Pour sa deuxième année de commercialisation, la Chevrolet Camaro reçoit quelques retouches : disparition du becquet arrière et feux de position latéraux (pour répondre à une norme fédérale) permettent de faire clairement la différence entre un millésime 1967 et 1968.
L'option Super Sport, disponible sur coupé et cabriolet, inclut des suspensions renforcées et plusieurs moteurs en fonction de la rallonge financière mise sur la table. Nous trouvons un 5,7 litres de 285 chevaux, d'un 6,5 litres de 325 chevaux à 4800 tr/min et 556 nm à 3200 tr/min, le même moulin boosté à 350 chevaux (nouveauté pour ce millésime) et le L78 de même cylindrée qui grimpe à 375 chevaux. 270 exemplaires ont le droit au L89 dont la culasse est en aluminium mais la cylindrée et la puissance restent inchangées par rapport au L78.
Toutres les SS ont des amortisseurs arrière avec 5 ressorts à lame et l'option freins à disques à l'avant comprend une monte pneumatique de 15 pouces (14 pouces d'origine). les SS 396 ont un capot spécifique avec prises d'air factices et une partie arrière noire au niveau des feux. Le client peut opter pour des feux escamotables.
Dans l'habitacle, la BVA Hydra-Matic à 3 rapports a le droit à un nouveau levier en forme d'étrier.
Sachez pour l'anecdote que quelques concessions ont logé un 7 litres de Corvette sur les Camaro SS 396 des millésimes 1967 et 1968, c'était cher (6000 dollars de l'époque) mais inutile de dire que ça dépotait.
Pour les performances, la version de 325 chevaux est capable de faire le 0-60 mph en 6,6 secondes et le 1/4 de mile en 15 secondes à la vitesse de 151 km/h.
Via Auto Editors of Consumer Guide, photos via Barrett-Jackson sauf numéro 1 via GM
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