En France, la Mercedes Classe E est la berline la plus appréciée de sa catégorie. Les ventes du break restent très confidentielles face à celles des Audi A6 Avant, BMW Série 5 Touring et Volvo V70. Il faut avouer que si ses rivales sont un peu moins pratiques, elles ont l'avantage d'avoir su éviter le « look corbillard ». Pour récupérer des parts de marché, le break Premium de Mercedes s'équipe d'une mécanique de coeur de gamme, à la fois sobre et puissante, et d'une simple boîte automatique à 5 rapports. Un choix qui devrait plaire au plus grand nombre.
Près de 2 mètres cube
La nouvelle génération de Classe E break optimise sa capacité de chargement avec une silhouette de plus en plus élancée. Le break regroupe l'ensemble des critères d'achat fondamentaux : le volume du coffre fait toujours office de référence (695 - 1950 litres), ses proportions sont équilibrées, du hayon à la banquette, et la modularité est au rendez-vous.
La dotation de série est riche. Mercedes livre tout l'attirail essentiel à un break Premium digne de ce nom. Nous trouvons notamment une porte de hayon motorisée avec angle d'ouverture réglable et une banquette arrière inclinable à l'aide d'un simple levier. En option, une troisième rangée de sièges réservée à deux enfants, est installée dos à la route et rabattable dans le plancher.
La dotation de série est riche. Mercedes livre tout l'attirail essentiel à un break Premium digne de ce nom. Nous trouvons notamment une porte de hayon motorisée avec angle d'ouverture réglable et une banquette arrière inclinable à l'aide d'un simple levier. En option, une troisième rangée de sièges réservée à deux enfants, est installée dos à la route et rabattable dans le plancher.
Un confort décevant pour une Mercedes
Au volant, nous retrouvons tout le savoir faire Mercedes en terme de trains roulants et de mécanique. La direction est douce et bien équilibrée. En ville, le rayon de braquage réduit (11.25 m) est très pratique pour manoeuvrer. Sur route, la caisse s'inscrit parfaitement en courbe et conserve un comportement neutre. La motricité est sans faille. L'ensemble est homogène et contribue à apporter un agréable sentiment de sécurité et de confiance.
Seul le confort nous a semblé perfectible. L'amortissement piloté « Airmatic » n'est malheureusement proposée en option qu'à partir de six cylindres sous le capot, mais l'essieu arrière en profite de série afin de conserver une assiette constante quelque soit la charge. Pour davantage de bien-être, des jantes d'un diamètre inférieur (16 pouces) compenseront un tant soit peu la fermeté de la sellerie cuir.
Seul le confort nous a semblé perfectible. L'amortissement piloté « Airmatic » n'est malheureusement proposée en option qu'à partir de six cylindres sous le capot, mais l'essieu arrière en profite de série afin de conserver une assiette constante quelque soit la charge. Pour davantage de bien-être, des jantes d'un diamètre inférieur (16 pouces) compenseront un tant soit peu la fermeté de la sellerie cuir.
Idéale pour faire de la route
La large gamme de moteurs permet de répondre à tous les types de besoins, et à toutes les envies. Mais le récent quatre cylindres Diesel 250 CDI BlueEfficiency, couplé à une transmission automatique à 5 rapports (avec mode Sport), est l'association la plus intéressante. Avec son énorme couple de 500 Nm disponible dès 1600 tr/min, il offre des performances de premier ordre. Pourtant le petit Diesel 2.2 litres se contente d'une consommation mesurée de 6.1 litres / 100 km en cycle mixte.
La clientèle des anciens six cylindres Diesel, aura du mal à s'habituer à sa sonorité peu valorisante et omniprésente en ville. Mais la perte de deux cylindres sera moins insupportable pour les gros rouleurs. Le 250 CDI se révèle en effet impérial en conduite coulée sur voies rapides, où il excelle aussi bien par sa discrétion que par ses puissantes relances. Il permet également d'échapper au malus de 750 €.
La clientèle des anciens six cylindres Diesel, aura du mal à s'habituer à sa sonorité peu valorisante et omniprésente en ville. Mais la perte de deux cylindres sera moins insupportable pour les gros rouleurs. Le 250 CDI se révèle en effet impérial en conduite coulée sur voies rapides, où il excelle aussi bien par sa discrétion que par ses puissantes relances. Il permet également d'échapper au malus de 750 €.
Conclusion
Sans fioritures, cette configuration intermédiaire dans la gamme, répond à quasiment toutes les conditions pour séduire la clientèle du segment. L'agrément routier n'est pas celui d'une 350 CDI BA7 Full option, mais le positionnement prix rend le choix très rationnel. Pratique, séduisante, ses qualités intrinsèques sont indemnes, seuls les compromis « confort / stabilité de caisse » et « puissance / rugosité » nous ont parus perfectibles.
Pas certain toutefois que ces efforts soient suffisants pour améliorer le problème des ventes, car le design reste le principal critère d'achat.
Pas certain toutefois que ces efforts soient suffisants pour améliorer le problème des ventes, car le design reste le principal critère d'achat.
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