mercredi 14 novembre 2012
Navteq accompagne Ford dans le lancement de SYNC en Europe
La filiale de Nokia a été choisie comme fournisseur de cartes exclusif pour le système Sync avec l’interface MyFord Touch. Ce système, qui doit être lancé sur plusieurs modèles du constructeur américain (dont la Focus en Europe), donne accès à des fonctions avancées, telles que la technologie vocale Navteq Voice, les informations sur les limites de vitesse, l’affichage des carrefours, des repères en 3D et Navteq Traffic Patterns pour anticiper les embouteillages en s'appuyant sur l'historique du trafic.
Voir la démo de Navteq Voice :
Navteq va fournir les données cartographiques pour le système de navigation SYNC avec MyFord Touch à carte SD en Amérique du Nord, Amérique du Sud, Moyen-Orient, Russie et Europe. Le lancement est prévu à partir du début de l'année prochaine.
Voir la démo de Navteq Voice :
Navteq va fournir les données cartographiques pour le système de navigation SYNC avec MyFord Touch à carte SD en Amérique du Nord, Amérique du Sud, Moyen-Orient, Russie et Europe. Le lancement est prévu à partir du début de l'année prochaine.
Garmin aide les golfeurs par GPS
Garmin inaugure pour cette fin d’année une nouvelle gamme de GPS conçue spécialement pour les golfeurs. Elle se décline en deux modèles différents, les GPS Approach™ G3 et G5 sont livrés avec plus de 4000 parcours européens préchargés.
Le Garmin Approach G3 offre la possibilité de suivre avec précision sa progression et l’évolution de son parcours. Il permet de mesurer facilement la distance du coup réalisé et de remplir très simplement la carte de score intégrée par le biais de son écran tactile.
Le Garmin Approach G5 offre les mêmes fonctionnalités que le G3, auxquelles vient s’ajouter une interface de contrôle des statistiques personnelles. Ainsi le joueur peut consulter le nombre de putts par partie, de greens et de fairways touchés. Il peut également obtenir la distance moyenne réalisée pour chacun de ses clubs.
Étanches tous les deux, les GPS Approach affichent deux options simples au démarrage : « Jouer » ou « Visualiser ». En sélectionnant « Jouer », le golfeur peut ainsi consulter les cartes détaillées des parcours et connaître précisément la distance entre sa position actuelle et n'importe quel emplacement sur le golf. L’Approach met automatiquement à jour sa position ainsi que la distance qui le sépare de chaque cible. Tout au long de la partie il peut également conseiller le golfeur sur la meilleure tactique à adopter pour jouer un coup parfait.
Les GPS Approach offrent aux golfeurs la possibilité d’étudier des milliers de parcours préchargés pour progresser ou préparer une nouvelle partie dans les meilleures conditions.
D’autres parcours de golf seront proposés prochainement à tous les possesseurs de GPS Approach sur le site http//www.garmin.com/fr. Ces nouveaux contenus feront l’objet de mises à jour régulières et totalement gratuites.
Actualité Automobile du Jeu 15 Nov
22:18
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Mais que veut General Motors?
Demain est la date de terminaison du protocole d'accord avec Youngman et Pang Da. Au-delà de cette date théorique, aucune partie n'est obligée de continuer avec l'autre si un accord définitif n'a pu être trouvé. L'accord ne peut pas être trouvé, nous savons pourquoi : General Motors le refuse tout simplement en invoquant sa clause d'ownership. En cas de cession totale de Saab, GM résilierait ses contrats de fournitures et de partages de licences technologiques. Mais cette date du 15 novembre est moins problématique de celle du 22 novembre, date à laquelle si aucun accord n'était trouvé, la procédure de Réorganisation pourrait se terminer.
Vous remarquerez avec moi que depuis l'échec du deal YLPD-SWAN, l'administrateur judiciaire s'est fait très discret. Le gouvernement suédois a essuyé une larme dans le mouchoir de Jim Caïn (GM). Pathétique.
Nous apprenons - ce dont on pouvait se douter, vu la fermeté du propos de GM, que même le deal de juillet dernier ne serait pas négociable : une propriété légèrement inférieure à 50% par Pang Da et Youngman ne conviendrait pas d'avantage à GM.
Que veut General Motors?!
Comme le soulignait un lecteur, les brevets en général sont couteux, mais ne durent pas longtemps 20 ans maximum si on a payé des redevances. Saab a les brevets aujourd'hui, loués, facturés par GM. Que craint GM si les chinois rachetaient tout ou partie de Saab? De la fuite technologique? Cela paraît étrange, car il suffirait à GM de stipuler une clause empêchant les chinois d'utiliser les licences pour la production chinoise. Par ailleurs, Saab a déjà usage de cette technologie et beaucoup plus long à intégrer est le savoir-faire. Pour l'heure il resterait en Suède pour au-moins quelques années, non?
GM évoque le fait qu'il craint une potentielle concurrence de marchés en Chine. Il faut le lire pour le croire! GM aura vendu plus de 2 millions de voitures en Chine en 2011. Premier groupe automobile mondial en termes de nombres de véhicule produits, GM pourtant n'est pas le champion de la rentabilité. Le groupe Volkswagen, lui qui prendra sans doute en 2012 la 1ère place de GM, est par contre depuis bien longtemps devant General Motors s'agissant de ses marges d'exploitation. Quel serait le secret du groupe VW? Avoir des marques dédiées non pas à des territoires, mais à des segments de clientèle bien définis, qui évoluent en fonction de l'âge et la situation économique et sociale des clients. Partager les mêmes plateformes techniques et "habiller" les plate-formes et les technologies en fonction de la stratégie marketing propre à chaque marque. Avec VW, on est loin de la stratégie primitive de la territorialité. On a un vrai partage de technologie, un marketing de haute qualité qui segmente les produits et organise le partage de technologie d'un point de vue quantitatif, qualitatif et temporel (Audi bénéficie en premier des nouveautés). De ce point de vue, chez VW, on ne veut pas faire passer une Audi pour une Skoda améliorée. C'est même tout le l'inverse! Si seulement GM en avait pris de la graine avec Saab dans les années 2000!
Je reviens sur les motifs de refus de GM et je reste sans réponse intelligible, à moins qu'il ne s'agisse encore de négocier plus cher, plus difficilement pour l'avenir de Saab, un deal de plus en plus improbable avec les chinois? ...
General Motors, avec ce refus définitif, n'a pas trouvé "la meilleure manière de se faire des amis", ainsi que commente brillament un journaliste - un vrai, bien informé et engagé - Keith KRAIN, dans Automotive News. Cet article, à juste titre, a fait le tour de blogs hier, comme d'ailleurs l'idée d'aller sur le FB de GM pour écrire "let Saab go"... En voici l'intégralité en français :
Vous remarquerez avec moi que depuis l'échec du deal YLPD-SWAN, l'administrateur judiciaire s'est fait très discret. Le gouvernement suédois a essuyé une larme dans le mouchoir de Jim Caïn (GM). Pathétique.
Nous apprenons - ce dont on pouvait se douter, vu la fermeté du propos de GM, que même le deal de juillet dernier ne serait pas négociable : une propriété légèrement inférieure à 50% par Pang Da et Youngman ne conviendrait pas d'avantage à GM.
Que veut General Motors?!
Comme le soulignait un lecteur, les brevets en général sont couteux, mais ne durent pas longtemps 20 ans maximum si on a payé des redevances. Saab a les brevets aujourd'hui, loués, facturés par GM. Que craint GM si les chinois rachetaient tout ou partie de Saab? De la fuite technologique? Cela paraît étrange, car il suffirait à GM de stipuler une clause empêchant les chinois d'utiliser les licences pour la production chinoise. Par ailleurs, Saab a déjà usage de cette technologie et beaucoup plus long à intégrer est le savoir-faire. Pour l'heure il resterait en Suède pour au-moins quelques années, non?
GM évoque le fait qu'il craint une potentielle concurrence de marchés en Chine. Il faut le lire pour le croire! GM aura vendu plus de 2 millions de voitures en Chine en 2011. Premier groupe automobile mondial en termes de nombres de véhicule produits, GM pourtant n'est pas le champion de la rentabilité. Le groupe Volkswagen, lui qui prendra sans doute en 2012 la 1ère place de GM, est par contre depuis bien longtemps devant General Motors s'agissant de ses marges d'exploitation. Quel serait le secret du groupe VW? Avoir des marques dédiées non pas à des territoires, mais à des segments de clientèle bien définis, qui évoluent en fonction de l'âge et la situation économique et sociale des clients. Partager les mêmes plateformes techniques et "habiller" les plate-formes et les technologies en fonction de la stratégie marketing propre à chaque marque. Avec VW, on est loin de la stratégie primitive de la territorialité. On a un vrai partage de technologie, un marketing de haute qualité qui segmente les produits et organise le partage de technologie d'un point de vue quantitatif, qualitatif et temporel (Audi bénéficie en premier des nouveautés). De ce point de vue, chez VW, on ne veut pas faire passer une Audi pour une Skoda améliorée. C'est même tout le l'inverse! Si seulement GM en avait pris de la graine avec Saab dans les années 2000!
Je reviens sur les motifs de refus de GM et je reste sans réponse intelligible, à moins qu'il ne s'agisse encore de négocier plus cher, plus difficilement pour l'avenir de Saab, un deal de plus en plus improbable avec les chinois? ...
General Motors, avec ce refus définitif, n'a pas trouvé "la meilleure manière de se faire des amis", ainsi que commente brillament un journaliste - un vrai, bien informé et engagé - Keith KRAIN, dans Automotive News. Cet article, à juste titre, a fait le tour de blogs hier, comme d'ailleurs l'idée d'aller sur le FB de GM pour écrire "let Saab go"... En voici l'intégralité en français :
Alors que tout paraissait comme si Saab avait trouvé des industriels chinois souhaitant sauver la société de la faillite et de la disparition, General Motors a posé des objections qui menacent l'accord. GM opposerait la poursuite des accords de fournitures de composants et de technologie à Saab si Youngman Lotus et Pang Da réussissaient à acquérir le constructeur suédois.L'accord doit être approuvé par GM puisque le géant américain conserve ses actions préférentielles dans Saab et fournit des composants essentiels pour sa production.Il s'agit en fait d'un problème de concurrence. GM a un partenaire en Chine qui a besoin de beaucoup plus de technologies pour la vente des Buicks et des Chevrolet là-bas.Il y a quelque chose qui m'échappe.En refusant d'approuver l'accord YLPD-SWAN, GM se montre bien plus de favorable à la fermeture de Saab, qui va coûter des milliers d'emplois en Suède, alors qu'il va laisser son propre partenaire chinois (SAIC) avoir plus de technologie.Cette façon d'agir n'est pas de nature à se faire des amis et influencera les gens, spécialement en Suède. Si GM était responsable de la mort de Saab et des milliers d'emplois sur le marché national de Saab, GM peut oublier ses ventes en Europe du Nord pour un bon bout de temps.Je comprends que c'est peut-être une affaire "coupante", mais GM devrait observer comment Ford a géré la situation quand il a vendu la société suédoise Volvo. Cela a paru une transaction très honnête et Ford a agi avec courtoisie du début à la fin. Cela pourrait être étudié par GM.Je ne demande pas de traitement de faveur, mais si Saab devait mourir, cela devrait se faire sur le terrain des marchés, par dans l'antichambre des Administrateurs sans même une écoute honnête des attentes de son partenaire.Il y a des ventes et des rachats tout de temps dans le monde de l'automobile. Mais je n'ai jamais entendu qu'une autorisation refusée par une société puisse en tuer une autre ou la production de celle-ci.Les affaires sont difficiles et se révèlent cruelles parfois, mais aucune société ne souhaite avoir la réputation d'être un tueur de contrats et de mettre les gens au chômage.Victor Muller a essayé tout ce qui était en son pouvoir.Il n'a pas été capable de réussir seul, mais si Saab arrive à avoir un nouvelle vie, espérons que les nouveaux propriétaires seront capables de sauver tous ces emplois en Suède.
Quels seront les opérateurs de mobilité de demain ?
Voilà une question que l'on peut se poser, alors que Better Place vient de lever 200 millions de dollars suite à un nouveau tour de table. La start up israélienne, qui veut se positionner sur les services autour de la mobilité électrique, a levé au total 750 millions depuis sa création. Et elle pèse 2,2 milliards de dollars. Pourtant, Better Place ne vend rien encore. La société, qui n'a convaincu à ce jour que Renault chez les constructeurs, va lancer ses services au premier trimestre 2012 avec la Fluence ZE en Israël et au Danemark avec un package calqué sur les forfaits de téléphonie mobile qui comprend l'usage du véhicule et sa recharge. Une expérience qui sera suivie à la loupe.
Mais Better Place n'a pas le monopole de ce nouveau business (si business il y a vraiment) de la mobilité. D'autres acteurs se déclarent (tel Bolloré à Paris pour Autolib') et ce n'est sans doute qu'un début. Par exemple, le suisse Toowup se rêve en Google de la mobilité. Cet acteur propose un système d'exploitation et des applications logicielles qui permettent de faire de l'auto partage, du co-voiturage, du service et de la géolocalisation.
Voir la vidéo :
Toowup exploite par exemple le service Ah La Carte qui permet à Montbéliard d'utiliser des véhicules électriques (F-City) et des vélos électriques en libre-service, ou encore de prendre le bus, tout cela avec une même carte pré-payée.
L'opérateur suisse va prendre la parole aujourd'hui dans le cadre du congrès Mobilis, qui ouvre à Belfort et qui va se tenir pendant deux jours. Toowup intervient dans la plénière sur les opérateurs de mobilité, au même titre que PSA Peugeot Citroën (pour Mu chez Peugeot et Multicity chez Citroën), la SNCF, Orange, TomTom, le Syndicat Mixte des Transports en Commun de Belfort et le BIPE. Ces spécialistes vont donner leur vision à travers des exemples locaux et nationaux. On est à un tournant, avec des spécialistes qui cherchent à élargir leur offre et de nouveaux entrants qui veulent se faire une place. Mais, un acteur peut-il y arriver seul ou est-ce que ce nouveau schéma passe par des partenariats ?
Mais Better Place n'a pas le monopole de ce nouveau business (si business il y a vraiment) de la mobilité. D'autres acteurs se déclarent (tel Bolloré à Paris pour Autolib') et ce n'est sans doute qu'un début. Par exemple, le suisse Toowup se rêve en Google de la mobilité. Cet acteur propose un système d'exploitation et des applications logicielles qui permettent de faire de l'auto partage, du co-voiturage, du service et de la géolocalisation.
Voir la vidéo :
Toowup exploite par exemple le service Ah La Carte qui permet à Montbéliard d'utiliser des véhicules électriques (F-City) et des vélos électriques en libre-service, ou encore de prendre le bus, tout cela avec une même carte pré-payée.
L'opérateur suisse va prendre la parole aujourd'hui dans le cadre du congrès Mobilis, qui ouvre à Belfort et qui va se tenir pendant deux jours. Toowup intervient dans la plénière sur les opérateurs de mobilité, au même titre que PSA Peugeot Citroën (pour Mu chez Peugeot et Multicity chez Citroën), la SNCF, Orange, TomTom, le Syndicat Mixte des Transports en Commun de Belfort et le BIPE. Ces spécialistes vont donner leur vision à travers des exemples locaux et nationaux. On est à un tournant, avec des spécialistes qui cherchent à élargir leur offre et de nouveaux entrants qui veulent se faire une place. Mais, un acteur peut-il y arriver seul ou est-ce que ce nouveau schéma passe par des partenariats ?
Volvo et son centre de torture
C'est un peu le Guantanamo des voitures. Comme chaque constructeur, Volvo a un centre d'essais qui fait subir aux modèles en développement une batterie de tests destinés à les pousser dans leurs derniers retranchements. Le site se trouve à Hällered, en Suède, à une heure de Göteborg. Sur une surface de 7 millions de m², protégé des regards par une clôture, le centre abrite 26 km de pistes, réparties en 15 circuits différents. On y simule les différents types de routes qu'une voiture peut rencontrer pendant son cycle de vie, y compris l'autoroute (mais c'est le circuit le plus doux), ainsi que les conditions météo (avec une cascade d'eau salée). En quelques mois seulement, les voitures vieillissent de 10 à 15 ans. Il faut dire que les pilotes ne prennent pas de gants. Ils poussent les autos jusqu'à 250 km/h pour tester la stabilité du châssis.
Voir la vidéo :
Les 75 pilotes d'essais se relaient 24h/24. Chacun d'eux parcourt au moins l'équivalent de 100 000 km par an et, au global, ils épuisent un stock de 2000 pneus. Il faut dire que le gravier - une spécialité suédoise - ne pardonne pas... Le site sert aussi à tester les systèmes de sécurité active, dont par exemple la détection piétons.
Porsche 911 GT3 et 911 GT2
21:22
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TOP 30 Autotitre du 08 au 14/11/2012
20:16
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