 km/h max). Le site est équipé avec de l'informatique, des cameras, une couverture Wi-Fi, des feux de signalisation, de l'éclairage, etc...

Voiture abimée...

Toujours en 1995, cette photo à été prise à Monaco, ou Eddie Irvine venait de réctifier le train avant de sa Jordan Peugeot dans les dernieres secondes de la séance de qualification. La pôle avait été réalisée par Damon Hill, sur Williams, dans un tour exceptionnel, ou il avait été visiblement plus rapide que ces concurrents. Le chronomètre confirmas d'ailleur cette impression, l'anglais collant presque une seconde pleine à Michael Shummacher...
En course, l'ordre de la premiere ligne s'inversait, et l'allemand remportait la victoire devant l'anglais...

De retours de Montréal...

De retours de Montréal, le circus de la Formule 1 c'était arréter à Magny cours, pour permettre à jean Alesi de feter dignement sa premiere victoire...
Loin de la fête, nous voici à quelques instant du départ du grands prix de France 1995... à la fin du tours de chauffe, les dernieres voitures stoppent à leur emplacement...

Lamborghini Gallardo Spider à Sion






Devant la cathédrale de Sion!

Mercedes CLS63 AMG à Sion



Mercedes C63 AMG Estate à Sion



17 ans après, Ayrton Senna…



Dernier pilote de F1 à avoir disparu en course, Ayrton Senna dont l’aura était déjà phénoménale est devenu une légende il y à tout juste 17 ans.
D’autres que moi vous parleront bien mieux de qui il était et de sa carrière.

Aujourd’hui, j’aimerais me pencher sur les circonstances qui ont envoyées la voiture dans le mur. Il est étrange de constater que bien que l’action ait été filmée sous au moins quatre angles différents, on ne sait aujourd’hui pas avec certitude ce qui c’est passé ce jour là dans la Williams N 2.

Deux hypothèses toutefois sont aujourd’hui prédominantes:

Mal installé dans son auto depuis le début de la saison, Senna demanda à son équipe de revoir la colonne de direction afin de pouvoir modifier sa position. La modification fut effectuée à la hâte, dans le paddock de Saint Marin, sur une pièce déjà sensible.
Pendant la course, au début du 7eme tour, les soudures mal réalisées finirent par céder au plus mauvais moment, alors que Senna inscrivait sa voiture dans Tamburello.
S’ensuivirent les tentatives désespérée de Senna pour rattraper l’auto, freinant au maximum des capacités de la machine, puis donnant un coup d’embrayage et d’accélérateur pour tenter de faire pivoter la voiture afin d’éviter le choc frontale.

Cette thèse est la plus couramment admise, et c’est même celle qui à officiellement été retenue par le procès de Bologne.

Une autre théorie circule: En 1994, la sécurité des circuits et des voitures n’est pas optimum. Dès le Vendredi, on crie au miracle suite à l’accident de Rubens Barrichello.

Dix ans après, Damon Hill se rappel que l’accident de Rubens Barichello, comme celui plus tôt dans la saison de Jos Verstappen, avait eu un effet positif sur les pilotes «Nous avons continué les qualifications rassurés car nos voitures étaient solides comme des tanks: nous pouvions être secoués mais pas blessés». Le samedi, en revanche, c’est la douche froide, lorsque Roland Ratzenberger perds la vie à l’entrée de la Tosa (quelques centaine de mètres après Tamburello)…

Dimanche, au moment du départ, l’horreur continue, avec Pedro lamy qui accroche la Benetton de J.J. Letho en envoyant des débris sur les spectateurs. La course est alors neutralisée par un safety car, dont on ne faisait habituellement pas usage en Formule 1.

Derrière la voiture de sécurité, Senna et les autres pilotes font ce qu’ils peuvent, mais les températures s’affolent… Alors que les moteurs ne refroidissent pas suffisamment, les pneus ne restent pas à la bonne température : lorsque un pneu de F1 perds sa température, il perds aussi sa pression… 5 tours seront couvert a vitesse réduite.
Lorsque au 6eme tour la course reprends, la Williams talonne car réglée trop bas. Du fait de l’interdiction des suspensions actives, le réglage des suspensions en course est en 1994 un compromis pour avoir la hauteur de caisse idéale durant toute la course. Ce qui veux dire que la voiture est trop basse en début de relais avec le plein d’essence, et trop haute en fin de relais avec le réservoir à sec…
Ce phénomène amplifié par la perte de pression des pneus qui firent perdre encore quelques millimètres à la voiture… Lorsqu’à l’entame du 7 eme tour Senna s’inscrit dans la courbe, la voiture trop basse talonne fortement sur le circuit bosselé. Le talonnage excessif fait rebondir la voiture, l’air s’engouffre sous le fond plat, et casse l’effet de sol. Du fait de la rupture du flux aérodynamique, la formule 1 se retrouve en gros sur virage, puis, lorsqu’elle retrouve l’adhérence, en sous virage, c’est ce que l’on appel un coup de raquette.

Il n’y à alors plus rien à faire…
La suite est hélas connue.
Le choc est violent.
La voiture quitte sa trajectoire à 311Km/h. Malgré le freinge, lorsqu’elle frappe le mur de ¾ face, elle est encore à 211Km/h…
Senna sera tué par un élément de suspension traversant la visière de son casque. Sid Watkins, premier médecin sur les lieux et ami d’Ayrton Senna dira plus tard qu’il est vraisemblable que sans le coup de cet élément de suspension, Le pilote Brésilien serait probablement sorti seul de sa Williams…

Quoi qu’il en soit, la disparition d’un homme est toujours un drame, et les questions techniques évoquées dans cet articles sont bien dérisoires…
Malgré certain tour pendable (Suzuka 1990 par exemple), Ayrton Senna était un homme hors du commun. Multimillionnaire et issue d’une famille aisée, il passait le plus claire de son temps libre à se battre pour l’amélioration des conditions de vie dans les Favelas.
Détail qui en dit long, au moment du départ de ce funeste grands prix, ce n’est pas un drapeau Brésilien qui était dans sa poche, mais un drapeau autrichien, qu’en cas de victoire il aurait brandis en mémoire de Roland Ratzenberger… Obrigado, Ayrton…


Dodge Ram 1500 (version V8 Magnum)



Moteur : 8 cylindres en V, 5.7 litres, 235cv

Alfa Romeo GT V6


Moteur : 6 cylindres en V, 3.2 litres, 24 soupapes, 240cv

Prix : 38 600€

CoPilot Live arrive sur l'iPad



ALK Technologies lance CoPilot Live HD, le logiciel de navigation GPS spécialement crée pour l’iPad 3G. Grâce aux cartes stockées directement sur la tablette d'Apple, CoPilot Live HD profite pleinement du récepteur GPS intégré de l’écran tactile haute résolution pour délivrer la meilleure expérience de navigation GPS possible. Ce logiciel spécial simplifie la navigation avec des cartes et des graphismes HD impressionnants. Un nouvel écran dédoublé combine la visualisation des cartes 3D et 2D ainsi que les instructions à chaque changement de direction. Comme sur la version de CoPilot Live pour iPhone, le modèle HD passe du mode portrait au mode paysage automatiquement, intègre la fonction pinch-zoom et accède directement aux playlists iPod depuis l’application. Plus que de la simple navigation directionnelle, CoPilot Live HD intègre aussi la planification et prévisualisation des trajets, permettant ainsi de repérer l’itinéraire de porte à porte sur l’iPad avant de prendre la route. Les utilisateurs peuvent entrer plusieurs arrêts et optimiser le trajet afin de calculer le meilleur chemin à prendre. Des options avancées incluent l’accès à la recherche de proximité, la météo en temps réel et la personnalisation des profils d’itinéraires.
CoPilot Live HD Amérique du Nord est disponible pour l’iPad 3G dès aujourd’hui. Le prix est le même que celui del’application CoPilot Live pour iPhone.

Porsche 911 GT3 (997)



Photo prise lors de la journée circuit à Chenevières le 7 octobre 2007

Peugeot 206 RC



Photo prise lors de la journée circuit du 28 août 2007 au Géoparc

L'écologie prend le pouvoir en compétition


Les constructeurs n'hésitent plus à afficher sur circuit leurs innovations technologiques.
Volvo en est la preuve vivante, puisque la marque suédoise vient d'engager en championnat de voitures de tourisme dans son pays (STCC) une C30 équipée de la technologie DRIVe (aérodynamique plus étudiée, pneus à faible résistance au roulement, système Stop & Start de coupure automatique du moteur à l'arrêt, modifications au niveau de la boîte de vitesses, recharge de la batterie au freinage...), reflet de ce qui est proposé sur les modèles de série. Ce n'est pas un coup d'essai pour Volvo qui, en 16 ans d'engagement dans ce championnat, a déjà engagé un break diesel avec catalyseur, une version alimentée au gaz naturel et plus récemment un modèle au bioéthanol E85.

Volvo n'est d'ailleurs pas un cas isolé. Toyota a par exemple aligné au Japon une voiture hybride lors d'une course d'endurance. La technologie hybride sera d'ailleurs certainement un bon motif de compétition dans des épreuves du type Le Mans qui, pour l'instant, tournent à l'affrontement entre Audi et Peugeot dans le domaine du diesel (et cela, qui l'eût cru il y a seulement 10 ans ?).
Les écologistes - ou plutôt devrais je dire les Ayatollahs de la "vertitude" - ont beau jeu de montrer du doigt l'irresponsabilité des constructeurs qui font de la compétition sur circuit, brûlant du pétrole pour rien. Savent-ils au moins qu'il existe des catégories du type Bioracing Series où les bolides s'affrontent au jus de betterave ou de colza ? Il me semble qu'on est en train de basculer dans une autre ère. Le karting passe à l'électrique et même la Formule 1, accusée de tous les maux, tente d'évoluer avec le système KERS de récupération d'énergie.
Tout cela va dans le bon sens. Ce qui compte, c'est qu'on ait du spectacle en bord de piste. Tant pis si les circuits ne sentent plus l'essence et l'huile. Moi, en tout cas, ça ne me choque pas.

La mobilité de demain s'affiche à Shanghaï


Dans le cadre de l'Exposition Universelle de Shanghaï, qui vient d'ouvrir, plusieurs constructeurs ont décidé de présenter leurs solutions pour la mobilité de demain. Elles sont en phase avec le slogan de l'Expo 2010 ("better city, better life"). La présence la plus imposante est celle de General Motors avec son partenaire Shanghai Automotive Industry Corporation (SAIC) qui seront présents avec un pavillon commun. Ils présenteront l'avenir de la mobilité durable sous le thème « Drive to 2030 » (« En route pour 2030 »). Parmi les véhicules du futur présentés dans le pavillon SAIC-GM, on pourra voir notamment les concepts EN‑V (Electric Networked-Vehicle), récemment dévoilés, qui joueront un rôle clé.


Voir le clip GM EN-V :



Le design du pavillon de 6 000 mètres carrés de SAIC-GM tire son inspiration de la nature et d’une silhouette de carrosserie automobile. Sa forme spiralée suggère la promesse et le progrès, en esquissant une route qui relie le présent au futur. L'Angel’s Eye, un écran LED de 300 mètres carrés, captera de loin l’attention des visiteurs de l’Exposition grâce des vidéos, des images et d'autres informations utiles captivantes.

Voir le diaporama :



Le pavillon SAIC-GM a déjà reçu le « Most Excellent Public Building Prize » de la part de l’Architectural Society de Shanghai lors de la remise des Architecture Creation Awards.
À l’intérieur, le pavillon est divisé en trois zones : pré-exposition, exposition principale et post-exposition. Dans la zone de pré-exposition, les visiteurs découvriront une rétrospective de la transformation urbaine et du développement automobile au cours 20 dernières années. Ils se projetteront dans 20 ans et découvriront tous les défis et toutes les solutions imaginées par SAIC et GM. Dans la zone d'exposition principale, les visiteurs pourront s’installer dans des sièges mobiles uniques pour regarder un film projeté sur un écran panoramique de 38 mètres. Ils verront et sentiront les infinies possibilités qu'offrira le véhicule motorisé dans les années 2030, et comment il rapprochera les gens. Et la surprise finale sera encore plus grande, avec une présentation dynamique de tous les véhicules virtuels sur scène. Dans la zone post-exposition, les visiteurs pourront voir de plus près les concept-cars présentés dans le film. La zone sera décomposée en huit sections : corridor d’accueil, plateforme de circulation, ville satellite, quartier d'affaires central, vie en appartement, fenêtre sur l’avenir, perspective d'avenir et ventes de souvenirs.

Voir le clip GM drive to 2030 :



Bien entendu, la voiture électrique de GM, la Chevrolet Volt, fera également une apparition lors de l’Exposition Universelle. La Volt et la Chevrolet Equinox, alimentée par une pile à combustible, serviront toutes deux de navettes VIP pour la délégation de l’exposition.
Accéder au site GM sur Shanghaï : http://www.gmexpo2010.com/en
Site de l'Exposition Universelle : http://fr.expo2010.cn/



Daimler est également présent à l'Exposition Universelle de Shanghaï. Le groupe expose des véhicules électriques à batterie et à pile à combustible, et en profite pour dévoiler un nouveau concept "Flex Mover" de mobilité individuelle. Par exemple, au pavillon "planète urbaine", les visiteurs pourront tester la Smart électrique. Ils pourront aussi s'informer sur le projet Car2Go d'auto-partage, déployé en Allemagne près de Stuttgart et au Texas. La location est possible par Internet, ou directement à partir d'un Smartphone. Les 200 voitures en service sont utilisées entre 700 et 1000 fois par jour. Au pavillon allemand, Daimler présente la Blue ZERO Concept et une vidéo sur le thème "la route vers le zéro émission". Le groupe est également partenaire avec Nestlé sur le pavillon suisse, où 20 Smart sont utilisées en tant que taxi. Daimler fournit enfin des navettes pour le pavillon des Nations Unies et le pavillon corporate de Shanghaï.



VW sera aussi au rendez-vous sur le pavillon allemand. Le constructeur a décidé de présenter 6 véhicules, du Touran à la Phaeton. Le constructeur allemand profitera de l'événement pour faire essayer aux médias chinois et aux autres journalistes ses premiers véhicules hybrides et électriques.



Côté français, la présence automobile se limite à Citroën avec le concept car Metropolis, conçu par son bureau de style de Shanghaï. Ce concept, qui préfigure un futur modèle haut de gamme, est une limousine au design d'avant-garder et avec une chaîne de traction Hybride Plug in. Peugeot exposera aussi la BB1 du 14 juillet au 15 août.

Voir la vidéo :