Soucieux de rompre avec un quotidien quelque peu maussade, le Losange prépare activement l'approche des beaux jours. Alors que l'ex-Régie décochait en début de semaine son petit spider Wind gréé d'un astucieux toit pivotant, c'est à présent la déclinaison Coupé Cabriolet de la dernière Mégane qui fait l'actualité. Une seconde mouture qui essaie de garder la ligne, sans prouesse technique particulière.
Parmi les pionnières du segment, la Mégane II CC souffrait, tout comme sa rivale sochalienne 307CC, de son postérieur proéminent déséquilibrant son profil. Imposée par les contraintes techniques liées à la cinématique du pavillon, cette poupe massive constitue le principal talon d'Achille de ces cabriolets convertibles en vogue depuis une petite dizaine d'années.
A la différence de certains concurrents, qui se font fort de réduire le volume de la malle par des solutions techniques sophistiquées, avec des pavillons scindés en 4 ou 5 parties et en proie à des chorégraphies toujours plus complexes, Renault mise une fois encore sur la simplicité. Comme sa devancière, la nouvelle venue s'en remet donc à un classique pavillon en deux parties.
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