
Quand François Fillon est arrivé à Matignon, je me suis dit : enfin un politique passionné de sport auto, la France va exploser en tant que nation mécanique ! Et depuis nous avons perdus notre GP et impossible de voir un projet de circuit aboutir...Aujourd'hui c'est JL Borloo qui se range du côté des anti Flins, mettant naturellement en péril le projet. La voix d'un ministre ça pèse... En plus Mr Borloo joue sur du velours, c'est tellement plus facile...