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dimanche 4 mars 2012

Amilcar CGSS - 1926

CGSS. Quatre lettres éternellement mariées à la plus bagarreuse des marques françaises d’avant-guerre : Amilcar. Pas beaucoup de place, aucun confort, pas plus de protection contre la pluie, mais en retour le plein de sensations, le vent qui fouette le visage et les virages qui vous écrasent sur la fine carrosserie. A mi- chemin entre la voiture et la moto, ce cyclecar continue à faire tourner les têtes et chavirer les cœurs 80 ans après son heure de gloire. Plein gaz !

Lentement, presque timidement, la CGSS sort le bout de son nez du petit garage où elle dort, à l’abri des regards indiscrets. Et pourtant, dans les années 25/30, elle faisait parler la poudre tant sur les petites routes de campagne que sur les circuits. Pour mieux saisir la recette de ce succès commercial et sportif, il faut faire marche arrière jusqu’au début des années 20. Jusqu’alors les automobiles, des engins lourds, sophistiqués et luxueux sont assommés de taxes. Mais après tout, leurs riches propriétaires peuvent faire face.  Une modification de la législation fiscale va cependant sonner l’heure de la révolution.  La loi du 30 juillet 1920 décide de défiscaliser les petites voitures. Pour ce faire, l’administration créée une nouvelle espèce automobile : les cyclecars. Ces autos doivent impérativement peser moins de 350 kg (limite qu’il sera difficile de respecter cependant), n’avoir que deux places et être équipées d’un moteur dont la cylindrée est inférieure à 1100 cm3. A ces conditions, la taxe pour ces cyclecars ne sera que de 100 francs. Une aubaine pour tous ceux que l’automobile commençait à tenter mais qui étaient refroidis par cette fiscalité lourde. C’est justement le but que recherchait le gouvernement à l’origine de cette réforme.

L'avènement des cyclecars
L’effet est immédiat, les constructeurs sont très nombreux à s’engouffrer dans cette brêche. Beaucoup ne survivent que le temps de produire une dizaine d’engins, quelques autres, sans doute plus professionnels, vont s’épanouir dans ce secteur très prometteur. C’est le cas des associés Emile Akar et Joseph Lamy dont l’anagramme des noms donne Amilcar. En 1921 les deux hommes produisent tout d’abord la CC, animée d’un moteur de 904 cm3. Cette première est bien accueillie, notamment pour son ambiance sport qui séduit les clients. Une ligne qui n’est pas que de la façade, le faible poids et la puissance du 4-cylindres en font une voiture nerveuse. Cette tendance va d’ailleurs nettement se marquer avec l’arrivée dans la foulée des types CS et C4. On taquine alors le 100 km/h, un argument non négligeable en ce milieu des années 20. L’autre secret de la réussite d’Amilcar, dont les ateliers sont à Saint-Denis, tient dans la conception même de ses cyclecars. Les concurrents s’inspirent directement des motos dont ils adaptent tant bien que mal les solutions techniques sur leurs autos. Chez Amilcar, c’est différent. Les ingénieurs, dont Edmond Moyet, le père de la 5 CV Citroën qui collabore avec Amilcar, ont conçu leurs cyclecars comme de mini voitures. Il en résulte un comportement routier sain. Par ailleurs, les modèles ne cessent d’évoluer, apportant toujours plus de satisfaction de conduite à leurs propriétaires. Y compris à l’étranger puisque les Amilcar ont été construites sous licence en Italie, sous le nom de Italiana, sous celui de Pluto en Allemagne et sous celui de Grofri en Autriche. Sur les circuits des nombreuses courses organisées en France à l’époque, les Amilcar son redoutables. Elles ont un petit moteur, surtout comparé à certaines cavaleries de la concurrence, mais un cœur énorme. Au point d’inquiéter les Bugatti et autres Salmson. Mais les autres marques progressent et il faut absolument redorer l’image de marque d’Amilcar en mettant au point un nouveau modèle. Edmond Moyet dessine alors la CGS, franchissant du coup la barre des 1.000 cm3 (1074 cm3). La marque de Saint-Denis tient dès lors une arme redoutable qui va être encore améliorée en devenant CGSs en 1926.
Sur piste, c’est la monstrueuse C6, à 6-cylindres 1.100 cm3 et deux arbres à cames qui porte haut les couleurs de la maison. Elle capable de dépasser les 200 km/h. C’est malheureusement à cette époque que les difficultés financières s’accentuent, amenant au départ de Emile Akar et Joseph Lamy. Amilcar poursuit sa route en s’engageant progressivement dans la production de voitures de grand tourisme. A la veille de la seconde guerre mondiale, Amilcar a été absorbée par Hotchkiss, mais produit toujours sous son nom la Coumpound à traction avant et caisse en aluminium. Le nouveau moteur prévu pour ce modèle ne sera jamais commercialisé, la guerre finissant d’achever Amilcar. Si la législation française actuelle empêche la construction d’autos aussi dépouillées, l’esprit cyclecar n’en a pas moins survécu (tant mieux !) et les amateurs de ces voitures minimalistes ne boudent pas leur plaisir.

En route !
C’est la Champagne que la CGSS de  Guy a choisie pour terrain de jeu. Une région vallonnée, avec des routes qui serpent entre les parcelles de vigne. Un cocktail idéal pour celui qui aime s’amuser avec les montées en puissances, les freinages en appui et les courbes exigeantes. Une pression sur le minuscule bouton de démarreur et le quatre cylindres se fâche. Il claque immédiatement puis lâche un son raque, tenant la note sans tousser. Guy enclenche la première. Sa co-équipière, une amie qui connaît bien cette voiture sait que ses mains doivent trouver un appui rapidement car la CGSS accélère sans concession. Les premiers mètres sont avalés en un clin d’œil, juste le temps de passer la seconde, puis la troisième. En une petite minute, les murs sont devenus des vignes et la petite Amilcar est déjà l’assaut de la campagne. A l’occasion d’une halte près d’une cabane de vignerons (qui ont malheureusement tendance à être rasées sans aucun respect pour les souvenirs qu’elles incarnent), Guy détaille sa voiture. Il la connaît par cœur pour l’avoir totalement restaurée, à raison d’un an et de demi de travaux quotidiens. La base de la CGSS est bien entendu sa grande sœur, la CGS. Le châssis est de type échelle, sur la CGS il est posé, via des suspensions à lames de ressort sur les trains roulants. Sur la CGSs, les ingénieurs ont opté pour une solution nettement plus sportive. Le châssis est suspendu par des ressorts entiers à l’avant et des semi cantilevers à l’arrière. D’où le deuxième S, signifiant surbaissé. La tenue de route et le centre de gravité s’en trouvent nettement améliorés, offrant des performances accrues, surtout dans les courbes.
Il est même possible de régler la tenue de toute en jouant sur les amortisseurs à friction équipant aussi bien les roues avant qu’arrière. «Sur piste, je peux les sélectionner très fermes, et franchement ça joue», confirme Guy. Le moteur est toujours l’increvable 4-cylindres de 1.074 cm3, capable de tourner à 3.800 tr/min et délivrant alors 33 chevaux. L’alimentation est dévolue à un carburateur Solex 26 MHG. Les soupapes d’admission et d’échappement sont commandées par un arbre latéral. L’allumage se faisait initialement par une magnéto mais Guy lui a préféré un renvoi d’angle. «Pour rouler, il faut faire quelques aménagements, ce n’est plus la circulation des années 20 et il faut éviter la casse», explique t-il. Ainsi le thermosyphon assurant le mouvement de l’eau dans le circuit de refroidissement reçoit l’aide d’un ventilateur électrique, placé derrière le radiateur. Guy précise encore que son CGSS a un carter d’huile course, nécessitant 7 litres d’huile. Le lubrifiant circule dans le moteur grâce à une pompe à palettes.  Avec à peine 550 kg sur la balance (démarreur et roue de secours compris, des éléments que les constructeurs enlevaient pour présenter leurs voitures aux Mines et ainsi s’approcher le plus possible des 350 kilos fatidiques), le rapport poids-puissance est diabolique. Les premiers CGSS étaient dépourvus de différentiel sur le pont arrière, un équipement qui va être de série sur les derniers modèles.

Faite pour la course

Le CGSS de Guy date de 1926, mais il a reçu cette amélioration au cours de son existence. Sans doute de la part d’un propriétaire qui en avait assez de ramasser les rayons cassés en sortie de courbe serrée. La transmission aux roues arrière motrices se fait par le biais de la boîte à quatre vitesses (il n’y en avait que trois sur les premiers exemplaires). Le freinage est particulièrement poussé pour l’époque puisque cette Amilcar a droit à quatre tambours actionnés par câbles à l’avant et par tringles à l’arrière. Le frein à main n’agit que sur les roues arrière. « Elle freine de façon très satisfaisante, le tout est que les câbles et la tringlerie soient bien réglés », estime Guy qui n’a jamais peur d’attaquer fortement avec son octogénaire. Au point d’avoir explosé, un jour, tous les rayons d’une roue arrière sur un circuit ! Voilà pour les coulisses de ce cyclecar. Avec un tel armement, la carrosserie se devait d’être à la hauteur. Les clients d’Amilcar étaient servis de ce côté-là aussi. La CGSS ne cherche pas à cacher son jeu, elle est là pour la gagne. La carrosserie est étroite et finie en fuseau sur l’arrière. Sur la CGS, les deux places étaient décalées afin de donner plus d’aisance au conducteur. Ce décalage est encore accentué sur la CGSS pour que le pilote puisse s’expliquer à son aise avec le volant à quatre branches en fer. Pour gagner en rigidité, la caisse est asymétrique. Seul le profil droit, côté chauffeur, est échancré pour faciliter l’accès à bord… Enfin tout est relatif puisque la roue de secours est fixée sur ce même flanc droit. L’habitacle est dépouillé à l’extrême : plancher peint, carrosserie sans habillage interne. Le passager a un repose-pied, plus pour éviter qu’il ne vienne perturber les chaussures du conducteur que pour un réel confort. Le pilote doit tricoter avec les trois pédales d’autant plus serrées que l’accélérateur est au centre. Mais là encore Guy se veut rassurant, l’expérience gomme toutes ces complications pour ne laisser que le plaisir de lancer son cyclecar dans les courbes et de lâcher les chevaux dès que la ligne droite s’annonce.
L’équipement de bord est réduit au strict nécessaire : compte tour, compteur de vitesse, montre… Le tout sur fond d’aluminium bouchonné. De toute façon, le spectacle est devant, de l’autre côté du pare-brise, saute vent en verre arrondi. Le capot en aluminium se détache du bleu de la carrosserie pour s’appuyer sur la calandre étroite et haute. Le radiateur est rejeté en arrière de cet habillage pour créer une dépression qui aspire l’air.  A son sommet, le bouchon accueille un thermomètre, véritable témoin d’alerte au cas où la salle des machines surchaufferait. Avec ce museau effilé et l’absence d’ailes ou même de carénage des roues, l’Amilcar adopte dés lors des allures de voiture de course, et on se fait facilement prendre à son jeu. D’autant que l’échappement rageur laisse imaginer deux ou quatre cylindres de plus. Et avec un pilote comme Guy, la magie est totale. On oublie tout de suite les sièges symboliques, dont l’assise est posée directement sur le plancher. On efface le manque total de poignée pour s’agripper quand le virage est pris à la corde. On se moque éperdument de l’extrême étroitesse de l’habitacle. Tout ce confort dont nous sommes si friands aujourd’hui est jeté aux orties. Seul compte le bonheur gigantesque d’avaler la route dans cette ambiance unique. L’esprit cyclecar a encore de beaux jours devant lui.

Peugeot Apps : des services connectés à bord de la 208

La 208 sera la première à intégrer le tout nouveau service Peugeot Connect Apps. Comme son nom l'indique, c'est un prolongement du système Connect (appel d'urgence, assistance), avec des applications mobiles.
Le système fonctionne à partir d’une clé Plug & Play livrée avec la voiture et qui offre une connectivité 3G. Une fois insérée dans le port USB de la 208, la clé permet de faire basculer l’écran tactile du tableau de bord en un véritable écran d'iPhone. Du bout des doigts, le conducteur peut accéder à des services connectés, comme sur son smartphone... Même si certaines fonctionnalités ont été conçues pour être utilisées seulement à l’arrêt. Les applications utilisent les données du véhicule telles que la vitesse instantanée, le kilométrage, l’autonomie, ou encore la position GPS, pour délivrer les informations utiles.



Au lancement, dix applications seront disponibles :
MyPeugeot (tout savoir sur la voiture, lien avec MyPeugeot)
Michelin Trafic (info trafic en temps réel)
Carburant (localisation, tarifs et évolution par contribution communautaire, gestion du budget)
Parking (localisation, tarifs, disponibilités)
Guide Michelin (restaurants et hôtels)
Michelin Voyage (guide touristique)
Dismoioù (guide communautaire)
ViaMichelin (itinéraires)
Météo
Pages Jaunes

L'offre est disponible dans 17 pays européens (Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, Finlande, France, Grande-Bretagne, Italie, Luxembourg, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Suède, Suisse, Turquie).

Le prolongateur d'autonomie va s'imposer à Genève

C'est cet après midi que l'on saura si oui ou non la Chevrolet Volt (et son pendant européen l'Opel Ampera) a été élue voiture de l'année. La voiture est en tout cas nominée. En cas de victoire, ce serait la deuxième fois qu'une électrique remporte le titre de "'Car of the Year". Mais, quel que soit le résultat, la technologie du prolongateur d'autonomie a d'ores et déjà rallié les suffrages au salon de Genève. En effet, plusieurs constructeurs vont présenter des concepts dotés de cet équipement et prévoient de l'intégrer à leur offre. En raison des performances encore limitées des batteries, le "range extender" est un choix logique pour assurer le démarrage du marché. Les clients se sentent rassurés, en sachant qu'ils ne dépendent pas d'une prise électrique pour pouvoir continuer à avancer.



Il est d'ailleurs assez symptomatique de voir que l'alliance Renault-Nissan, à travers la marque Infiniti, va présenter un concept avec prolongateur d'autonomie. Certes, la Emerg-E est une voiture sportive, dont la vocation est de venir taquiner l'Audi R8 électrique. Mais, quand même. Si le groupe Nissan développe une telle technologie, elle aura pour vocation à aller dans les autres marques. On peut rappeler que Renault a déjà utilisé le range extender au début des années 2000 sur la Kango Elect'Road.


Autre concept à suivre : celui de Hyundai avec la i.oniq. On retrouve sous le capot un petit moteur à essence 1.0 L à 3 cylindres, couplé à l’aide d’un générateur à un moteur électrique de 109 ch. En mode électrique pur, ce véhicule a une autonomie de 120 km et peut transporter 4 personnes sans bruit et sans émission. Le rôle du petit moteur à 3 cylindres est bien sur de renforcer le rayon d'action de la i.oniq, qui passe alors à 700 km. Le coréen pourrait intégrer cette technologie sur ses futurs modèles électriques. Chez les japonais, Suzuki travaille aussi sur la question avec la Swift EV Hybrid, également visible à Genève.


On pourrait citer d'autres concepts encore, tels la Pininfarina Cambiano avec son moteur diesel qui vient prêter main forte aux 4 moteurs électriques de 60 Kw chacun, dès lors que la batterie est déchargée, ou encore l'étonnant Dock & Go de Rinspeed avec une remorque qui fait corps avec le véhicule et vient renforcer son autonomie.
Le plus important, toutefois, est de voir que le trio Audi-BMW-Mercedes a la solution sous le coude (A1 e-tron, i3, Classe B E-Cell+). Le range extender pourrait faire école, d'autant que l'arrivée de petits moteurs 3 cylindres tombe à pic pour ce type de solution.

Fiat Dino Spyder 2400

Lorsque le patrimoine italien est en danger, c’est toute une nation qui fait cause commune face à l’ogre américain. Ainsi, après avoir signé un accord de fourniture de moteur pour aider Ferrari dans l’homologation en Formule 2 de son V6 Dino, c’est au nez et à la barbe d’Henry Ford II que le rusé Enzo Ferrari revend des parts de Ferrari SPA au groupe Fiat. L’honneur est sauf: Ferrari reste italien et Enzo peut toujours diriger librement la Scuderia. Il s’en suivra alors une colère de Ford avec l’empoignade aux 24 Heures du Mans que tout le monde connaît. Sur nos routes, le résultat de ces accords est que les Fiat Dino Spider sont motorisés par des moteurs Dino-Ferrari…

Après différentes tentatives infructueuses pour Ferrari d’élargir sa gamme vers le bas (le constructeur de Maranello n’a alors dans sa gamme tourisme que des autos motorisées par des V12), il faut se résoudre à l’évidence d’un partenariat plus étroit avec d’autres constructeurs. Cela est d’autant plus vital que Ferrari souhaite homologuer son nouveau V6 Dino (dont les premières études avaient été initiées par son fils disparu, Alfredo, d’où le nom de «Dino», diminutif d’Alfredino) dont 500 exemplaires doivent équiper un véhicule de tourisme. C’est tout naturellement que toute l’industrie italienne va faire cause commune pour donner un coup de main au Commendatore, non sans arrière-pensées. Les carrossiers Bertone et Pininfarina vont être sollicités pour le design des coupés et cabriolets DIno Fiat, le constructeur de Turin se propose de produire les 500 exemplaires requis en un temps record, faisant ainsi coup double.
D’une part la gamme de Fiat pourrait profiter de haut de gamme prestigieux qui lui font alors défaut, et surtout la famille Agnelli peut envisager un début de prise de contrôle dans le capital de Ferrari SPA. L’aubaine est alors si propice pour Agnelli et le rusé Enzo Ferrari qu’Henry Ford II y laissera, si ce n’est de l’argent, au moins son orgueil blessé par le camouflet orchestré par Ferrari qui l’avait laissé lanterner pour mieux négocier avec Fiat. En 1969, Ferrari signe finalement la cession de capital avec la famille Agnelli, ce qui va déchaîner la colère du tenancier de Détroit. S’en suivra alors une empoignade en endurance entre les mythiques Ford GT 40 et suivantes et les Ferrari P4 notamment. Le point d’orgue sera évidemment la revanche de l’américain sur sa défaite économique sur les pistes des 24 Heures du Mans. Mais c’est en 1966 que Fiat va dévoiler au Salon de Turin son Spider Dino équipée du V6 du même nom de 2 litres avec bloc alu et 160 ch. Il faudra attendre 1969 pour que le V6 prenne du coffre, à l’instar des Dino 246 GT…

Style
En matière de style, les tâches ont été partagées entre Bertone et Pininfarina. Le premier s’est chargé du coupé, tandis que le second s’est acquitté de sa mission avec le Spider Dino. Dès 1965, Pininfarina réalise des premières esquisses pour cette nouvelle Fiat qui symbolisera à elle seule moult enjeux industriels. Dès cette année, le style est presque figé hormis une calandre très agressive et proche d’une Chevrolet Corvair. Puis ensuite, se sont surtout les faces avant et arrière qui seront retravaillées avec un style plus personnel. Autant le coupé Fiat Dino dessiné par Bertone est bien dans le ton de l’époque sans originalité particulière, autant le Spider affiche une personnalité affirmée. Sa calandre qui semble très basse est encadrée par deux paires de phares ronds. L’arrière tronqué propose deux plis à chaque bout d’aile évitant ainsi habilement une lourdeur de style. Ses dimensions sont très compactes avec 4,13 m de longueur offrant ainsi deux places, plus une autre en biais derrière. Mais ce n’est vraiment qu’une place de dépannage. Sur les versions 2400, de belles jantes Campagnolo sont fixées par cinq boulons et non plus par un papillon central. De nombreux détails sur la carrosserie nous ramènent à cet âge d’or de l’automobile, celui de la Dolce Vita et du Bel Canto italien. La griffe Pininfarina est apposée sur les flancs comme sur les Ferrari ! Derrière, pas de doutes possibles, avec ses quatre feux ronds, c’est bien une sportive italienne des années 60… L’habitacle offre une présentation très latine et charmeuse. Le faux bois en placage est aéré pour laisser place à un florilège de cadrans Veglia ronds destinés à donner des indications sur l’état de la mécanique. Le volant tulipé et ses branches ajourées rappelle l’esprit sportif qui anime cette brillante Fiat, tandis que la position de conduite s’avère bonne : jambes tendues et bras pliés. De nombreuses touches de chromes sont chargées de rendre cet habitacle plus cossu. A noter le levier de vitesses incliné qui tombe idéalement sous la main. Plaisir d’égoïstes, ce cabriolet offrait cependant un vrai coffre permettant d’envisager des longs trajets. La capote présente une manipulation très simple mais n’est pas un modèle d’isolation phonique en roulant.

Moteur
Si les premiers V6 de 2 litres étaient des blocs tout alu, pour son 2,4 litres, les ingénieurs sont revenus à un plus classique bloc en fonte. But avoué, avoir moins de soucis de déformation sous les contraintes thermiques. En revanche, la culasse elle reste en alu et cache une distribution très évoluée pour l’époque à 2 x 2 arbres à cames en têtes, soit deux par rangée de cylindres !
Le V6 a gagné donc en cylindrée pour offrir certes plus de puissance (180 ch au lieu de 160), mais surtout une souplesse de fonctionnement accrue notamment à bas régime. Si avec l’ancien V6 de deux litres il fallait le cravacher dans les tours pour en tirer la quintessence, le nouveau autorise de rouler plus décontracté sur un filet de gaz. Mais ses
trois double corps inversés Weber 40 DCNF auront vite fait de déclencher la tentation de votre pied droit pour le faire chanter. Car malgré son nom «d’emprunt», cette brillante mécanique a bien ses gènes à Maranello et sa sonorité est dantesque. Irrésistible ! Les performances sont à l’avenant avec 220 km/h en pointe. Autre modification d’importance sur la gamme Dino Fiat, l’adoption en même temps que le moteur 2,4 litres d’une boîte mécanique ZF à cinq rapports. Son maniement reste ferme mais précis, mais lors d’une conduite plus musclée, le double débrayage ne sera pas superflu pour, d’une part soulager les synchros et d’autre part pallier à la lenteur de la commande de boîte. Côté consommation, pas de surprises avec de tels attributs sous le capot de la Fiat Dino Spider. Comptez entre 12 et 16 litres au cent kilomètres en moyenne.

Châssis
C’est sur une coque autoporteuse que Pininfarina a sculpté les lignes du Spider Dino. Sans arceau ni renforts particuliers, la caisse avoue vite quelques limites de résistance à la torsion. Toutefois, on ne peut pas trop être exigeant avec une auto qui a près de quarante ans ! La grosse nouveauté sur la Fiat Dino Spider 2400, est son train arrière moderne qui vient remplacer l’antique essieu arrière rigide à lame. Le train arrière adopte ainsi des roues indépendantes avec bras obliques et ressorts hélicoïdaux. Cette nouvelle suspension alliée à l’autobloquant et au poids inférieur à celui du coupé (1240 kg tout de même pour le Spider) lui redonne un surcroît de sportivité et de dynamisme. Et le moteur plus velu dès les plus bas régimes lui autorise ainsi une conduite plus homogène. Homogénéité et sport sont donc les composantes marquantes de ce Spider. Les quatre freins à disques sont bien présents pour assurer leur tâche tandis que les pneumatiques en 205/70 VR 14 conservent un compromis entre sport et confort. Seul point qui date l’auto, c’est sa direction à vis et galet très lourde. A l’arrêt, tourner le volant est vite un calvaire !

En acheter une...
Avec seulement 420 exemplaires produits pour les modèles à moteur 2.4L, il faudra s’armer de patience pour trouver un vendeur. Il conviendra surtout de rester lucide et conserver son sang froid, car la difficulté de l’entretien et de la remise en état doit vous faire fuir tout exemplaire abîmé ou incomplet. N'oublions pas que nous sommes en présence d'un véhicule de collection et non d'une vulgaire voiture d'occasion. Pour des modèles en très bon état, il ne sera pas exagéré de prévoir 30.000 euros environ, voire plus. Les modèles 2 litres sont moins cotés et plus nombreux sur le marché. Avant l’achat, comme pour toute italienne des années 60-70, il faut impérativement inspecter minutieusement la carrosserie et les dessous de la belle. La corrosion y fait des ravages dans les endroits habituels (passages de roue, arrière des ailes avant et arrière, bas de caisse et bas de portes). Toujours dans les dessous, les rotules sont à surveiller. Toujours dans les parties invisibles, vérifier qu’aucun problème électrique n’est à déplorer, ce qui reste souvent un sujet de fantaisie. La mécanique est très fiable à condition de la respecter comme il se doit : laisser chauffer avant de la faire chanter, vidange avec de l’huile semi-synthèse 15 w 40 tous les 5.000 km, vérifier la tension de la chaîne tous les 30.000, le jeu de soupapes et le calage tous les 30.000 et réglage de la carburation tous les 12.000 km. A noter que peu de mécaniciens sont suffisamment compétents pour régler une telle mécanique. La boîte ZF est particulièrement fiable et doit être vidangée tous les 15 à 20.000 km avec le pont autobloquant. Lors de votre recherche pour trouver une Fiat DIno Spider, en 2 litres ou en 2,4 litres, il faudra exiger un historique limpide et respectée comme décrit plus haut. C’est très important car les spécialistes prêts à entretenir cette auto charmeuse ne sont pas nombreux et surtout les problèmes d’approvisionnement de pièces détachées sont réels. Quelques pièces existent pour les V6 Dino, en revanche, question finitions et carrosserie, c’est devenu introuvable ou presque. Rareté qui entraîne par conséquent des tarifs prohibitifs sur le marché de l’occasion. Acheter une Fiat Dino Spider 2400, même en très bon état ne doit pas être réalisé sur un coup de tête mais doit au contraire être le fruit d’un achat passion mûrement réfléchi…

Conclusiion
Avec la Fiat Dino Spider, c’est toute la Dolce Vita qui défile à travers le pare-brise. Avec en prime les enjeux industriels et politiques de l’automobile italienne des années 60. Résultat, une ligne superbe signée Pininfarina, un châssis en très net progrès sur les versions 2400 et un moteur qui comporte dans ses gênes le Cavallino Rampante. Avec seulement 420 exemplaires produits, un look unique et élégant et sa mécanique d’orfèvre, la Fiat Dino Spider est avant tout une auto d’esthètes avertis et connaisseurs des plaisirs de l’automobile italienne.
A consommer sans modération mais en toute connaissance de cause…

Nouvelle 116d : la plus propre de toute la gamme signé BMW.

BMW vient de dévoiler une nouvelle déclinaison de sa Série 1 sauce diesel : la 116d. Le constructeur bavarois frappe fort avec ce modèle puisqu'il est, selon ses dires, le plus propre de toute sa gamme, chose qu'il acclame haut et fort avec tout les stickers qu'il a collé sur la voiture. Sous le capot de cette 116d, le moteur à 4 cylindres à 2 litres d'une puissance de 115 ch et 260 Nm de couple ne consomme qu'un modeste 4.4 litres au 100 km (selon le cycle européen) et n'émets que 118 g de CO2 par km.
Cette voiture s'inscrit dans le programme EfficientDynamics de BMW dédié aux innovations technologiques notamment celles qui visent à réduire les émissions des rejets toxiques et la consommation de carburant.

Business : Audi intéressé par le site d'Arese ?


L'usine fleuron d'Alfa Romeo,créer dans les années 60, serait en passe de devenir la prochaine acquisition d'Audi.

Cette usine, située à Arese, proche de Milan en Italie est désaffectée car Alfa Romeo s'est déplacé à Turin. Si vous suivez l'actualité automobile, vous vous souviendrez surement que VW a acquis près de 90 %  du centre de style Ital Design, fondé par le célèbre G.Giugiaro. Quelques mois plus tard, une équipe du staff de chez Audi s'était rendu sur le site d'Arese, afin d'évaluer les éventuels coûts de rénovation de cette usine, et de son potentiel. Si il n'y a eu aucunes confirmations depuis, une déclaration du directeur financier d'Audi plutôt ambiguë, aurait fait relancer la rumeur. Il se pourrait qu'il s'agisse d'un centre technique de conception avancée Audi.



Mais hier, Axel Strotbek, responsable des finances et de l'organisation Audi, n'a pas nié ce possible investissement. Lorsqu'on lui a poser la question, il ne voulait pas commenter ni confirmer. Cet investissement serait donc après le rachat partiel du cente Ital Design, une seconde étape avant le rachat de la marque Alfa Romeo dans le groupe VAG ? Une chose est sur, le célèbre directeur du groupe Fiat Sergio Marchionne, a toujours nié une possibilité d'un rachat d'Alfa Romeo par VW, c'est donc une affaire à suivre de très près.

Via alvolante.it


Aston Martin DBRS9



Photo prise lors des essais des 1000 km du Nurburgring Le Mans Series 2008.

Renault Mégane coupé concept : une ébauche de la future coupé de série.

Renault vient de présenter au salon de Genève la Mégane coupé concept qui donnera, sans aucun doute, vie à la future Mégane 3 annoncé pour 2009. Ce concept car présente une ébauche pour la nouvelle génération des Mégane avec une ligne de design qui reste fidèle à la tendance esthétique que la lagune III a annoncé avec sa venue. La motorisation de ce concept est un peu sportive avec un 4 cylindres 2.0 turbo de 200 respectable bêtes monté sur un châssis sport plus rigide et des jantes de 21 pouces.
Le travail stylistique est à apprécié notamment avec les optique et les portes libellules comme on l'appelle chez Renault.

Maxximus G-Force : gladiateur à 1600 ch.

Décidément l'enchère sur la puissance ne cesse d'augmenter. En effet, on a bien connu quelques voiture dont la puissance culmine à 1000 ch et même à 1300 ch (la GT9 ou la DraXter de 9ff, la Bugatti Veyron, la Sledgehammer de SPI...) mais la Maxximus G-Force veut être la plus spéciale et la plus bestiale de toute les préparations avec ses 1600 ch qui s'agitent sous le capot. Le moteur qui l'anime est un V8 made by Chevrolet d'une cylindrée de 7 litres arrimé à deux méga turbocompresseurs. Le design de cette voiture a un peu hérité du look de la non moins méchante supercar l'Ultima GTR.
Sur piste, cette bête de course est capable d'abattre le 0-96 km/h en 2.1 secondes. Son prix, il est aussi ahurissant que sa puissance ou ses performances. Chaque exemplaire coutera à son acquéreurs la somme de 3 M$.

Victor Muller's 9-5 is up for sale!

La 9-5 de Victor Muller est à vendre!

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La Logan au top des étrangères en Russie


logan facelift russia La Logan au top des étrangères en Russie

Si la Logan ne rencontre pas le succès escompté en Inde, elle dépasse toutes les espérances de ses géniteurs en Russie. Ainsi, dans un marché russe en pleine déconfiture avec une chute des ventes de -49%, la Logan fait mieux que tirer son épingle du jeu, puisqu‘en 2009, elle aura été  la voiture étrangère la plus vendue.
Elle détrône ainsi la Ford Focus, qu’elle dépasse de 2000 ventes. Il faut dire que dans le contexte de crise, crise qui a particulièrement touchée la Russie, les consommateurs ont tendance à se replier sur les valeurs essentielles au détriment du superflu. Dans ce contexte, la Logan apparait comme le véhicule idéal.
La Renault Logan, car elles sont badgées sous cette marque en Russie, n’a vu ses ventes baisser « que » de 27% par rapport à 2008 pour atteindre 53869 exemplaires, alors que celles de la Focus ont chutées de 44% à environ à 52000 ventes.
Derrière la Focus, nous trouvons les Chevrolet Lacetti et Daewoo Nexia avec moins de 30000 ventes chacune.
Pour contrer la chute du marché, le gouvernement russe à mise en place différentes mesures qui ont particulièrement aidées la Logan, comme une hausse des taxes d’importation sur les voitures d’occasion qui sont les principales concurrentes des voitures à bas coût.
Les modèles fabriquées en Russie (la Logan est fabriquée dans l’usine d’Avtoframos près de Moscou) ont également pu bénéficier de prêts avantageux.
En Mars 2010, ces mesures devraient être complétées par un programme de prime à la casse.
Au classement global par modèle, la Logan, avec 53869 ventes se positionne à la 5e position, derrières la Lada Priora (99473, -22%), la Lada Samara (90428, -46%), lesLada 2105/2107 (67216, -60%) et la Lada Kalina (60746, -35%).
Le groupe Renault quant à lui, avec 72284 ventes (-33%), se positionne à la 7e place, derrière AvtoVAZ (346490, -44%), GM (141695, -58%), VW (94018, -28%), Ford (88977, -57%), Toyota (75131, -63%) et Hyundai (74607, -61%).
Derrière Renault, nous trouvons Kia (70088, -20%), Nissan (68851, -55%) et GAZ (58205, -56%)
La montée en puissance n’est pas sans risquer de poser quelques problèmes, puisque, comme vous le savez, Renault est désormais actionnaire à hauteur de 25% d’AvtoVAZ. Or la Logan semble prendre des parts de marché à Lada, la marque d’AvtoVAZ.
De plus, dans le package de sauvetage du constructeur russe, Renault s’est engagé à livrer de la technologie et à aider AvtoVAZ à fabriquer de nouveaux modèles, basés sur la plateforme de… la Logan. Une belle lutte interne en perspective.
A noter que la version restylée de la Logan vient d’être mise en vente sur le marché russe.

Logan MCV limousine


dacia limo logan Logan MCV limousine

Ils sont fous ces Roumains! L’un d’eux s’est ainsi mis en tête de transformer une Logan MCV en limousine. James May (Sanderophile), Jeremy Clarkson et Richard Hammond n’y sont pour rien.
Apparemment, il existait une version limousine du break 1210/1310/1410, avec une section supplémentaire entre les portes avant et arrière.
Notre homme a voulu visiblement en faire une interprétation moderne.
dacia limo 2 Logan MCV limousine
Les informations sont plutôt rares. A l’origine, le bricoleur avait fourni des images en CAO (à voir ici) et le cliché en haut au forum DaciaClub. Mais depuis, le sujet a été supprimé.
De blog en blog, le peu d’informations fut distordu. D’où des spéculations sur une production en série, voir un projet piloté par l’usine elle-même!
Source:
DaciaClub

Reventon, qu'est ce que ça veut dire??

Reventon, est le nom d'un taureau sanguinaire. la bête est l’un des plus célèbres taureaux du monde puisqu'il a tué le toréador Félix Guzman en 1943.

Soixante-quatre ans plus tard, Lamborghini choisi ce patronyme pour sa dernière née, la Reventon। Une voiture tout simplement bestiale.

voici le clip officiel de la Lamborguini Reventon:
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une autre vidéo présentant la bête:

Peugeot Eco Cup: 3,1401 litres aux 100 km


peugeot eco cup facebook Peugeot Eco Cup: 3,1401 litres aux 100 km

La Peugeot Eco Cup, première du nom, n’aura pas souri aux équipages français. Sans même parler du résultat brut, avec des chiffres en deça des 4 litres aux cent kilomètres pour les vainqueurs de chaque catégorie, les vitesses moyennes parfois très basses poussent à relativiser les chiffres records.
Le challenge Peugeot Eco Cup se divisait en quatre catégories de véhicules, à savoir 207 HDi 90, 308 HDi 110, 3008 HDi 110 et 5008 HDi 110. Le défi était assez simple, puisqu’il fallait parcourir les 1005,70 km du parcours, si possible avec un seul plein en consommant le moins possible, et en 36 heures maximum. Des points de passage obligatoires étaient disséminés sur les deux étapes, afin de s’assurer que les concurrents allaient suivre le bon itinéraire, sans raccourci. Le départ était donné dimanche matin, au pied du siège de Peugeot, avenue de la Grande Armée à Paris, avec une fin d’étape programmée à Mulhouse. Le lendemain, la caravane de la Peugeot Eco Cup rejoignait ensuite Annecy, ville d’arrivée de la compétition.
peugeot eco cup facebook 2 Peugeot Eco Cup: 3,1401 litres aux 100 kmBeaucoup d’automobilistes auront remarqué que la plupart des concurrents jouaient le jeu à fond, en roulant bien moins vite que la moyenne des autres conducteurs, d’où certaines surprises. Notamment sur l’autoroute, avec des participants qui roulaient à la limite de la vitesse minimale imposé sur ces grands axes, à savoir 80 km/h. Afin d’assurer une équité parfaite entre les équipages, toutes les voitures ont été lestées pour obtenir un poids de référence, calqué sur le tandem voiture+conducteur le plus lourd.
Au final, toutes les voitures seront arrivées à bon port, sans que des participants aient tenté de tricher d’une manière ou d’une autre, en dehors d’une vitesse moyenne la plus minimale possible. Dans la catégorie 207, le belge Nicolas Cosse remporte la timbale avec 3,2433 l et repart chez lui avec une 207 toute neuve. L’équipage slovaque en 308, composé de Thomas Sarik et Suzanna Camperosa gagnent avec une consommation d’environ 3,1401 litres. En 3008, le croate Millijane Culjak aura réussi l’exploit avec 3,5674 litres. Contre toute attente, la 5008 de monsieur Stepanek de République tchèque, afficha à l’arrivée une consommation de 3,3324 litres, soit moins que la 3008 et la 207. Les équipages vainqueurs se sont vus remettre leurs trophées et les clés de leurs véhicules sur le stand Peugeot du salon de Genève, par Stéphane Sarrazin pilote 908 et parrain de l’opération.
peugeot eco cup facebook 3 Peugeot Eco Cup: 3,1401 litres aux 100 kmSi nous-même nous n’avons pas participé à la compétition, notre voiture suiveuse affichait sur l’ordinateur de bord une consommation moyenne d’environ 5.7 l/100 km à la fin du parcours. A noter que nous roulions normalement, aux limites des vitesses autorisées sur chacun des axe que nous empruntions, au volant d’une 207 HDi 90 ch.