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samedi 14 janvier 2012

Les GPS qui intègrent les transports en commun


La grande tendance aujourd'hui est d'intégrer les transports en commun dans les systèmes de navigation. Il devient possible de bénéficier des plans de réseaux sur les GPS, en France comme à l'étranger. Auparavant, ce type d'infos n'était accessible que pour les PDA et les Smartphones.



Ainsi, Mappy propose sur sa gamme de navigateurs une fonction qui permet de calculer des itinéraires alternatifs à l'automobile dans 57 villes de France, 146 villes d'Europe et en tout 215 villes dans le monde.




Le premier acteur à l'avoir fait est Kapsys avec son GPS Kapten (http://www.kapsys.com/modules/movie/scenes/home/, lequel se décline sous la forme d'un navigateur de poche NG. On peut non seulement être guidé en voiture ou à pied en ville, mais aussi avoir accès aux plans des transports en commun (bus, métro, RER) dans plusieurs pays. Outre la France (une vingtaine de villes), Kapsys propose plusieurs villes d'Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, Finlande, Grande-Bretagne, Grèce, Irlande, Italie, Norvège, Pays-Bas, Portugal, Suède et Suisse.



La bonne nouvelle, c'est que Kapten existe également pour l'iPhone. Grâce à ce genre d'application GPS, on peut se replier sur le bus ou le métro en cas de problèmes liés au trafic ou à la météo.



Sinon, il existe aussi iTransports de Moviken (http://www.moviken.com/itransports) qui est un GPS exclusivement dédié aux transports en commun.

Les annonces de Detroit sur le véhicule électrique



Dans la cacophonie qui caractérise la communication autour de la voiture électrique, voici quelques infos concrètes. Elles arrivent du salon de Detroit où, à défaut de présenter des nouveautés, l'édition 2010 a le mérite de réserver quelques surprises au niveau des annonces. Ainsi, Ford a pris l'engagement d'investir 450 millions de $ de plus pour les véhicules électriques et hybrides. C'est ce que Ford - dont on voit sur la photo le PDG William Clay Ford Jr, avec le gouverneur du Michigan, Jennifer Granholm - appelle un "plan agressif pour le véhicule électrique". L'usine de Wayne, dans le Michigan, va accueillir la production de la Focus électrique en 2011 et l'année suivante de la prochaine génération d'hybrides et d'un hybride "plug in", sur la base de la nouvelle plateforme C de la Focus. Ce site fabriquait auparavant des SUV.
Par ailleurs, Ford travaille avec Microsoft pour promouvoir la solution Microsoft Hohm de recharge à domicile.

Voir la vidéo :






Ford, qui a décroché au passage le titre de "Car of the year" pour la Fusion hybride et de "Truck of the year" pour le Transit Connect, va justement commercialiser dès cette année une version électrique de cet utilitaire. Le véhicule sera conçu en partenariat avec Azure Dynamics (http://www.azuredynamics.com/), un spécialiste de la transformation en véhicules électriques. L'autonomie sera limitée à 130 km (80 miles).

Voir la vidéo :





Autre annonce très symbolique : chez Tesla, on a atteint le cap du 1000ème roaster électrique produit. Je connais des fabricants français d'engins de voirie et de voitures de golf électriques qui aimeraient réaliser de tels volumes. L'exemplaire "VIN 1000" est exposé à Detroit et sera vendu 175 000 $. Le montant de la vente sera reversé à des oeuvres caritatives. Le modèle S, censé être plus abordable (sous la barre des 50 000 $) et familial, est aussi sur le salon. C'est celui qu'on voit sur la photo. Mais, il n'arrivera qu'en 2012.



Et GM dans tout ? Le groupe n'a pas de grosses nouveautés à montrer, mais ça avance du côté de la Volt. L'usine de Brownstown, dans le Michigan, a entamé la production de batteries. Le groupe américain a investi 43 millions de $ dans ce site, qui assemble des packs de batteries avec 200 cellules pour la future Chevrolet électrique à prolongateur d'autonomie. Personne ne le sait vraiment, mais General Motors a sorti la grosse artillerie du côté des batteries avec par exemple le labo le plus sophistiqué des Etats-Unis.



Je voudrais terminer ce tour d'horizon électrique (pas la peine de parler de l'hybride, qui commence à être bien connu aux USA), par une citation de... Michelin. Patrick Oliva, le responsable du groupe pour le développement durable que je connais bien, et qui parlé du futur du pneumatique, a évoqué l'actualité du véhicule électrique. Il est convaincu que cette énergie va se développer, mais sous toutes ses formes (électrique à batterie, hybride classique et hybride rechargeable). Il a aussi cité le directeur technique de Nissan, selon qui le moteur électrique dans les roues est la condition essentielle pour que le marché du véhicule électrique décolle. C'est tout bon pour Michelin, qui affirme avoir plusieurs projets avec des constructeurs. Mais, c'est surprenant de la part de Nissan dont aucun véhicule attendu n'est prévu avec cette technologie (pas plus que Renault d'ailleurs).
Affaire à suivre donc.

Aujourd'hui Nous sommes nombreux et Saab à Salon de Provence et Bordeaux!

Dans le train pour la Concession Tadek où il y aura selon toute vraisemblance autant de Saab voire encore plus qu'à Paris hier...

Bonne journée -


Ci-dessous les quelques photos prises de Paris. (Vos plus belles photos sont toujours bienvenues).

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Délocalisations : Renault brise un tabou





L’usine turque de Bursa emploie près de 5800 salariés, deux fois plus que Flins. Photo DR

Des Renault électriques en lieu et place de la prochaine Clio. Flins (Yvelines) contre Bursa (Turquie). Une vraie délocalisation qui sème le trouble.

C’est l’émoi en France : la Clio génération 2013 pourrait fuir l’Hexagone et s’offrir à la Turquie. En temps de guerre, on parlerait d’un acte de désertion. La Clio, il est vrai, est emblématique du « made in France ».



Cette fois, on peut comprendre la colère ambiante : celle des politiques, frustrés de tant d’ingratitude, mais surtout celle des 2900 salariés du site des Yvelines, car il s’agirait bel et bien d’une délocalisation : fabriquer ailleurs un modèle qui l’était ici et continuer à le vendre ici. Ce fut déjà le cas pour la Twingo 2, elle aussi native de Flins mais émigrée en Slovénie.



Patrick Pélata, le directeur général de Renault, jure que rien n’est fait, que Renault ne fermera aucun site français ainsi qu’il s’y est engagé en 2008, en recevant 3 milliards d’argent public, et ne supprimera aucun emploi à Flins. En somme, pas question d’un Vilvoorde à la française, ce site belge fermé en 1997 par le constructeur.



N’empêche, on voit mal Flins remplacer sans dommages la Clio 3 par une ZOE électrique promise pour 2011, à grand renfort d’aides étatiques en tous genres, mais dont le succès commercial reste à prouver. On imagine les salariés et les fournisseurs de Flins pas très emballés par la perspective. Renault explique toutefois que Flins, par ailleurs promu fabricant de batteries, continuera à produire la Clio 3 tant que nécessaire, voire la Clio 4 pour épauler Bursa.



Partant, il s’agirait moins d’une délocalisation que d’un rééquilibrage de la production. Alors, beaucoup de bruit pour rien ?



Le cas du textile

À l’analyse, le cas Clio en évoque un autre : celui du textile. Que la France assure 25 % de la production mondiale du groupe, 55 % de la valeur ajoutée et 86 % des dépenses d’ingénierie de Renault, montre qu’elle est positionnée sur les produits les plus avancés tout comme le textile français s’est progressivement replié sur des niches, en abandonnant les gros volumes pour sauver sa peau face à la concurrence asiatique.



C’est très précisément ce que fait Renault lorsque, avec la bénédiction des pouvoirs publics, il place la France (et Flins) au cœur de sa stratégie électrique, mais, dans le même temps, assure ses fins de mois avec la très basique et roumaine Dacia. Évidemment, on pourra toujours regretter cette incapacité chronique de la France à produire pas cher, alors qu’elle encourage l’achat de modèles populaires au nom de la protection de l’environnement… poussant de fait à la délocalisation.



Pour l’heure, une réalité : 75 % des Renault et 53 % des Peugeot et Citroën sont produites à l’étranger. Fabriquée à Flins (125 400 véhicules en 2009), la Clio 3 l’est aussi en Turquie et en Espagne. Trois usines, mais en 1997, la Clio 1 était assemblée sur six sites européens.



PSA n’est pas en reste, mais à degré moindre que son rival national, et sans avoir cédé jusqu’à présent aux sirènes de la délocalisation pure. Désormais fabriquée en Slovénie, la Peugeot 207 l’est toujours à Poissy et la Citroën C1 tchèque ou la C3 Picasso slovaque, même importées en France, n’y ont jamais été produites. C’est aussi le cas de la nouvelle Fluence, exclusivement produite… à Bursa, dans sa version thermique et électrique (2011).



« La compétitivité d’un véhicule est un élément essentiel pour garantir son succès commercial ; elle est donc un élément déterminant dans les décisions d’affectation industrielle », rappelle Bernard Jullien, directeur du Gerpisa, un organisme de recherche sur l’automobile. Renault rappelle pour sa part que « les décisions de choix des sites de production se prennent sur des bases économiques ».



Résultat, la production française ne cesse de chuter (-35 % en 2009) et l’on voit mal comment on pourrait inverser la tendance, malgré les gesticulations d’un ministre de l’Industrie visiblement plus politicien qu’économiste, quand il affirme que « lorsqu’une voiture française est destinée à être vendue en France, elle doit être majoritairement produite en France ». Très en forme, Christian Estrosi voudrait même que Renault fabrique 75 % de ses voitures en France…



Nationalisme de circonstance

Outre qu’il peut surprendre de la part d’un libéral convaincu, et qu’il est très mal vécu hors des frontières, ce nationalisme de circonstance (les élections régionales approchent…) fait tout simplement fi des impératifs du low cost et des obligations de compétitivité qu’il impose aux constructeurs. Fabriquer un modèle populaire dans un pays à moindre coût, de surcroît hors zone euro et dans une usine ultra moderne, doit bien avoir son intérêt pour Renault.



Carlos Ghosn ne manquera pas de rappeler deux choses demain à Nicolas Sarkozy : les principales rivales de la Clio (Corsa, Polo, Fiesta) ont depuis belle lurette fait un pied de nez au 100 % « made in Germany » ; on ne peut demander à un constructeur de s’internationaliser et, en même temps, de rester français…



Un dossier de Jacques Prost

Présentée lors du dernier Salon de Francfort, la Toyota Prius 3 restylée affiche ses prix. Il faudra débourser entre 27.800 euros et 32.700 euros pour s'offrir la berline hybride japonaise.
Depuis son lancement en 1997, la Toyota Prius s'est vendue à 2,3 millions d'exemplaires dans le monde. Son succès risque encore de durer avec la commercialisation en mars de sa troisième mouture restylée.

Disposant d'un avant repensé avec un nouveau bouclier, une calandre agrandie et l'intégration de LED diurnes dans les phares, la Prius 2012 s'est refait une beauté tout en s'équipant de feux arrière eux aussi complètement redessinés.

Sous le capot, rien ne change. On retrouve donc le système de propulsion hybride développant 136 chevaux et composé d'un bloc essence 1.8 et d'un moteur électrique. Elle affiche toujours une consommation moyenne de 3,9l/100 km pour des émission de l'ordre de 89 g/km de CO2 (92 pour la version 17 pouces).

En revanche, l'intérieur a été revu notamment au niveau du tableau de bord, de la sellerie et de la console centrale parée d'inserts chromés et d'un écran multifonctions avec indicateur EV.

De série, la Prius 2012 s'équipe du Toyota Touch avec lecteur CD/MP3, connectivité Bluetooth et port USB mais également de l'aide intelligente au stationnement ou encore de la climatisation avec télécommande et ventilation à énergie solaire.

La Toyota Prius 3 restylée est disponible en huit teintes avec un certain nombre d'options suivant la finition Lounge ou Dynamic.


Les tarifs de la Toyota Prius 3 restylée :

- Prius III 136h Dynamic 15" : 27.800 euros

- Prius III 136h Dynamic 17" : 28.400 euros

- Prius III 136h Lounge 17" : 32.700 euros

Les options de la Toyota Prius 3 restylée :

- Pack Premium: Système complet "Smart Entry & Start", détecteur de pluie et système audio/CD Premium à 8 haut-parleurs (sur Dynamic) : 800 euros

- Toit ouvrant solaire (nécessite l'option Pack Premium sur Dynamic) : 1.800 euros

- Pack Protection : Seuils des portes avant et du coffre façon aluminium brossé : 150 euros

- Pack Design : Cerclages des projecteurs antibrouillard, baguettes latérales et de hayon chromés : 350 euros

- Radars de stationnement arrière (sauf sur Lounge avec option système de navigation avec aide au stationnement intelligent IPA) : 350 euros

- Toyota Touch & Go PLUS (système de navigation à écran tactile avec info trafic, cartographie européenne, visualisation 3D et reconnaissance vocale, sur Dynamic) : 950 euros

- Système de navigation à écran couleur tactile 7" avec disque dur intégré, système d'information trafic et système d'aide au stationnement intelligent IPA (sur Lounge) : 1.350 euros

- Peinture métallisée : 500 euros

- Peinture noire : 300 euros

- Peinture Blanc Nacré (070) : 750 euros

Nouvelles photos de la Kia

 Quelques jours après avoir publié la photo de l'avant de sa nouvelle Cee'd, Kia nous laisse entrevoir ses flancs et son postérieur. Moins raffinée que sa cousine Hyundai i30, elle reste très prometteuse.Quelques mois avant sa présentation lors du Salon de Genève, la Kia Cee'd 2 fait déjà parler d'elle.

Le constructeur coréen vient en effet de publier les photos de sa berline compacte de profil et de dos.

Par rapport à sa cousine Hyundai i30, la Cee'd de seconde génération affiche des flancs moins sculptés avec une découpe de vitres différente notamment au niveau du fenestron arrière, plus imposant. La poupe reste elle aussi dans le style Kia avec des optiques ressemblantes à celles des Picanto et Rio.

Cette Cee'd 2 n'a vraiment rien du tout à voir avec son aïeule et affiche un design beaucoup plus attrayant et dynamique. Tout le mérite va bien évidemment au coup de crayon de Peter Schreyer.


Sous le capot, la nouvelle Cee'd devrait reprendre toutes les motorisations de la Hyundai i30 : le nouveau bloc essence 1.6 GDI de 135 ch, le 1.4 CRDi de 90 ch, le 1.7 CRDi de 115 ch et normalement le 2.0 turbo de 204 ch du
Hyundai Veloster Turbo
Elle sera présentée au Salon de Genève dans ses versions 5 portes et break pour des commercialisations respectives en mai et septembre 2012.



Provenance du site Turbo.fr

Scoop : le nouveau Porsche Cayman rugit déjà !


Après avoir dévoilé son tout nouveau Porsche Boxster (Type 981), Porsche ne devrait pas tarder à faire de même pour son Cayman. Mais en attendant, voici son rugissement dans les rues de Stuttgart.
Cette semaine a été marquée par l'officialisation de la part de Porsche de son nouveau Boxster (Type 981), le troisième du nom. Son dérivé en dur, le Cayman, devrait donc pointer le bout de son nez d'ici peu de temps.

En attendant, un vidéaste amateur l'a surpris pendant une promenade nocturne en plein centre ville de Stuttgart. Malheureusement, la très faible luminosité nous empêche de voir ce qui se cache sous cette livrée noire.

Il est quand même très possible que le Cayman adopte globalement les mêmes formes que le Boxster. Sous le capot, les flat-6 2.7 et 3.4 de 265 chevaux et 315 chevaux devraient être de la partie. Un vrai plaisir pour les oreilles comme le confirme la vidéo.

Renault osera-t-il a faire revivre la Renault 5 ?

 

Personne n’a oublié la petite Renault 5, dont le créneau est actuellement occupé par la Clio qui s’apprête d’ailleurs à changer de mouture. Et si la marque au losange osait faire revivre sa petite citadine dans un avenir proche ?
La rumeur d'une R5 ressortie par Renault fait parler depuis quelques mois. Aujourd'hui, nos confrères anglais d'Autocar en rajoutent une couche.


D'après Autocar, Renault aurait « confirmé réfléchir à a possibilité d'une nouvelle version de la R5 ». Une Renault 5 qui aurait forcément à composer avec un placement (celui des citadines de segment B, encore que les dimensions dans ce créneau ont considérablement augmenté depuis des décennies !) déjà occupé par la Clio, qui aura droit à sa mouture de quatrième génération cette année.


Toujours d'après Autocar, l'idée ne serait pas de mettre en place une gamme parallèle comme le fait Citroën avec les DS, mais cette R5 nouvelle génération pourrait quand même contribuer à une revalorisation de son image de marque.


Alors, bientôt une R5 au design avant-gardiste dans la gamme Renault, aux cotés de la Clio ? Admettons-le, pour l'instant rien n'est moins sûr.
Provenance du site Turbo.fr

Scoop : Renault Zoé - premières photos


Après la sortie des Fluence Z.E  et Kangoo Z.E et en attendant le Twizy, Renault a débuté les tests routiers de sa Zoé.
La gamme Z.E. de Renault comptera quatre modèles à la fin de l'année : les Fluence Z.E et Kangoo Z.E déjà commercialisés. 

Le Twizy attendu pour le premier trimestre et la Zoé, prévue pour deuxième partie de l'année


Cette dernière a d'ailleurs été surprise cette semaine en Roumanie par le site promotor.ro. Très proche du concept, elle affiche une silhouette de citadine à croquer avec ses 4,10 mètres de long et son museau caractéristique signé Van den Acker.


Si la Zoé décidait de conserver ses attributs moteur, elle serait équipée d'un moteur électrique de 60 kW (80 ch) et 222 Nm de couple. Ce petit bloc devrait la pousser à une vitesse de 130 km/h pour une autonomie de 160 km.


Un peu de patience donc pour la découvrir entièrement mais sachez qu'elle ne devrait pas être proposée à un prix inférieur à 15.000 euros.
Provenance du site Turbo.fr

Premières images de Paris : 207 voitures et 250 personnes !!! ^^ :)

We are many, we are Saab !

merci à telpomme pour la vidéo

La suite arrive d'ici ce soir...

La Saab 9-5 est-elle bobo chic ?

Il y a  deux jours, je suis tombé sur un article de buy buy, "le magazine du luxe et des tendances sur internet". Si je vous en parle, c'est qu'ils ont publié un article sur la nouvelle 9-5 et j'ai très rapidement reconnu certains propos... ^^ Pour lire l'intégralité de l'article, cliquez ici

l'entame est très positive...

"À son actif, la nouvelle Saab 9-5 est sensuellement différente. Elle dégage une réelle présence mêlée d’une étrange douceur qui contraste avec l’excitation ambiante. À bord, Saab surligne son passé d’avionneur par un cockpit que ne renierait par Boeing. Transformé en commandant de bord, on prend goût à la vitesse qui s’affiche à l’horizontale, façon altimètre et à la visée tête haute qui projette les informations sur le pare-brise. En véritable long courrier de la route, la conduite de la Saab 9-5 est très axée sur le confort et la douceur."

...Cela n'a pas duré très longtemps et l'auteur est revenu sur des petits détails qui le dérange mais qui sont pour la plupart d'entre eux, vraiment négligeables au quotidien...

"Les fauteuils électriques ne se règlent pas au millimètre, l’éclairage intérieur manque de subtilité, le son du clignotant est entêtant, certains plastiques sont "cheap" et les ajustements ne sont pas parfaits."

la critique sur le bruit des clignotants  par exemple est étrange car sincèrement, je ne trouve pas du tout cela désagréable, surtout que si c'est comme pour la première 9-5, le temps d'adaptation est très rapide et le "son" deviens tout sauf un problème...  Pour les sièges électriques, s' ils ne se règlent pas parfaitement au mm, c'est pas un problème qui à semblé déranger beaucoup de monde... Je viens encore de lire un article ventant ces fauteuils face à ceux d'une Mercedes classe E...

Rémi, si tu lis cet article, je suis sur que tu aura reconnu qui était l'auteur de ces propos... C'est en effet Renaud Roubadi qui est l'origine de cet article ! Rémi avait déjà écrit à son sujet http://saabactu.blogspot.com/2010/12/renaud-roubadi-donne-un-avis.html

Alors, la 9-5, vous la trouvez bobo chic ?

Sinon, je ne connaissais pas buybuy, mais  il y a des choses intéressantes comme un article concernant l'exposition parisienne sur  Mondrian et le mouvement De Stijl, même si parfois, ils commettent des erreurs... Alex Thomson n'a jamais gagné le Vendée Globe par exemple...

source: buybuy

Lotus 340R



Merci au propriétaire.

Le premier bus de transport public roulant totalement à l'électricité solaire.

Le concepteur Néo-Zélandais "Designline international" vient de développer un bus fonctionnant à l'électricité pour la ville australienne de Minneapolis. Ce bus est en fait une première mondiale puisque l'électricité qu'il utilise n'est produite qu'à partir de l'énergie solaire : Un bus presque bio. Le concepteur a utilisé comme plateforme de production les bus de la marque Man et des composants Siemens.
Son nom est Tindo (ce qui veut dire en langue aborigène soleil) et il peut embarquer à son bord 45 passager dont deux fauteuil roulant pour une distance de 200 km avec une moyenne de vitesse de 76 km/h. Une minute de recharge permet au bus de parcourir un kilomètre de distance. Ce bus qui servira pour de courte connexion sera totalement gratuit pour ses passagers.
Ce type de moyen de transport nous donne une idée sur le potentiel que nous pouvons exploiter des sources d'énergies renouvelables et aussi sur les progrès technologiques qui se font dans ce domaine et en sachant que les bilan écologiques sont de plus en plus satisfaisant à un coûts qui ne fait que baisser.

Ferrari se met aussi au vert.

La firme italienne Ferrari se range à côté des autres constructeurs et nous sort son nouveau bébé écolo la F430. Cette voiture marche au bioéthanol et grâce à ce carburant elle gagne 10 ch en puissance pour fournir 500 ch et 4 % en couple. Ce gain en performance n'a pas affecté sa consommation en carburant, au contraire la voiture affiche une baisse de consommation de 5% par rapport à la consommation de sa jumelle essence.

La F430 pourrait fort probablement resté en tant que concept et ne pas passé ainsi à la production en série puisque là où Ferrai vend le plus, le E85 (carburant composée de 85% d'éthanol biologique et de 15% d'essence) n'est pas très répandue.

Enfin la nouvelle Audi R8.

Sur les stands du salon de Detroit, Audi nous a enfin présenté officiellement sa nouvelle R8. Un bolide à la pointe de la technologie du constructeur allemand et qui enviera certainement plusieurs autres constructeurs.
La nouvelle motorisation diesel qui équipe l'Audi R8 est un V12 d'une cylindrée de 6.0 litres, dont l'énorme volume a contraint le constructeur d'enlever le coffre de la voiture pour pouvoir le placer; il est capable de fournir une puissance de 500 ch pour un couple de 1000 Nm (à 1750 tr/mn) et permet ainsi d'atteindre les 100 km/h en seulement 4.2 et une vitesse maxi frôlant la barre des 300 km/h.
Malgré ses performance, ce monstre, d'après les dires du constructeur, respecte d'ores et déjà la norme Euro IV qui ne sera mise en vigueur qu'au début de 2014 et ceci grâce à son bi-turbo, son bi-FAP et à un système de destruction des NOx (les hydroxydes d'Azote).