Toyota veut démocratiser le co-pilote électronique sur smartphone (seconde partie)

Comme promis, j'aborde aujourd'hui le second volet des services de "Toyota Touch & Go", l'offre que la marque japonaise compte lancer dans quelques mois et que j'ai eu l'occasion de tester en avant-première. Hier, je vous ai parlé des fonctions liés au téléphone lui-même (SMS, photos, musique). Venons en au fait, avec les services d'aide à la conduite. Toyota souhaite agrémenter le GPS de bord de services en ligne. On pourra ainsi faire de la recherche de points d'intérêt avec Google (par exemple, recherche un restaurant indien à proximité), voir les places de parking disponibles, mémoriser par un point GPS l'endroit où on a laissé sa voiture ou encore consulter les prix des carburants.

Un autre bonus est l'application "glass of water". Développée par la filiale suédoise de Toyota pour la Prius, elle donne des conseils en matière d'éco-conduite. Comme son nom l'indique, le programme veut dire en français verre d'eau. Le but du jeu est de ne pas faire déborder le verre, en adoptant une conduite plus apaisée et donc plus respectueuse de l'environnement.

Et en plus, l'écran du GPS affiche l'image de la caméra de recul. Une prestation d'habitude réservée aux modèles "premium". La plateforme embarquée a pour vocation de se développer à travers la gamme Toyota.

Le plus amusant est que celui qui porte ces nouveaux services, Stéphane Boyer, en tant que directeur clients chez Toyota France, avait déjà tenté d'introduire des services numériques en 2004. Qui se souvient du "hub Toyota" et de son univers de services, à partir d'un PDA communicant Qtek et avec un abonnement chez Orange ? Moi, oui... Apparu trop tôt, ce portail de services était très novateur avec une navigation GPS "off board" (avec téléchargement de l'itinéraire en GPRS), des news (actu générale, news de Toyota, cinéma...), une webcam live en direct du Rendez-Vous Toyota, des musiques en MP3 et des clips vidéo...

Entre temps, le contexte a changé et l'utilisation des smartphones - avec leurs applications à base de cartographie et de GPS - a modifié la donne. Rappelons par ailleurs que Toyota a lancé Entune aux USA, un portail qui donne notamment accès au moteur de recherche Bing de Microsoft à partir d'un smartphone. La filiale US de la marque a aussi lancé un nouveau réseau social baptisé Friends, et qui met en relations les propriétaires de véhicules hybrides. Autant de contenus qui pourront alimenter le portail européen.

La volonté avec "Toyota Touch & Go" est de faciliter la conduite, avec un co-pilote électronique qui exploite la puissance du web mais dans un cadre maîtrisé et adapté à l'automobile. J'en ai eu un aperçu assez convaincant. L'autre vertu de ce bouquet de services est de vouloir se mettre à la portée du plus grand nombre. Mais, tout cela fera l'objet d'annonces en temps utile.

Voir le diaporama Toyota Touch & Go :

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Siri Eyes Free : la reconnaissance vocale d'Apple bientôt dans l'automobile ?

A l'occasion de la semaine des développeurs, à San Francisco, Apple a révélé que sa technologie d'assistant vocal Siri allait arriver dans l'automobile. Un transfert qui va se faire dans les 12 mois à venir. La marque à la pomme a cité un certain nombre de constructeurs, dont BMW, . Une liste à laquelle il convient d'ajouter Mercedes qui, sur sa classe A, va aussi intégrer Siri dans le cadre d'un kit pour l'iPhone qui fait office de navigateur GPS et de kit mains-libres.
L'annonce de cette semaine a permis d'apprendre un nom : Eyes Free System. C'est sous ce terme que Siri va se faire une place dans l'automobile. L'idée est d'utiliser le bouton de reconnaissance vocale que l'on trouve généralement sur le volant pour activer cet assistant magique. On imagine la suite : "dis moi s'il y a des bouchons", "quel est le chemin le plus court ?", "tu peux trouver une station service ?".
Siri sera utilisé pour la navigation, mais aussi pour lire et composer des messages, sélectionner une playslist ou encore appeler en mains-libres.

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Essai exclusif des services Toyota Touch & Go (seconde partie)

Comme promis, j'aborde aujourd'hui le second volet des services de "Toyota Touch & Go", l'offre que la marque japonaise compte lancer dans quelques mois et que j'ai eu l'occasion de tester en avant-première. Hier, je vous ai parlé des fonctions liés au téléphone lui-même (SMS, photos, musique). Venons en au fait, avec les services d'aide à la conduite. Toyota souhaite agrémenter le GPS de bord de services en ligne. On pourra ainsi faire de la recherche de points d'intérêt avec Google (par exemple, recherche un restaurant indien à proximité), voir les places de parking disponibles, mémoriser par un point GPS l'endroit où on a laissé sa voiture ou encore consulter les prix des carburants.

Un autre bonus est l'application "glass of water". Développée par la filiale suédoise de Toyota pour la Prius, elle donne des conseils en matière d'éco-conduite. Comme son nom l'indique, le programme veut dire en français verre d'eau. le but du jeu est de ne pas faire déborder le verre, en adoptant une conduite plus apaisée et donc plus respectueuse de l'environnement.

Et en plus, l'écran du GPS affiche l'image de la caméra de recul. Une prestation d'habitude réservée aux modèles "premium". La plateforme embarquée a pour vocation de se développer à travers la gamme Toyota.

Le plus amusant est que celui qui porte ces nouveaux services, Stéphane Boyer, en tant que directeur clients chez Toyota France, avait déjà tenté d'introduire des services numériques en 2004. Qui se souvient du "hub Toyota" et de son univers de services, à partir d'un PDA communicant Qtek ? Moi, oui... Apparu trop tôt, ce portail de services était très novateur avec une navigation GPS "off board" (avec téléchargement de l'itinéraire en GPRS), des news (actu générale, news de Toyota, cinéma...), une webcam live en direct du Rendez-Vous Toyota, des musiques en MP3 et des clips vidéo...

Entre temps, le contexte a changé et l'utilisation des smartphones - avec leurs applications à base de cartographie et de GPS - a changé la donné. Rappelons par ailleurs que Toyota a lancé Entune aux USA, un portail qui donne notamment accès au moteur de recherche Bing de Microsoft à partir d'un smartphone. La filiale US de la marque a aussi lancé un nouveau réseau social baptisé Friends, et qui met en relations les propriétaires de véhicules hybrides. Autant de contenus qui pourront alimenter le portail européen.

La volonté avec "Toyota Touch & Go" est de faciliter la conduite, avec un co-pilote électronique qui exploite la puissance du web mais dans un cadre maîtrisé et adapté à l'automobile. J'en ai eu un aperçu assez convaincant. L'autre vertu de ce bouquet de services est de vouloir se mettre à la portée du plus grand nombre. Mais, tout cela fera l'objet d'annonces en temps utile.

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Diesel, CO2, prime à la casse : l’addition c’est maintenant

L’actualité de ces derniers jours m’amène à livrer ici un certain nombre de réflexions. Commençons par l’appel lancé par Carlos Tavares, le numéro 2 de Renault, pour rétablir une prime à la casse. Suite à cette annonce, le quotidien Les Echos titrait hier que l’Etat envisageait de venir en aide au secteur de l’automobile. Il ne s’agira probablement pas d’une « Hollandette », ce type de mesure ayant coûté un milliard d’euros aux finances publiques la dernière fois, mais d’un coup de pouce plus global qui pourrait intégrer la filière. Il est assez savoureux de voir Renault en appeler à l’aide de l’Etat, alors que ce constructeur produit moins de 20 % de ses voitures en France. Mais, si les constructeurs tricolores sont à la peine, en France comme en Europe, d’autres s’en sortent bien mieux, en particulier les allemands qui eux cartonnent. Et si la solution était avant tout de proposer une gamme cohérente et de ne pas se focaliser que sur les petites voitures ?

Malheureusement, les leçons de la crise n’ont rien donné. Aidés une première fois en 2008, les constructeurs français n’ont rien fait pour structurer leur outil industriel et revoir leur modèle économique en conséquence. Business as usual. Dans ces conditions, pourquoi instituer à nouveau une prime qui ne va pas soutenir la production en France, mais une nouvelle fois faire tourner des usines en Slovénie, en République Tchèque et en Roumanie ?

Cela nous amène au CO2. La France s’est gargarisée d’avoir instauré le bonus malus, suite au Grenelle de l’Environnement. Que n’a-t-on pas entendu à l’époque… Le bilan n’est pourtant pas si flatteur, même si la France a atteint dès 2011 l’objectif de 130 g de CO2 par km fixé pour 2015. Le dispositif a coûté 1,25 milliard d'euros de déficit cumulé entre 2008 et 2010. Mais surtout, cette mesure n’a pas du tout pris en compte l’aspect pollution. Et dire qu’on appelle ça le bonus écologique ! Le problème est que cela a contribué à mettre sur le marché encore plus de véhicules diesel, pas forcément avec un filtre à particules. Après, on s’étonne d’avoir des problèmes de qualité de l’air.

J’en viens à présent au diesel. Ainsi donc, l'information de la semaine est que ce type de motorisation est officiellement reconnu cancérogène, non pas par l'OMS comme cela a été dit mais par le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer) qui fait partie de l'OMS. Les scientifiques ont établi avec certitude que les particules entraînaient un risque de cancer du poumon. Cela concerne d'ailleurs aussi bien les voitures que les trains, les bateaux et les groupes électrogènes.
Mais, mon propos n'est pas de remettre en cause ces conclusions. Il est simplement de mettre les choses en perspective. La France et au sens large l'Europe paient une fiscalité qui a été par trop longtemps favorable à ce type de moteur et qui a conduit à une surreprésentation du diesel sur le marché. Les journalistes et les politiques n'ont sans doute pas joué leur rôle, lors des premiers soupçons sur les risques de cancer. D'un autre côté, il est tout aussi vrai que les technologies ont fait beaucoup de progrès et que le problème vient surtout d'un vieillissement du parc.
Faut-il pour autant instaurer une prime à la casse pour remplacer les vieux diesel par des plus récents et dotés d'un filtre à particules ? Ce serait une idée, mais je ne vois aucun constructeur s'y risquer.

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Audi R8 4.2 420 ch

Grâce à la R8, la pureté de ses lignes et les 420 ch de son V8, Audi fait enfin son entrée dans le clan très fermé des constructeurs de supercars. Première rencontre très très privée avec cette bête de route dans le désert du Nevada.

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Bugatti Veyron

Ferdinand Piech, président de Volkswagen, ne fit pas que relancer la marque Bugatti en 1998 ! Il reprit à son compte le célèbre adage de son fondateur, Ettore Bugatti : « Rien n’est trop beau, rien n’est trop cher ».

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Porsche 911 GT3

Un monstre en liberté !

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Saab ira à Koenigsegg

Koenigsegg, le fabricant suédois de supercar, va reprendre le constructeur Saab avec l'appui d'investisseurs norvégiens.

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Bentley : première photo de la remplaçante de l'Arnage

Bentley dévoile une première photo qui laisse deviner la proue de sa future limousine haut de gamme venant remplacer l'Arnage qui fête ses 11 ans ce mois-ci.

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Petit tour de saabosphère

Tout d'abord un grand merci à Timr de Saabsunited, qui vient d'achever son petit tour photo et vidéo de la 9-3 Griffin Aéro cabriolet par un dixième post sur le sujet.

Dans le post - en anglais of course - n 10, vous trouverez tous les liens vers 9 autres précédents. Il y a des tonnes de photos et des vidéos nous montrant le toit ouvrant, l'infotainement, etc.

Pour un modèle dont la base date de 2002, peu de constructeurs arrivent à garder un design sobre et peu vieillissant comme Saab.
Les motorisations turbo essence biopower ou turbo diesel ont atteint un rapport performance/consommation que beaucoup de constructeurs peuvent envier : preuve que l'ingénierie ne tient pas seulement à quelques milliards de dollars mais aussi à une tradition et à un savoir-faire.
Le chassis sport de cette 9-3 n'a rien lui à envier à une A4 et si vous ajoutez les 4 roues motrices en XWD...

Saabsunited

Saabsunited

Timr ne met que 8 secondes pour le 0 à 100 en mode "sport" avec boîte automatique, ce qui n'est pas mal pour cette version de série, non équipée de la version Hirsch Performance (faisant grimper la puissance à 260 chevaux et ajoutant 50 Nm de couple)

Hop allez voir la suite sur Su !

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Swade @ Inside Saab nous a montré l'autre jour la vidéo crash test de la 9-5 Estate dans le laboratoire Saab à Trollhättan.

L'ami nous a sorti des décombres un vieux film muet montrant comment Saab faisait ses crash test dans les années 60, ici en 1967 sur une 96... "Un peu" moins sûr que celui de la 9-5... (!)

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Frédéric du blogautomobile fait maintenant "dans la dentelle". Attention, c'est du lourd, je vous aurais prévenu.... Le rapport avec Saab : il y a une Saab 900 montecarlo cabriolet dans le clip de Michaël Youn. Mais ça s'arrête là, c'est clair -;)


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Jeff de Saablog-in rapporte un certain nombre de coupures de presse intéressantes, voire inquiétantes, mais assez vraisemblables... J'ai fait le choix d'attendre d'avoir des nouvelles plus officielles pour vous les transmettre, mais si vous voulez vous faire peur, libre à vous. Son blog est à ce jour le plus alimenté sur les derniers rebondissements financiers de Saab. Un de nos lecteurs vient d'ailleurs d'écrire :

Hemfosa, un fond suédois, est prêt a racheter les murs dans la semaine!
Peut être que la BEI ne voyait pas d'un très bon oeil le rachat des murs et l'entrée au capital simultanés par V. Antonov. La dissociation des 2 pourrait alors laisser la voie libre à Vladimir Antonov pour devenir actionnaire de SAAB?

J'ai lu aussi ces nouvelles, mais je suis incapable pour le moment de les confirmer. Donc, je préfère regarder les photos de la 9-3 Griffin Timr.
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Le Saab 9-4X continue gentiment son tour de présentation sur la Terre. Ici aux Iles Canaries où un touriste visiblement ébahi nous fait un tour vidéo intérieur/extérieur. Vous pouvez voir sa vidéo sur youtube. Pas à dire, GM n'a pas fait que mauvaises choses. Dommage qu'ils se soient réveillés trop tard pour Saab...

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A l'interieur meme combat , des plaques d'insonorisant partout  ,elles sont d'origines sauf celle collée sur la joue d'aile arriere droite.
Il va falloir decoller tout çà et gratter aussi l'antigravillon qu'il y a un peu partout.

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petite visite du compartiment moteur apres demontage , pour l'istant çà va , plus tard çà ira moins bien une fois sablée

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Nouvelle Citroen C4 Picasso

Présentation de la Citroen C4 Picasso

Confortable, spacieux et doté d’une modularité plus élaborée que celle du Renault Scénic, dont les sièges du rang central ne s’escamotent pas dans le plancher, l’actuel C4 Picasso possédait tous les atouts en main.

Pourtant, il n’aura pris l’ascendant sur le Scénic II qu’en fin de carrière de ce dernier. Dès sa commercialisation, en 2009, le Scénic III a repris sa place de leader, qu’il occupe encore aujourd’hui.

La Citroen C4 Picasso : revanche futuriste

Pour tenter de déloger durablement le Scénic, le nouveau C4 Picasso (4,50m, 5 places) prend des risques. S’il conserve l’astucieux agencement intérieur de l’actuelle version, il joue son va-tout stylistique via un design très futuriste.

À l’avant, le regard est aiguisé et encadre parfaitement une calandre amincie. Le dessin du bouclier inspire robustesse et puissance, tandis que les flancs sont davantage travaillés, tout en délaissant la ceinture de caisse en forme de vague étrennée par son aîné. L’ensemble gagne en maturité et rend cette nouvelle génération bien plus valorisante. Enfin, la poupe arbore un registre formel très horizontal, censé asseoir ce monospace au sol et gommer visuellement la hauteur du pavillon qui, silhouette oblige, atteint quasiment 1,70m. Ceci apporte une note sportive à cette version «courte» et tranchera avec un traité différent pour la version longue qui, comme pour la génération précédente, se nommera Grand C4 Picasso.

La Citroen C4 Picasso : le petit d'abord

Toujours caractérisé par ses 7places et par son format d’environ 4,60m, celui-ci arrivera en concession fin 2013. L’ordre d’apparition est donc inversé puisque l’actuel Grand C4 Picasso avait été le premier de cordée, dès octobre 2006. Pour Citroën, il est capital d’entrer en scène immédiatement avec le modèle le plus attractif, la version courte séduisant deux clients sur trois !

La Citroen C4 Picasso : l'hybridation

Pour s’inscrire parfaitement dans la tradition d’innovation de la marque, le C4 Picasso associe forte personnalité et dessous techniques sophistiqués. Sa plateforme de DS5 lui donne accès à la technologie HYbrid4 : moteur diesel relié aux roues avant et électromoteur, pouvant fonctionner seul sur quelques kilomètres, qui animent le train arrière.

De quoi placer le Grand C4 Picasso, qui bénéficiera lui aussi du système HYbrid4, en concurrence frontale avec le Toyota Prius+. À un détail près, le Citroën fonctionne au gazole, le Toyota à l’essence. Un argument à double tranchant pour les familles écolos comme pour les adeptes du high-tech.

La Citroen C4 Picasso : gamme connue

  Outre cette version de pointe hybride, qui servira de vecteur d’image, le nouveau C4 Picasso reprendra la palette de moteurs thermiques du modèle actuel, avec deux blocs à essence 1.6 VTi de 120ch et 1.6 THP de 156ch. Pour le diesel, qui séduit aujourd’hui 99% d’acheteurs de C4 Picasso, l’offre débutera avec le 1.6 HDi de 112 ch qui sert aussi de support à la version micro-hybride (dotée d’un système Stop&Start) baptisée e-HDi, puis se poursuivra avec un 2.0 HDi décliné en versions de 150 et 160 ch. 

Commercialisation prévue pour mars 2013 . A partir de 23 000 € (estimation)

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