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vendredi 17 avril 2009

Adolphe Kégresse

Adolphe Kégresse, né à Héricourt (Haute-Saône) en 1879, mort à Croissy-sur-Seine en 1943.

Après avoir suivi les cours d'une école technique de Montbéliard, il partit en 1905 à Saint-Pétersbourg. Mécanicien très inventif, il commença sa carrière comme responsable technique du premier garage impérial du tsar Nicolas II de 1906 à 1917. En 1910, à la demande du tsar, il met au point des autochenilles originales (à partir de véhicules Packard, Mercedes-Benz et Delaunay-Belleville) capables de se déplacer facilement, particulièrement dans la neige. Il expérimente divers matériaux légers et souples comme des cordes, des courroies de cuir tressé et du caoutchouc armé. Il avait ainsi inventé le principe du « halftrack » qui fut largement utilisé par la plupart des armées pendant la Seconde Guerre mondiale.

Outre les véhicules impériaux, son système s'appliquera à des véhicules de l’armée russe dès 1914 en particulier des ambulances Packard et des auto-mitrailleuses Austin-Putilov qu'utilisèrent plus tard les bolcheviks.

Voiture du tsar équipée par Kégresse (1917)
Dessin de brevet de 1913

Rentré en France, c'est avec Citroën qu'il crée un département de véhicules « tout terrain » en 1919. Les véhicules équipés du système Kégresse-Hinstin seront produits de 1921 jusqu'en 1937.

Ces véhicules connurent un certains succès et différentes versions ont été utilisées par l'armée en France mais aussi à l'étranger par des services publics (Postes, Douanes) ou par l'armée dans les pays tels que la Belgique, le Chili, la Grande-Bretagne, la Hollande, la Pologne, l'Espagne, etc.

Dessin de brevet de 1924

Après avoir quitté Citroën, Kégresse continue ses travaux de recherche. En 1935 il met au point une boîte de vitesses automatique dénommée « AutoServe » et en 1939 il essaie une chenillette électrique télécommandée.

Durant toute sa vie, Kégresse déposa plusieurs centaines de brevets de toutes sortes mais la plupart concernant des organes automobiles.

Le système Kégresse-Hinstin

Ce système de chenilles, adaptable aux châssis existants, est composé d'une bande épaisse de caoutchouc moulé et armé s'enroulant sur deux poulies dont l'une est motrice et l'autre libre sur un essieu porteur constituant ainsi un bogie à deux essieux ayant une assez large liberté de tangage pour s'adapter au terrain accidenté. La poulie motrice (diamètre 500 mm) est à deux joues mobiles enserrant la chenille en fonction des efforts demandés lors de la traction ou du freinage. Un train de 4 galets groupés deux à deux assure la fonction porteuse. Les principaux intérêts du système par rapport aux chenilles classiques sont sa légèreté et son fonctionnement relativement silencieux. Son plus gros défaut était la durée de vie assez faible de la bande sans fin (2000 à 6000 km).

Avec l'ingénieur Jacques Hinstin en 1922, Kégresse finalise le premier véhicule « tout terrain » Citroën K1 qui est un châssis C 5cv équipé du système. Le système « Kégresse-Hinstin » équipera beaucoup d'autres modèles comme les C4 et C6.

Compte tenu de ses performances, André Citroën se lance dans plusieurs opérations de promotion de grande envergure à retentissement international :

  • l'expédition transsaharienne en 1922 qui fut un succès et la constitution de la Compagnie Générale Transsaharienne Citroën (Citracit) à des fins de transport et de tourisme à travers le Sahara, qui fut par contre un échec financier auquel André Citroën mit rapidement fin ;
  • la Croisière noire en 1925 ;
  • la Croisière jaune en 1931 cofinancée par le National Geographic ;
  • le prêt de 3 véhicules C6 en 1933 à l'Amiral Richard Byrd pour son expédition en Antarctique ;
  • la Croisière blanche en 1934 au Canada qui fut un échec ;
  • des démonstrations à de nombreuses commissions militaires.

Des véhicules Citroën équipés de « Kégresse » sont fabriqués jusqu'en 1937 (P107 par Unic) et durant cette période le système se perfectionna tout en conservant le principe d'origine : les modifications portaient sur l'entraînement de la chenille et sur le renforcement de celle-ci par une association de plaques métalliques et de blocs de caoutchouc

Jante (automobile)

La jante est la partie métallique de la roue fixée sur un moyeu, elle supporte le pneumatique.

Par type de métal

Le plus souvent, les constructeurs d'automobiles équipent leurs véhicules de production courante de jantes en tôle d'acier embouties. Généralement des enjoliveurs, en plastiques peints, sont ajoutés pour l'esthétique du véhicule.

Les véhicules de haut de gamme, sont eux équipés de jantes en alliage d'aluminium, plus légères et autorisant plus de liberté pour le dessin du voile de la jante.

En compétition, on voit des jantes en alliage d'aluminium, en alliage de magnésium en Formule 1, ou même en matériaux composites pour le karting.

Par taille

Suivant le modèle du véhicule automobile, ce dernier est équipé de jantes d'un certain diamètre et d'une certaine largeur. Le diamètre ainsi que la largeur est indiqué en pouce.

Les largeurs normalisées sont :

  • 4" (102 mm) ;
  • 4,5" (114 mm) ;
  • 5" (127 mm) ;
  • 5,5" (140 mm) ;
  • 6" (152 mm).

Les diamètres normalisés sont :

  • 12 " (305 mm), utilisé sur les anciennes mini d'Austin ;
  • 13" (330 mm), très utilisé avant les années 1990, encore utilisé sur les automobiles bas de gamme ou la compétition automobile, c'est le cas, entre autres, de la F1 ;
  • 14" (355 mm), courant remplace souvent la jante de 13 ;
  • 15" (381 mm), courant remplace souvent la jante de 14 sur les véhicule de moyenne-gamme ;
  • 16" (406 mm), de plus en plus utilisé ;
  • 17" (432 mm), réservé aux automobiles à vocations sportives ;
  • 18" (457 mm), utilisées sur des voitures très sportives ;
  • plus de 19" (483 mm), utilisées surtout pour le tuning.

On trouve aujourd'hui des jantes de 23" (584 mm), voire même de 27" (686 mm) aux USA. voir aussi : Dub (Jantes)

Les fabricants

  • BBS
  • BBS (BBS Kraftfahrzeugtechnik AG) est une compagnie allemande créée en 1970 qui fabrique et commercialise principalement des jantes en alliage d'aluminium pour l'automobile.

    Les jantes BBS reprennent souvent le style original des roues à rayons qu'on trouvait sur les voitures anciennes de luxe et de course.

    BBS produit notamment des jantes pour la compétition automobile, elle fournit des équipes de Formule pour lesquelles elle produit des jantes en alliage de magnésium forgé, très fines, résistantes et légères.

    Une roue de Formule 1 avec jante BBS
  • Dunlop
  • Pour les articles homonymes, voir Dunlop (homonymie).

    Dunlop Tires est une entreprise internationale basée au Royaume-Uni, filiale de l'Américain Goodyear, spécialisée dans la production de pneumatiques et de produit dérivés du caoutchouc.


    Histoire

    Elle a été fondée en 1888 par l'Écossais John Boyd Dunlop (1840-1921) après qu'il eut inventé les pneumatiques gonflables modernes. Celui-ci en regardant son petit-fils (certaines versions disent son fils ou son neveu) faire du vélo eu l’idée de coller sur les roues en bois, des bandes de caoutchouc et d’insuffler de l’air dessous. Cette innovation rendait ainsi le transport plus confortable et permettait également de dépenser moins d’énergie pour avancer. Le premier pneumatique était né et en 1888, JB Dunlop en déposait le premier brevet le 23 juillet de cette même année.

    Devant le succès rencontré par son invention, il fonda en 1889 l'usine Dunlop UK à Dublin en Irlande qui fut, avec celle fondée la même année par les Michelins, la première manufacture de pneumatique au monde. En 1890, il cède son brevet à un Irlandais, William Harvey Du Cros contre 1 500 actions. Une nouvelle usine voit le jour à Dublin et la société change de nom pour devenir la Dunlop Pneumatic Tyre Co.. L'entreprise se développe et exporte ses productions dans l'Empire britannique et aux États-Unis.

    Elle s'implante également très vite sur le continent européen. En 1893, est créée à Levallois la Compagnie Française du Pneumatique (puis à Argenteuil en 1895, deux usines seront par la suite implantées en France, à Montluçon en 1919, dans une ancienne usine de chargement d’obus et à Amiens en 1957). La société britannique s'implante également à Hanau en Allemagne L’extension de l’empire Dunlop continua les années suivantes avec une implantation au Japon dès 1909.

    Avec l'avènement de l'automobile, la compagnie s’oriente vers la fabrication de pneumatiques pour cette nouvelle invention qui marque son véritable décollage. Elle équipe en 1895 la première automobile. C’est sur le site de Kobé en 1913 que sera fabriqué le premier pneumatique automobile au Japon par la société Dunlop Japan. L'entreprise s'implante alors dans le coeur industriel de l'Angleterre, au plus proche de ses clients, avec une usine à Coventry (où sont présents les constructeurs Riley, Daimler et Triumph) avant son implantation phare à Birmingham dans ce qui sera appelé « Fort Dunlop ». Birmingham sera le berceau des principales marques anglaises de moto (Matchless, Enfield, BSA ou Norton) et des constructeurs automobiles Austin et Morris.

    La production de Dunlop fut très variée, son produit phare, le pneumatique était décliné dans de nombreuses applications : voiture, camion, tracteur, avion (il équipera les Spitfire et les Lancaster de la Seconde Guerre mondiale). D’autres produits sortaient également des usines Dunlop tel que des jantes, bottes, des chambres à air ou encore des balles de tennis, alors fortement réputées par de grands tournois tels que Roland Garros. En 1948, le pneumaticien se lance dans la literie avec la marque Dunlopillo (mot-valise composé de Dunlop et de pillow, « oreiller » en anglais) et les premier matelas en mousse de latex.

    Dans les années 1960, l'ingénieur Tom French, directeur de développement de Dunlop, met au point un nouveau dessin de pneu qui limite l'aquaplanage.

    Pendant les années 1970, Dunlop innove encore en produisant le premier système roue/pneu qui permet de continuer de rouler en sécurité en cas de crevaison.

    De nos jours, l'entreprise est basée à l'usine Fort Dunlop de Birmingham qui a été ouverte en 1891 et fabrique des pneus pour tous les types de véhicules. Dunlop Aircraft Tyres est le plus important producteur de pneumatiques en aéronautique avec 100 000 pneus produits chaque année dans son usine de Birmingham.

    La filiale japonaise passe sous le contrôle du Japonais Sumitomo Rubber Industries à la fin des années 1970, époque de l'émergence de la puissante industrie automobile japonaise. Suite au dépôt de bilan de Dunlop en 1984, les filiales britannique, française, allemande et nord-américaine sont rachetées par Sumitomo.

    En 2003, Dunlop est rachetée par l'Américain Goodyear, sauf la division aéronautique (Dunlop Aircraft Tyres) qui reste une société indépendante.

    Sports

    pneu sport

    Dunlop comme le feront les autres pneumaticiens va se servir des compétitions automobiles naissantes pour perfectionner et tester ses produits et se faire de la publicité. Elle remporte sa première course en 1902, Paris-Vienne.

    Au début des années 1920, le fabricant britannique sort le premier pneu qui roule a plus de 300 km/h. Quelques années plus tard, Henry Seagrave bat le record du monde de vitesse avec 372 km/h sur une voiture chaussée de Dunlop puis de nouveau en 1947 avec John Cobb avec la vitesse de 634 km/h[.

    La marque sera très présente aux 24 Heures du Mans. La fameuse passerelle en forme de demi-pneu qui surplombe toujours la chicane Dunlop au circuit Bugatti du Mans a été construite en 1924, dès la seconde édition des 24 Heures.

    Dunlop a été le fournisseur unique de pneumatiques du championnat britannique de voitures de tourisme de 2003 à 2006. La marque totalise également une centaine de titres de champion du monde en moto, dans différentes catégories. Elle produit également des pneus très performants pour le karting.

    L'entreprise fabrique également des raquettes de tennis, des ballons de basket (gonflables comme un pneu) et d'autres accessoires de sport, dont des balles de golf.

  • Enkei
  • Enkei est une entreprise Japonaise de jantes en alliage d'aluminium destinées à la compétition automobile, dont la Formule 1, et les voitures de tuning.

  • Falken
  • Falken est une entreprise Japonaise qui fabrique des jantes en alliage d'aluminium et des pneus destinés à la compétition automobile et aux voitures de tuning.

    En 2004, Falken a créé une voiture de course en collaboration avec Nissan ; la Nissan Skyline Falken GT-R, motorisée en L6. Elle a ensuite collaboré avec Ford en 2005 pour créer une voiture de drift ; la Ford Falken Mustang GT pour le pilote Vaughn "J.R." Gittin.

  • OZ Racing
  • OZ Racing (du nom des fondateurs Silvano Oselladore et Pietro Zen) est une compagnie italienne qui fabrique et commercialise principalement des jantes en alliage pour la compétition automobile et moto.

    Créée en 1971, cette célèbre marque a remporté ses premières courses en rallye lorsqu'elle équipait les mini cooper de l'époque. Depuis, OZ Racing élabore des jantes pour de multiples disciplines comme le WRC, l'Endurance, la Formule 1 et la moto. Audi R10, Renault F1 et Citroen WRC sont ses partenaires les plus emblématiques

  • Rays Engineering
  • Rays Engineering Co., Ltd. ( Kabushiki-gaisha Reizu Enjiniaringu?) est une marque de fabrique de jantes en alliage d'aluminium pour les voitures de sports et de courses.

    Les courses de voitures de marque japonaises Honda, Nissan, Toyota, et Mazda en Super GT, en BTCC (British Touring Car Championship), Formula Nippon, et en Formula 1.

    La marque est devenue si populaire par ces courses que la production de l'entreprise Rays Engineering se porte bien puisque la qualité de fabrique rivalise ses concurrents.

    Rays Engineering participe aussi au tuning en collaboration de Nismo, RALLIART, STi, Mazdaspeed, Toyota Racing Development (TRD) et Williams Formula One team[1]. On remarque aussi cette marque au cinéma dans Fast and Furiou

  • Speedline (automobile)
  • Speedline est une entreprise Italienne qui fabrique des jantes en alliage d'aluminium pour automobiles de courses, de tuning, mais aussi dans plusieurs categories en Formule 1, en Rallye, en DTM et en Super GT.
  • Yokohama Rubber Company
  • La Yokohama Rubber Company, Limited ( Yokohama Gomu Kabushiki-gaisha) est un manufacturier de pneumatiques japonais basée à Tokyo. La compagnie fut créée en 1917 après une union entre Yokohama Cable Manufacturing et BFGoodrich. En 1969, l'entreprise se développe aux États-Unis sous le nom Yokohama Tire Company. Aujourd'hui, le fabricant nippon est le septième manufacturier de pneus dans le monde. Il ne fabrique pas uniquement des pneus mais aussi des jantes en alliage d'aluminium.

Indicateur de vitesse


L'Indicateur de vitesse ou « compteur de vitesse » est un instrument permettant d’indiquer la vitesse de déplacement d’un véhicule. Pratiquement toutes les automobiles, motocyclettes et autres engins motorisés en sont équipés. Dans une auto, on le trouve très souvent juste derrière le volant, parfois au centre du tableau de bord.


Présentation générale


Indicateur de vitesse équipé en son centre d'un odomètre.

La fonction du compteur de vitesse est de permettre au conducteur de connaître la vitesse instantanée de son véhicule. Le compteur de vitesse est très utile pour permettre au conducteur de maîtriser la vitesse de son véhicule par rapport aux limites imposées par la signalisation ou le code de la route. En France, la vitesse est indiquée en Kilomètre par heure (km/h). Dans certains pays, les compteurs de vitesse disposent d’une double graduation : l’unité de mesure locale (généralement le mile) et l’unité de mesure internationale.

Dans certains cas, le compteur de vitesse comporte des graduations supplémentaires destinées à informer le conducteur sur le rapport de boîte de vitesse qui devrait être engagé. Ces indications permettent de pallier sommairement l'absence de compte-tours. Par exemple, la première vitesse en dessous de 20 km/h, le seconde entre 20 et 45, la troisième entre 45 et 70 etc…

Plusieurs types de compteurs de vitesse


compteur de vitesse à double graduation (km/h et miles par heure)

On distingue généralement trois types de compteurs de vitesse selon l'affichage :

  • rond à aiguille ;
  • linéaire à aiguille ;
  • numérique.

Le compteur rond est le plus courant. Un odomètre totalisateur et journalier, ou compteur kilométrique, lui est logiquement intégré. Il présente l’avantage d’être facilement lisible d’un simple coup d’œil. Sur tout les véhicules l'indicateur de vitesse est éclairé pour faciliter sa lecture en conduite de nuit.

Le compteur linéaire à aiguille se présente sous la forme d’une graduation linéaire horizontale sur laquelle se déplace l’aiguille. Son principal avantage est une certaine compacité par rapport au compteur rond. Assez répandu dans les années 1960 et 1970, le compteur linéaire semble être passé de mode.

Le compteur numérique affiche directement la valeur de la vitesse sur un écran du tableau debord. Ses indications sont plus précises que celles des compteurs à aiguille. Ses principales utilisations sont les suivantes :

  • ce type d'indicateur est très courant sur les véhicules de compétition ;
  • on le trouve sur certains modèles du groupe Fiat des années 1980 et 1990 (Fiat Tipo) ;
  • il est très en vogue depuis 1993, le modèle Twingo de Renault ayant relancé la mode.

Dans l'aviation, on utilise un appareil qui donne la vitesse relative de l'air, le badin ou anémomètre.

Calibrage et erreurs

Les véhicules automobile sortant des chaînes sont actuellement équipés en standard de calculateurs de vitesse électroniques. Certains les accusent d'être moins précis que leurs homologues mécaniques. Assertion totalement infondée, les systèmes mis en jeu ne comportant qu'une marge d'erreur minime, au regard des marges attribuables aux anciens systèmes totalement mécaniques.

Par contre ces systèmes de mesures électronique sont réglés par défaut pour afficher une vitesse de déplacement supérieure d'environ 10 % à la vitesse réelle, ceci pour des impératifs de sécurité routière ; les systèmes mécaniques étaient préréglés de la même façon.

hybrides ( série des Voitures )

Europe

  • Toyota prius

    La Toyota Prius est une automobile à motorisation hybride essence-électricité, mais à énergie primaire unique, l'essence. Le premier modèle (type NHW10) fut proposé en 1997 au Japon seulement. Il fut suivi par une version techniquement remaniée mais à la carrosserie identique (NHW11) en 2000, disponible alors également en Europe, aux États-Unis et en Australie. Le modèle actuel (NHW20) fut introduit fin 2003 au Japon et aux États-Unis, et début 2004 en Europe. Il marque l'accès de cette voiture à une réelle popularité, en particulier aux États-Unis.

    La génération actuelle, surnommée Prius II, est un véhicule fonctionnel à 5 portes et 5 places (la Prius I, 1997-2003, était une berline 4 portes avec une malle séparée) destiné à rentrer en concurrence directe avec les véhicules conventionnels de la catégorie familiale et qui ne sacrifie donc pas les performances (autonomie, vitesse, accélération, habitabilité). L'agrément de conduite en ville est remarquable et sa sobriété (moins de 5 l en ville et banlieue) devient exceptionnelle… dans les encombrements, mais pas uniquement : c'est en effet sur route à vitesse raisonnable que ce type de motorisation permet les plus grandes économies de carburant.

    La troisième version de la Prius sera présentée au salon de l'auto de Genève en mars 2009.

    D'après le site Spritmonitor la prius consomme 5,22 litres au 100 km soit un rejet de 120 g de CO2 / km.

  • Toyota Prius

  • Honda Civic IMA
  • La Honda Civic est un modèle du constructeur automobile japonais Honda. La première Civic apparaît en 1972, elle en est à sa huitième génération. En 2001, elle a délaissé sa légendaire suspension avant à leviers triangulés pour utiliser des traditionnelles jambes de force.
  • Honda Insight Hybrid
  • Honda Civic
  • Lexus RX400h
  • Le Lexus RX 400h est une voiture de la marque Lexus. C'est le seul SUV hybride vendu en Europe. Le démarrage du véhicule s'effectue grâce aux moteurs électriques. Quand la demande de puissance augmente, les moteurs essence renforcent les moteurs électriques. Ces batteries se rechargent automatiquement en récupérant l'énergie due au freinage et à la décélération. De ce fait le véhicule émet moins de 200 grammes de CO2 au km.
  • Lexus GS450h
  • Lexus LS600h
  • La Lexus LS est le premier modèle Lexus. Equipé d'un moteur V8, de 4.0 L. Ce modèle fut commercialisé en 1989. La LS 400 était en faite une Toyota Celsior. La première version fut commercialisée jusqu'en 1992.

    La deuxième version fut commercialisée jusqu'en 2000.

    En 2000, la LS 400 fût remplacée par LS 430. Moteur de 4.3L de cylindrée dévelopant 281ch. Ce modèle fut produit jusqu'en 2006.

    Une quatrième génération a pris le relais courant 2006, équipée d'un V8 4.6 essence de 380ch.

    Cette nouvelle LS se convertie aussi à la technologie hybride. Baptisée LS 600h, elle peut recevoir une version rallongée de 12 cm contrairement à la version essence. Commercialisée en France fin 2006 en version essence, les prix de LS 460 sont de 95 000 € (Pack Executive) et 104 000 € (Pack Président).

    Tandis que la LS 600h est sortie en septembre 2007 en France, vendue à 126 500 € en version "courte" et 129 500 € en version longue.

  • Lexus LS600h

Amérique du Nord

  • Cadillac Escalade Hybrid
  • Le Cadillac Escalade est un véhicule appartenant à la catégorie des SUV (véhicule utilitaire sportif) vendu par la marque de luxe de General Motors, Cadillac. C'est le premier véhicule de la marque Cadillac sur le marché des véhicules de loisirs. L'Escalade a été présenté en 1998, en réponse aux concurrents allemands et japonais, et au Lincoln Navigator de la marque Ford, sorti la même année. L'Escalade de base est construit à Arlington au Texas.

    Le Cadillac Escalade est basé sur les GMC Yukon et Chevrolet Tahoe, différent de ces derniers par la face avant. Il a été remplacé en 2001 pour être mis en accord avec le nouveau style de Cadillac.

    Aujourd'hui, le Cadillac Escalade ESV (déclinaison luxueuse du Chevrolet Suburban) et Escalade EXT (pick-up jumeau luxueux du Chevrolet Avalanche) sont les seuls véhicules Cadillac avec le Cadillac BLS à être construits hors des États-Unis, à Silao au Mexique.

  • Chevrolet Malibu Hybrid
  • La Chevrolet Malibu (nommée en l’honneur de la ville de Malibu, Californie) est un véhicule de type intermédiaire produit aux États-Unis par General Motors (GM). Le véhicule est vendu aux États-Unis, au Canada, au Mexique et en Israël.
  • Chevrolet Tahoe Hybrid
  • Chevrolet Silverado Hybrid
  • Le Silverado est le nom de la dernière gamme de pick-up Chevrolet. Les premiers pick-up fabriqués par Chevrolet ont vu le jour en 1930. Actuellement, le modèle Silverado est le second véhicule le plus vendu aux États-Unis, derrière le pick-up Ford F150.

    Ce pick-up est aussi vendu par la marque GMC Truck sous le nom de Sierra.

  • Chrysler Aspen Hybrid
  • Dodge Durango Hybrid
  • Ford Escape Hybrid
  • GMC Sierra Hybrid
  • GMC Yukon Hybrid
  • Honda Civic Hybrid
  • Honda Insight IMA
  • Honda Insight Hybrid
  • Lexus RX400h
  • Lexus GS450h
  • Lexus LS600h
  • Mazda Tribute Hybrid
  • Mercury Mariner Hybrid
  • Nissan Altima HEV
  • La Nissan Altima est une berline intermédiaire fabriqué par la compagnie japonaise Nissan. Elle a remplacé la Stanza en 1993. Mais le périple a commencé avec la Bluebird en 1957. L'Altima est plus cher que la Sentra mais moins cher que la Maxima.

    Ses concurrents sont:

    • La Chrysler Sebring
    • Honda Accord
    • Hyundai Sonata
    • Mazda 6
    • Mitsubishi Galant
    • Toyota Camry
  • Saturn Aura Green Line
  • Saturn Vue Green Line
  • Toyota Camry Hybrid
  • Toyota Prius
  • Toyota Highlander Hybrid

Japon

  • Honda Civic Hybrid
  • Honda Insight Hybrid
  • Toyota Prius
  • Toyota Estima Hybrid
  • Toyota Alphard Hybrid

Futurs véhicules hybrides

2009

  • BMW Série 7 ActiveHybrid
  • Ford Fusion Hybrid
  • Lexus RX 450h
  • Lexus est un constructeur automobile, créé de toutes pièces en 1987 par le groupe Toyota. C'est la division américaine haut de gamme de Toyota. Elle est basée à Torrance en Californie. Les modèles composant la gamme Lexus sont des modèles haut de gamme issus de la gamme japonaise de Toyota. Lexus mise avant tout sur une qualité de finition irréprochable. La marque Lexus est aussi vendue en Europe, Océanie, Asie, Afrique, Amérique du Sud et du Nord.

    Lexus est le premier constructeur haut de gamme à avoir incorporé des versions hybrides dans ses gammes. De par leurs performances, consommations, niveau de pollution et agrément, ces modèles coiffent la plupart des modèles de la gamme (RX 400h, GS 450h et LS 600h).

    Depuis 2005, Lexus est vendu sur le marché japonais, évinçant de la gamme Toyota les modèles correspondants (Aristo pour la GS, Celsior pour la LS, Altezza pour la IS et Soarer pour la SC). En revanche, le SUV RX est resté dans la gamme Toyota sous son appellation d'origine, Harrier, jusqu'à l'arrivée de la troisième génération, en janvier 2009. Les Japonais connaissent donc désormais, eux aussi, le Lexus RX.

  • Lexus GS450h
  • Lexus LS600h
  • La Lexus LS est le premier modèle Lexus. Equipé d'un moteur V8, de 4.0 L. Ce modèle fut commercialisé en 1989. La LS 400 était en faite une Toyota Celsior. La première version fut commercialisée jusqu'en 1992.

    La deuxième version fut commercialisée jusqu'en 2000.

    En 2000, la LS 400 fût remplacée par LS 430. Moteur de 4.3L de cylindrée dévelopant 281ch. Ce modèle fut produit jusqu'en 2006.

    Une quatrième génération a pris le relais courant 2006, équipée d'un V8 4.6 essence de 380ch.

    Cette nouvelle LS se convertie aussi à la technologie hybride. Baptisée LS 600h, elle peut recevoir une version rallongée de 12 cm contrairement à la version essence. Commercialisée en France fin 2006 en version essence, les prix de LS 460 sont de 95 000 € (Pack Executive) et 104 000 € (Pack Président).

    Tandis que la LS 600h est sortie en septembre 2007 en France, vendue à 126 500 € en version "courte" et 129 500 € en version longue.

  • Mazda Tribute Hybrid
  • Mercury Mariner Hybrid
  • Honda Civic Hybrid
  • Honda Insight Hybrid
  • Mercury Milan Hybrid
  • Nissan Altima HEV
  • Saturn Aura Green Line
  • Saturn Vue Green Line
  • Toyota Camry Hybrid
  • Toyota Prius 3ème génération
  • Toyota Highlander Hybrid

2010

  • Chevrolet Volt
  • La Chevrolet Volt est un véhicule hybride qui devrait être commercialisé d'abord aux États-Unis (fin 2010), ensuite en Europe sous le nom d'Opel Ampera 2011 ou 2012) et enfin en Australie sous le nom de Holden à partir de 2012. Sa caractéristique principale est de pouvoir fonctionner en tout électrique pendant 64 kilomètres (40 miles). Le moteur thermique, fonctionnant à régime constant, n'est utilisé que comme générateur de courant et non comme force propulsive directe. La Volt peut se recharger sur le réseau électrique. Ses batteries sont de type lithium-Ion.
  • Chevrolet Volt
  • Lexus HS 250h
  • Peugeot 3008 Hybrid4

2011

  • Citroën DS5 Hybrid

A part Chang ?


La F1 doit-elle s'affranchir des critères politiques ?
Ce week-end se déroule en Chine le Grand-Prix de F1. On se souvient qu'il y a quelques mois, ce sont les jeux olympiques qui ont honoré le pays de leur présence. A l'époque, ce fut bien entendu la polémique. Le sport doit-il prendre en considération le climat politique ? Pour le CIO, la réponse officielle était que la présence des jeux permettait de mettre ce pays en lumière et pourquoi pas le faire avancer vers les libertés individuelles ( je ne prononce pas le mot de démocratie, car c'est pour moi autre chose ). Mais force à été de constater que le cirque Olympique n'a pas fait avancer quelque cause que ce soit. Par contre, il n'en fût pas de même pour le marketing et le marché publicitaire des marque sponsors, qui ont trouvé là un gigantesque terrain et une audience sans équivalent pour ce qui est du potentiel de développement.
La F1 est passée par l'Afrique du Sud de très nombreuses fois de 1967 à 1985 ( 18 gp ! ) en plein apartheid pour enfin se rendre compte que cela pouvait être malvenu et ne plus y retourner jusqu'à l'abolition du régime en 1991 ( deux GP en 1992 et 1993 ). Que penser également des passages répétés par l'Argentine, alors que le régime en place était répressif et militaire.
A l'époque la médiatisation des situations locales était moins importante ( c'était avant internet... ) et même si l'opinion connaissait les choses, le public ne faisait pas vraiment cas de ce choc culturel entre le sport et la politique. Aujourd'hui tout le monde connait la situation en Chine. Tout le monde connait le sort difficile des Tibétains. Pourtant, on ne trouve toujours personne pour s'offusquer de la présence du paddock à Shanghai. Cette fois pas question de faire avancer les libertés, si ? Il est évidemment question là, une nouvelle fois, d'argent. Le marché chinois est aujourd'hui si important qu'aucune marque commerciale ne peut se permettre de jouer les effarouchée. Alors ce week-end encore, nous regarderons les voitures tourner, en nous gardant bien de faire le moindre lien entre la "bulle" F1 et le pays qui l'accueille.

Ils sont partout !


Qui "ils" ? mais les Red Bull !!!
Il faut croire que chez Ferrari, on est pas sectaire. Leurs gourdes sont des Red Bull ! Peut-être un échange de bons procédé, les employés de Red Bull roulent-ils en Ferrari le week end ?

Automobile hybride

Une automobile hybride est un véhicule faisant appel à plusieurs sources d'énergie distinctes pour se mouvoir.

On parle généralement de moteur hybride dans le cas de l'association d'un moteur thermique et d'un moteur électrique. Toutefois l'utilisation d'une pile à combustible dans un véhicule entraîne également son association avec un dispositif de stockage électrique réversible (supercondensateur ou batterie d'accumulateurs), réalisant ainsi une architecture hybride électrochimique/électrique au lieu d'une architecture hybride thermique/électrique.

La Toyota Prius est une automobile hybride essence-électricité

Principe de fonctionnement

Il existe un principe général de fonctionnement qui consiste à faire fonctionner soit le moteur électrique, soit le moteur thermique, soit les deux en même temps selon les modèles.

Le principe de fonctionnement :

  • Lors des phases stationnaires (où le véhicule est immobile), les deux moteurs sont à l'arrêt ;
  • Au démarrage, c'est le moteur électrique qui assure la mise en mouvement de la voiture, jusqu'à des vitesses plus élevées (25 ou 30 km/h);
  • Lorsque des vitesses plus élevées sont atteintes, le moteur thermique prend le relais ;
  • En cas de grande accélération, on observe la mise en marche des deux moteurs à la fois, qui permet d'avoir des accélérations équivalentes au moteur de même puissance, voire supérieures ;
  • En phase de décélération et de freinage, l'énergie cinétique est utilisée pour recharger les batteries.

Étant donnés les trois types de fonctionnement différents, le choix du régime est en général confié à l'ordinateur de bord. Toutefois, la transformation de l'énergie cinétique en énergie électrique lors des phases de freinage n'est pas disponible sur tous les véhicules hybrides ; l'achat des engins ne disposant pas de cette fonction est donc moins rentable que celui de leurs concurrents par rapport aux automobiles classiques.

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Niveaux d'hybridation

Il existe de nombreux véhicules hybrides que l'on classe en fonction de l'importance de la partie électrique et de la façon dont elle est interconnectée avec le moteur thermique. La nomenclature est très variable selon les sources et les constructeurs.

  • La solution Micro Hybride, correspondant au niveau le plus faible d'hybridation, est illustrée par le Stop&Start disponible sur les Citroen C2 et C3. Il s'agit d'une machine réversible remplissant les rôles du démarreur et de l'alternateur d'une voiture classique, qui possède la capacité de couper automatiquement le moteur thermique lors des arrêts (typiquement aux feux tricolores), réduisant ainsi sensiblement la consommation en milieu urbain.
  • Les Mild Hybrid sont un niveau d'hybridation légèrement supérieur. Le système appelé Urban Hybrid chez PSA (concept-car C5-airscape) est un stop&start aux fonctionnalités élargies, capable également de fournir un freinage régénératif (la machine fonctionne en générateur et fournit un couple s'ajoutant au frein moteur) et de fournir un appoint de puissance pour aider les reprises, l'énergie étant stockée entre temps dans des batteries ou des supercapacités. Des technologies comparables existent chez BMW, Honda (Honda insight) ou encore Ford.
  • Les hybrides parallèles sont la solution la plus connue. Les mouvements des moteurs thermique et électrique sont additionnés mécaniquement (par exemple avec un train épicycloïdal). C'est le système illustré dans les figures ci-dessus. Ces voitures sont capables de fonctionner en tout électrique. La Toyota Prius, les prototypes Hybride HDi de PSA, la Nissan Altima, les Lexus Rx400h, GS450h, LS600h et d'autres utilisent des variantes de ce principe.
  • L'hybride série est en réalité une voiture électrique dotée d'un groupe électrogène. Le moteur thermique ne fait qu'alimenter un générateur électrique, il peut donc tourner à régime optimal. De plus, il n'y a pas de pertes mécaniques dans la transmission. Les batteries et/ou les supercapacités permettent de stocker l'énergie de façon transitoire et éventuellement de rouler en "tout électrique". Le freinage est bien sur régénératif. La Chevrolet Volt (concept-car dont la commercialisation n'est pas encore décidée) illustre cette technologie. De telles voitures préfigurent pour certains la voiture à hydrogène, qui remplace simplement le moteur-générateur par une pile à combustible.
  • On parle d'hybride branché (plug-in Hybrid) lorsqu'un véhicule hybride, qu'il soit série ou parallèle, peut se recharger sur le réseau électrique, ce qui permet, pour les petits trajets quotidiens, de l'utiliser comme une voiture électrique. Ainsi la Chevrolet Volt permettrait à ses utilisateurs de rouler un maximum de 60 km par jour sans utiliser d'essence, en rechargeant les batteries la nuit. Le moteur thermique est remis en route lorsque les batteries sont épuisées.
  • Un concept particulier consiste à utiliser une traction classique plus des moteurs électriques installés sur les roues arrières. Le concept Citroën C-Metisse utilise ce principe. On dispose ainsi de quatre roues motrices, ce qui améliore performances et tenue de route.

Avantages

Ce type de motorisation diminue de 10 à 50 % la consommation des véhicules suivant l'utilisation (la conduite urbaine offrant les gains les plus spectaculaires et la conduite autoroutière les plus faibles) et permet également de limiter les émissions polluantes proportionnelles à la consommation de carburant. La motorisation hybride est donc particulièrement intéressante pour les taxis et elle commence à être appliquée aux autobus aux États-Unis, en Europe et au Japon.

Ne puisant son énergie que dans le carburant, au moins dans les réalisations actuelles, une motorisation hybride ne doit pas être comparée à une motorisation électrique ; il s'agit simplement d'une motorisation thermique optimisant l'usage de l'énergie.

Le premier véhicule de ce type à être mis sur le marché en grande série est la Toyota Prius, fin 1997 au Japon (dans une version jamais commercialisée en dehors de l'archipel), suivie par le coupé 2 places Honda Insight en 1999, qui fut également exporté aux États-Unis et dans quelques autres pays mais pas en France. La troisième version de la Prius (modèle NHW20) a reçu le titre européen de voiture de l'année en 2005. En 2008, Toyota avait vendu un million d'exemplaires de sa Prius. En 2007, Toyota vient avec sa nouvelle Camry Hybride de remporter encore plusieurs prix d'importance dans le monde automobile. Motor Trend leur ayant décerné le prix de voiture de l'année 2007 pour la Camry et l'Association des journalistes automobile du Canada a octroyé à la Camry Hybride 2007 le titre de voiture canadienne de l'année, ainsi que celui de meilleure voiture familiale de plus de 30 000 $CDN. L'Association canadienne des automobilistes leur a décerné le prix tant convoité : Pyramide 2007 CAA pour des initiatives environnementales. Lexus, la marque haut de gamme de Toyota, commercialise des berlines et un 4x4 hybrides, ce dernier (Lexus RX400h) rencontrant un certain succès, malgré son prix. Sans approcher le succès de la Prius, Honda commercialise depuis plusieurs années une version hybride dite IMA de la Honda Civic. D'autres constructeurs ont également sorti des modèles hybrides mais avec des parts de marchés plus marginales (Mazda, General Motors, Renault...). En France, l'effort le plus notable fut Renault, qui produisit quelques milliers de Kangoo hybrides seulement. Crise du pétrole et contrainte écologique obligent, de nombreux constructeurs automobiles ont annoncé des programmes de recherche importants dans ce domaine, notamment General Motors, qui s'associe dans ce domaine avec Mercedes et BMW, Ford ayant acquis la technologie de Toyota de première génération, et plus récemment PSA Peugeot Citroën qui s'est associé à divers grands équipementiers et à une PME française, pour réaliser la première voiture hybride diesel-électrique, dans le cadre d'un important programme de développement soutenu par l'Agence pour l'Innovation Industrielle.

En France, le ministre des transports, Gilles de Robien, a pris la décision d'augmenter le crédit d'impôt pour les véhicules peu polluants comme les automobiles Hybrides. Et au Canada, le Premier Ministre, Steven Harper, annonçait dans le nouveau budget 2007 qu'à compter du 20 mars 2007 un programme sous forme de remboursement en espèces sonnantes sur plusieurs modèles éco-énergétiques verrait le jour. Encore une fois, c'est le constructeur japonais Toyota qui sortait grand gagnant de cette initiative du gouvernement Canadien avec dix versions de modèles éligibles à ce seul programme, soit 2 000 $ pour la Prius, 1 500 $ pour la Camry Hybride, 1 000 $ pour le Highlander Hybride, 1 000 $ pour la Corolla (manuelle)2007 et 1 000 $ pour toutes les versions de leur Yaris.

En complément sur le crédit d'impôt, en France, le crédit d'impôt s'élève à 2 000 € par véhicule acheté, pour être éligible au crédit d'impôt, le niveau d'émission de CO2 ne doit pas dépasser 160 grammes (en 2008), ce qui est le cas par exemple de la Prius. Il existe d'autres conditions pour l'obtention du crédit d'impôt sur les voitures propres (type de carburant, reprise ancien véhicule...)

Inconvénients

Les accumulateurs électrochimiques de ces véhicules n'auraient pas une durée de vie aussi longue que le véhicule lui-même, il faudrait donc changer ceux-ci une ou plusieurs fois avant le recyclage total du véhicule, ce qui entraînerait un surcoût de maintenance et une obligation importante de recyclage pour le fabricant. Cependant, les marques proposant les systèmes hybrides comptent ceux-ci dans la garantie générale du véhicule (par exemple 8 ans ou 160.000km pour la Prius en France, 8 ans et kilométrage illimité (999 999 km) pour la Honda Civic IMA).

Critiques

Certains constructeurs ont avancé le fait que l'économie en carburant occasionnée par la technique hybride pour des véhicules à essence était proche de celle du passage de l'essence au diésel, et qu'elle n'était donc pas intéressante pour eux sur les marchés ayant fait le choix d'un fort taux d'utilisation de moteurs diésel comme l'Europe. Ce discours occultant l'impact supérieur des émissions de NOX des diésels, ces mêmes détracteurs projettent donc des hybrides diésel argüant de leur émission de CO2 inférieure. À titre d'exemple, on pourra comparer la quantité de CO2 rejetée par différents modèles vendus sur le marché français (données constructeur) :

  • Toyota Prius
  • Toyota Prius : 104 g/km Années 2009
  • Citroën C4 1.6 HDI 110ch : 125 g/km Années 2009

  • citroenC4 1.6i 16v 110ch : 169 g/km Annes 2009

Deux précisions : les prototypes Hybrides HDI développés par le groupe PSA, sur la base, justement, d'une Peugeot 307 et d'une Citroën C4, et présentés à la presse en 2006 rejettent 90 grammes de CO2 par kilomètre parcouru. Mais finalement, deux ans plus tard, le groupe PSA indique qu'il n'est pas en mesure de proposer à terme ces véhicules. D'autre part, la Citroën C4 HDI 110ch a été choisie en exemple parce qu'elle présente l'un des meilleurs rapports performances / consommation de la catégorie des compacts diésel, notamment grâce à un rapport puissance / cylindrée élevé et à une faible trainée aérodynamique. La plupart des berlines diésel vendues en Europe rejettent plus de 140 grammes de CO2 par kilomètre parcouru.

Enfin, d'autres critiques notent que des 4x4 bien que hybrides (Lexus...) restent néanmoins très énergivores comparés à des berlines, mais bien moins toutefois que des 4x4 non hybride.

Selon Patrick Coroller, Directeur national Air et Transport de l'AdEME, les solutions hybrides ne sont pas pertinentes et ne soutiennent pas la comparaison par rapport aux dernières générations de véhicules purement électriques utilisant des batteries à haute capacité de stockage (allocution Dijon 4 mai 2006 - journée EDF) Toujours selon lui, les solutions d'hybride Essence et à plus forte raison Diesel ne seraient pas adaptées aux marchés des prochaines décennies et sur un plan environnemental, seule la voie de l'hybride plug-in mérite un soutien à condition de maintenir une origine très majoritairement non polluante de l'électricité (c'est la voie choisie pour la Toyota Prius III par exemple). Toutefois, l'avantage des hybrides sur l'électrique pur est leur autonomie non limitée par les batteries qui les rend plus aisément utilisables sur de longs trajets (autoroute par exemple).

On peut cependant souligner les problèmes de recyclage des batteries d'une solution purement électrique ou hybride, ainsi que le problème de ressources qui se poserait si le nombre de véhicules devait être très élevé, par exemple la disponibilité du lithium utilisé dans les batteries de type Ion-Lithium (Chevrolet Volt...). Rappelons que près de 14 millions de véhicules (tous types confondus) se vendent chaque année en U.E..

Hayon


Le hayon désigne l'ensemble lunette arrière/porte de coffre s'ouvrant ensemble.

Apparu dans les années 1950 chez KAISER et les années 1960 sur les berlines familiales (Renault 16, Simca 1100,…) et très populaire en France, ce système est utilisé notamment par les Renault Laguna et Peugeot 307. Il s'oppose aux berlines tricorps (trois volumes) à la lunette arrière fixe.

Il est généralement équipé d'un essuie-glace et d'un système de dégivrage.

À l'étranger, où le hayon n'est pas apprécié dans le haut de gamme, la diffusion du hayon reste limitée.

Hayon élévateur

Un hayon élévateur est un système de plate-forme élévatrice disposé à l'arrière de la caisse d'un camion. Il permet d'y disposer de lourdes charges sans devoir le mettre à quai.

Alzheimer ?


Vu dans le cockpit de Barrichello pendant les essais libres, le plan du circuit scotché sur le côté... aurait-il des petits soucis de mémoire Rubens ? Il faut se rappeler que le pépère accuse quand même 36 ans ! pour la F1 c'est pratiquement un papy... il ne faudra pas s'étonner de le voir de nouveau louper son freinage au premier virage, s'il est en train de consulter le plan pour savoir de quel côté tourne la piste.