Eric Geers, Saab ancien directeur de la communication, souvent cité ici, est revenu sur les années Saab sur P4 Ouest.
-Ce n'était pas seulement la dernière bataille qui était stressante, mais les trois dernières années, a déclaré Eric Geers et continue.
- Le conflit avec GM fut fort. Puis vint Koenigsegg, la reconstruction et le manque d'argent, puis ce fut fini.
Vous saviez e qui se passerait quand Spyker est arrivé ?
- Nous avons eu une bonne relation parce que nous deux étions Hollandais (Geers et Muller). J'étais extrêmement fier qu'il soit hollandais. L'industrie automobile exige de grandes quantités d'argent et est brutale. Si vous n'avez pas d'argent alors cela se termine comme ce fut le cas avec Saab. Il est dommage que nous n'ayons pas trouvé un propriétaire avec de grosses sommes d'argent, dit Eric Geers.
- Nous étions bien jusqu'en en Mars de l'année dernière, juste avant le premier arrêt. Mais, malheureusement, à court d'argent.
- Nous étions constamment dans les journaux, c'était stressant pour tout le monde. Mais la vérité est sans doute bien plus turbulente que ce que les gens pensent. Mais nous avons cru en Saab, c'était presque comme un culte. Nous savions que nous avions raison.
- Nous croyions en la marque et nous avons pensé que nous aurions de l'argent. Mais à la fin ce n'était plus envisageable dit Eric Geers.
Maintenant Nevs a repris Saab, qui aviez envie de vous voir en tant qu'acheteur?
- Pour moi, il est important que ce soit une société qui a de l'argent et qui conduira l'entreprise vers l'avant. J'espère que Saab pourra rejaillir et redevenir une grande marque automobile.
- Je suis un peu hésitant au sujet des plans. J'ai lu qu'ils veulent construire des voitures en Suède pour les expédier vers la Chine, mais je pense que ce sera le contraire. J'ai eu un aperçu un peu precis des choses en cours et je sais qu'il ya plus derrière que ce que nous savons aujourd'hui, a déclaré Eric Geers.
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