Le Brivido est l'un des plus beaux coupés du salon de Genève. Ce concept, réalisé par Italdesign Giugiaro, vaut également le coup d'oeil à l'intérieur. Son intérieur est futuriste (rétro caméras) et sa console centrale tactile est astucieuse. Mais, ce qui a retenu mon attention, c'est l'emplacement prévu pour insérer son iPad, côté passager. Il y a une fente qui est prévue au-dessus de la boîte à gants. L'intérêt ? Ce port pour iPad permet de retrouver tous les contenus de sa tablette sur un écran du véhicule. De quoi profiter de ses photos ou vidéos sans avoir à tenir l'iPad sur ses genoux. Le groupe Volkswagen, qui est le propriétaire du studio de design italien, reprendra peut être l'idée...
A l'ouverture du salon de Genève, le Président de Toyota Europe, le français Didier Leroy, a évoqué la sortie du premier modèle à pile à combustible en 2015. Ce n'est pas tout à fait une surprise, car l'annonce avait déjà était faite l'an dernier au salon de Tokyo. J'en avais même parlé sur ce blog en octobre dernier. La date de 2015 n'est pas un hasard. Elle correspond à l'engagement pris par un certain nombre de constructeurs dont également Daimler, Ford, Honda, Hyundai-Kia, General Motors et Renault-Nissan. Chez Toyota, il s'agira non pas d'un SUV (comme on a pu le voir sous forme de concept pendant des années), mais d'une berline. Ses formes seront proches du concept FCV-R que l'on peut voir sur le salon de Genève. Tout est dit à travers ces lettres : Fuel Cell Vehicle pour l'hydrogène et R pour Réalité et Révolution.
Voir la vidéo :
Le premier modèle de 2015 sera en quelque sorte une pré-série pour amorcer le marché. Par la suite, et c'est ce qui constitue à mes yeux la vraie nouveauté, Toyota entend vendre plusieurs dizaines de milliers de voitures au cours des années 2020. La marque japonaise se dit prête pour la série. Ce n'est pas la seule, puisque d'autres marques (dont par exemple Mercedes et Nissan qui vont élaborer un véhicule en commun pour 2016) vont tenir cet engagement.
Selon Frost & Sullivan, "Toyota a toujours tenu ses promesses, dont la Prius est un parfait exemple, et il n’y a aucune raison de douter de son engagement pour la production du premier véhicule à piles à combustible prévu en 2015". La difficulté va être de mettre en place une infrastructure pour la distribution d'hydrogène à la pompe. Dans son discours, Didier Leroy a souligné que des efforts étaient réalisés en Scandinavie, en Grande-Bretagne et en Allemagne (pas en France, ça vous étonne ?). Toujours selon Frost & Sullivan, "il serait sensé de créer des alliances avec des partenaires pour développer une infrastructure de stations service à hydrogène dans les deux prochaines années. Le stockage de l’hydrogène, à la fois dans les voitures et dans les stations service, implique des systèmes complexes et des coûts associés qui pourraient être partagés avec des partenaires au travers de modèles économiques divers, très similaires à ce que les constructeurs automobiles de véhicules électriques proposent ou développent actuellement". L'hydrogène est en tout cas dans les starting blocks.
A l'approche du salon de Genève les constructeur automobiles s'activent de plus en plus et Ferrari encore plus. En effet, le constructeur italien vient de dévoiler à l'occasion de ce salon deux déclinaison, et non pas une seule, de la 599 GTB. La première est baptisé la 599 HGTE ou Handling Gran Turismo Evoluzione. Il s'agit en fait d'un pack d'équipement qui a pour but d'optimiser au maximum la conductibilité et le comportement sur la chaussé de la GTB. Sous le capot, c'est le V12 de la Enzo qui anime la voiture avec ses 620 ch. La HGTE est teinte en un rouge métallisé et elle est équipé d'un jeux de 4 jantes de 20". Aucune autre information n'a été révélé pour le moments.
La deuxième déclinaison qui fait référence à la fameuse FXX, est la 599XX. Identiquement à la FXX, elle ne sera pas homologué pour la route, elle sera vendu pour une clientèle très spécifique et elle aura la même mission : être la plateforme d'essai et de développement des nouvelles technologies développé par Ferrari. La 599XX équipé par le V12 de la 599 qui voit sa puissance grimpé à 700 ch après une série de modification du système d'échappement. Une boite de vitesse du type F1 est arrimé à l'engin se qui permet des changement de rapports en 60 ms. Il est à noter aussi qu'une utilisation massive de fibre de carbone dans l'élaboration de la carrosserie lui permet de perdre du poids. La grande nouveauté par rapport à sa devancière est qu'elle sera équipé de la nouvelle technologie "High Performance Dynamic Concept" qui va lui permettre d'avoir un meilleur comportement sur piste et ainsi une meilleure performance. Elle est équipé aussi par le l'Activeflow System (deux ventilateurs installés dans le coffre qui aspirent de l'air dans un diffuseur et le rejettent par l'arrière). identiquement à la HGTE, Ferrari fait aussi durer le suspens pour celle-ci aussi puisqu'aucune information concernant ses performances sur pistes n'a été dévoilé.
Malgré son allure délicieusement baroque, cette Morgan Lifecar Concept préserve l’environnement grâce à sa pile à combustible. Une révolution de plus !
Malgré son allure délicieusement baroque, cette Morgan Lifecar Concept préserve l’environnement grâce à sa pile à combustible. Une révolution de plus !
Malgré la disparition tragique de la marque Saab, l'ancien chef de la direction de Saab, Victor Muller ne va pas disparaitre tout de suite. Rencontré par autoguide.com au Salon de Genève, au cours de la journée de la presse, Victor Muller a déclaré, "Je suis un homme qui renaît!"
Victor Muller a révélé les détails pour garder Spyker Cars, marque néerlandaise artisanale qui l'a projeté dans l'univers de l'automobile. «Je suis très heureux de revenir dans cette affaire", a déclaré Muller, ajoutant qu'il a déjà mis la plupart des dettes contractées au cours du fiasco Saab derrière lui. La trésorerie et les finances seront désormais dédiées à la restauration de Spyker.
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Il laisse s'échapper un soupir à la mention de Saab. Muller laisse entendre que Saab n'est pas encore arrivé au terme de ses 9 vies. Certains rapports ont indiqué la possibilité de plusieurs investisseurs potentiels qui pourraient relancer la marque suédoise.[..]Dans tous les cas, Saab n'est plus le problème de V.Muller.
Cette voiture, la CCXR Edition, qui sera produite en 6 exemplaire seulement et pour le mentant de 1.5 Millions d'Euros, est le fruit du travail des ingénieurs de la marque suédoise Koenigsegg connue pour ses supercars à séries limités. Elle a été développée à partir de sa petite soeur la CCX Edition qui ne développait que 888 ch avec son V8 biturbo de 5 litres. Grâce aux bioéthanol la nouvelle version est capable de fournir 1018 ch pour un couple de 1060 Nm. Côté performance ça décoiffe, avec un 0-100 km/h en seulement 2.9 petites secondes, un 0-200 km/h en 8.9 secondes et une vitesse maximale qui, selon le constructeur, pourrait bien atteindre les 417 km/h. Pour permettre à cette bête d'exploiter tout le potentiel de sa motorisation sans nuire à sa conductibilité, la suspension a été largement retravaillés et un imposant aileron est fixé à l'arrière du véhicule.
Dans les salons, il y a parfois des choses difficiles à avaler. A Genève, c’était le fait que Giugiaro, nom incontournable du design italien, se cantonne à présenter des petites compactes électriques. Ce qui, de ce fait, met la grande maison au même niveau qu’Heuliez, et sa Mia. Dur, même si ça n’enlève en rien les avancées que présentent cette petite électrique. L’entreprise française est toujours dans l’expectative d’un rachat prochain, mais présente tout de même cette année, à la grand messe de l’automobile, sa nouvelle vision de l’électrique sans charme. Petit wagonnet aux yeux globuleux, elle n’a pourtant pour le coup rien à envier à Giugiaro (mais quelle douleur de dire cela !). Les dimensions sont celles, logiques, d’une urbaine 3 places : 2,80 m x 1,60 m x 1,50 m. Elle bénéficie donc d’un poids contenu de 600kg. La capacité de chargement est très bonne puisqu’elle s’élève à 1,2 m³. A l’intérieur, le poste de « pilotage » est centré, devançant les deux places arrières, présentes sous forme d’une unique banquette. Mais la partie technique est, de loin, la plus intéressante. Cela se présente donc ainsi : un moteur électrique est animé par une batterie de 6 kWh, lithium bien sûr. Cela offre une autonomie de 80 à 100 km, à la vitesse maximale de 110 km/h. Si cela est trop juste pour l’utilisation voulue, des packs optionnels de batterie 12 kWh ou 18kWh. Le prix est beaucoup moins économique que le moteur : 4 500 euros le pack de batterie. On peut toujours brancher la batterie sur le secteur, rechargeant la batterie en 2 heures. La sortie est prévue pour mai prochain. Et déjà les prix contenus sont généreusement mis en avant : 18 000 euros, moins la prime Borloo sur l’électrique (5 000 euros). 12 000 euros donc pour ce qui s’annonce être la moins chère des électriques.
Vaguement inspiré par la R8, ce concept RS7 présente davantage d’atouts propres à une supercar sans concessions. La proue illustre tout le parti pris futuriste appliqué ici. L’auteur de ce rendu virtuel est un autrichien se nommant Adriano Mudri. Extrême. Cette face avant ne dispose tout simplement pas d’optiques avant, ou incarnés par des lignes de LED au dessus et en dessous des entrées d’air avant placées de chaque cotés. Cela offre à l’Audi imaginaire un gueule pas possible, très proche de celle d’un avion de chasse. Le nez est d’ailleurs très « crochu », à l’image d’une Gumpert Apollo, voire même, je l’ose, d’une BugattiVeyron. Au niveau du cockpit, c’est très proche des courbes actuelles de la marque aux anneaux. Les portes s’ouvrent en élytre. Les jantes, un peu simplistes par rapport à l’audace que trahit le reste. On poursuit le coup d’œil jusqu’à l’arrière, ou apparaissent quelques éléments du moteur. La partie arrière ou se placent les passages de roue sont teintés en noir mat. Un petit rappel à la façon dont se présente à cet endroit l’Audi R8 (on s’accroche à se que l’on peut…). Cette partie arrière est surmontée d’un énorme aileron de la même couleur. Le jugement final est laissé à la sensibilité de chacun. Et les avis sont déjà mitigés !
D’ici 2012, selon une annonce faite en retour de ce Salon de Genève 2010,Bentley promet d’équiper toutes ses séries Continental d’un module bi-carburant.
Ce module Flex-Fuel, ou en français « polycarburant » sera adapté sur les GT, Flying Spur et GTC. Le principe ? Un W12 de 6.0L traditionnel dans la forme mais optimisé pour rouler en éthanol et super/sans plomb mélangé entre eux à hauteur de 85% maxi pour l’éthanol. Les modifications sont essentiellement des pièces remplacés pour éviter la corrosion liée à l’acidité de l’E85.
Cela n’influe en rien sur les capacité du moteur (mais un peu sur sa santé). Bentley est déjà titulaire d’une réussite à l’éthanol, la Continental Supersport, proprement compressée par deux turbos sur ce même W12.
Bentley souhaite définitivement régler ce problème d’émission de CO2
Il y quelques jours quelqu'un a commenté mon poste concernant le projet d'une BMW M5 à 1800 par un :"Malla ham" (traduction du sens : "c'est stupéfiant" ou presque). J'attendrais avec impatience son commentaire concernant ce billet puisqu'il s'agit cette fois d'un projet qui s'est bel et bien concrétisé et qui fait travailler à fond tout ses chevaux. Spiro Pappas. En effet, le préparateur américain Spiro Pappas vient de nous sortir il y a quelques semaines une préparations à 2800 ch. Cette préparations a prit comme plateforme de base une voiture qui date de quelques 40 années... Et oui! ce n'est pas une Porsche, une Mustang, une Veyron ou un quelconque autre bolide récent, c'est une Chevrolet Camaro Z28 de 1969.
A côté de cette Camaro Spiro Pappas les autres supercars de série ou issue d'une quelconque opération de préparation comme la Veyron, la GT9, la DraXter ou même la Maxximus ne sont plus que des jouets pour enfants. Sur le plan technique, le moteur à 8 cylindre en V a été hyper-alésé pour atteindre presque 9 litres de cylindrée et comme cette intervention n'a pas pu suffire deux méga turbocompresseurs ont été ajouté. Vous pouvez jugez de vous même de la taille sur cette photo.
Sur piste, cette petite merveille est une vrai bête de Drag puisqu'elle est simplement capable de faire les 400 mètres en 6 secondes est quelques centièmes. Une performance nettement supérieure à celle faite par les voitures déjà cité au début.
Les alfistes seront sans doute épris d’une nostalgie bien naturelle en admirant cet hommage à la mythique Montréal de 1967, et star de l’exposition universelle de l’année en question. Ca n’est pourtant qu’un jeune homme de 20 ans qui se risque à la référence. Et il reçoit les félicitations du conseil de « classe ». Le concours Stile Italiano Giovani 2010 a donc permis de découvrir ce jeune designer et son travail. L’occasion était toute trouvée puisque le coupé Montréal fête cette année ses 40 ans à Genève, salon qui avait justement vu son avènement. On se réjouit de retrouver différents détails types, comme les 6 ouvertures sur le montant arrière et la grosse triangulaire sur le capot. Mais le détail qui, à mon sens, démarquait la Montréal des autres coupé du genre : les paupières de phare type persienne, insufflant un charisme tout à fait décalé. Et on les retrouve ici aussi, sur cette face avant aux optiques davantage renfoncés. Enfin la double sortie d’échappement n’échappe pas non plus à la référence. Pour le reste, les lignes sont plus fluides et rappellent celles du PininfarinaSpider, à peine présenté à Genève. Le profil de la poupe retombe « à l’américaine » comme c’était le cas sur le coupé italien. Ce concept est en tout cas bien mieux réussit que la tentative de Karl Sanders réalisé l’année dernière
Bleue aux bandes blanches, ça ne vous rappelle rien ? Oui, c’est bien à Gordini que je fais référence, mais c’est un traitement venu d’outre-Atlantique dont on va parler aujourd’hui. Cherchant une trame plus sportive pour sa Fiesta, Ford n’a pas trouvé mieux que le look Gord’. Et si vous pensiez que les nouvelles Gordini de Renault Sport manquaient de coffre, regardez donc cette version américaine. Premièrement, deux livrées sont disponibles. Si vous ne voulez pas être taxés d’usurpateur, il y aura toujours la version blanche à bandes bleus. Oui, le choix est large. Les jantes (16 pouces en diesel, 17 pouces en essence) sont en version unique, blanches à 5 bâtons. Le kit carrosserie ajoute à la Fiesta Sport + spoiler avant, bas de caisse, béquet et diffuseur arrière. L’intérieur est lui aussi gâté avec cuir à surpiqures blanches. Le traitement est appliqué au volant, pommeau de vitesse et la sellerie. Les contre-portes sont bleues et accueillent des inserts chrome. Il faut désormais passer par l’obligatoire case mécanique, pour s’apercevoir que la Fiesta Sport + n’est ni sport, ni plus, et ne donne pas envie de faire la fiesta ! Le premier bloc est le diesel 1,6 TDCi de 95ch, qui dispose tout de même d’un couple conséquent de 205nm. La vitesse maximale est de 180 km/h, la conso moyenne est établie à 4,9 litres aux cent kilomètres (pour 107g de CO² par kilomètre). L’essence est incarné par le 1,6 litre TI-VCT portant la puissance de la compacte à 120ch. Ce bloc abat le 0 à 100 km/h en 9,9 secondes, et fixe la vitesse maximale à 193 km/h. 5,9l/100km et 139g de CO²/km. La carrière européenne débutera premièrement en Angleterre, en Suisse et en Espagne, puis viendra sur le marché français en mai prochain.
La deuxième déclinaison qui fait référence à la fameuse FXX, est la 599XX. Identiquement à la FXX, elle ne sera pas homologué pour la route, elle sera vendu pour une clientèle très spécifique et elle aura la même mission : être la plateforme d'essai et de développement des nouvelles technologies développé par Ferrari. La 599XX équipé par le V12 de la 599 qui voit sa puissance grimpé à 700 ch après une série de modification du système d'échappement. Une boite de vitesse du type F1 est arrimé à l'engin se qui permet des changement de rapports en 60 ms. Il est à noter aussi qu'une utilisation massive de fibre de carbone dans l'élaboration de la carrosserie lui permet de perdre du poids. La grande nouveauté par rapport à sa devancière est qu'elle sera équipé de la nouvelle technologie "High Performance Dynamic Concept" qui va lui permettre d'avoir un meilleur comportement sur piste et ainsi une meilleure performance. Elle est équipé aussi par le l'Activeflow System (deux ventilateurs installés dans le coffre qui aspirent de l'air dans un diffuseur et le rejettent par l'arrière). identiquement à la HGTE, Ferrari fait aussi durer le suspens pour celle-ci aussi puisqu'aucune information concernant ses performances sur pistes n'a été dévoilé.
A côté de cette Camaro Spiro Pappas les autres supercars de série ou issue d'une quelconque opération de préparation comme la Veyron, la GT9, la DraXter ou même la Maxximus ne sont plus que des jouets pour enfants.
Sur piste, cette petite merveille est une vrai bête de Drag puisqu'elle est simplement capable de faire les 400 mètres en 6 secondes est quelques centièmes. Une performance nettement supérieure à celle faite par les voitures déjà cité au début.
C'est à ceci que ressemble un bloc de 9 litres
