En 1968 General Motors change entièrement sa gamme de modèles de taille moyenne et ceux à deux portes, comme la Buick qui nous intéresse ici, ont un empattement plus court mesurant 2,85 mètres (7,6 cm de moins qu'auparavant). Malgré la réduction de sa taille, la GS 400 est un peu plus lourde qu'auparavant.
Ce poids supplémentaire va avoir des conséquences au niveau des accélérations et la réduction de l'empattement ne profite pas vraiment au comportement routier jugé moins bon que celui du millésime 1967 par nombre de journalistes auto. Enfin, le tableau de bord ne brille pas par sa sportivité.
Malgré ces critiques, le public aime cette nouvelle Buick et les ventes restent stables en dépit d'une concurrence acharnée, y compris chez GM. Les secrets de l'auto? un prix catalogue qui ne subit pas une grosse inflation, une belle image de marque et une qualité d'assemblage de haut niveau.
La voiture est offerte en deux carrosseries, coupé et cabriolet, elle est motorisée par un 6,56 litres V8 à carburateur quadruple corps développant 340 chevaux à 5000 tr/min et un couple de 597 nm à 3200 tr/min. La transmission standard est une BVM3, les deux alternatives étant une BVM4 et une BVA3. Différentiel, freins à disques à l'avant et direction assistée sont en option.
Pour plus de punch, les revendeurs pouvent installer un kit ajoutant quelques chevaux au moteur, 5 officiellement, 50 plus certainement. Il permet de gagner 1 seconde au 1/4 de mile.
Buick a produit 10743 GS 400 coupé et 2454 cabriolets en 1968.
Comptez 6,8 secondes pour le 0-60 mph et 15,2 secondes à la vitesse de 148 km/h.
Via Auto Editors of Consumer Guide, photos via Barrett-Jackson, Mecum Auctions
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