samedi 14 juillet 2012

Essai Fisker Karma Ecosport

Elle posait depuis un moment maintenant sur les tapis rouges des salons du monde. Nous pouvons enfin prendre le volant en France de cet engin spatial dont la « gueule » ne laisse personne indifférent. C'est aussi la première GT à faire le pari de l’électrique avec prolongateur d'autonomie. La bonne solution sur ce segment ?






Fisker Karma Ecosport

« C'est la dernière Aston ? » nous demandent plusieurs amateurs de belles mécaniques. Oui et non serait-on tenté de leur répondre. Henrik Fisker, PDG de la marque californienne, est en effet à l’origine du coup de crayon de la Karma après avoir œuvré dans les studios de design BMW puis Aston Martin. Normal donc de voir un peu de Z8, de DB9 ou de V8 Vantage dans la Karma. Mais la comparaison s’arrête là. Cette Fisker dégage vraiment quelque chose d'unique. Ses voies ultra-larges, ses énormes jantes de 22 pouces, ses porte-à-faux réduits au minimum en font une GT des plus imposantes. Avec presque 5 mètres de long sur 2 mètres de large, l'américaine fait honneur à ses origines : c'est plus qu'une Panamera Hybrid ou une Tesla S.


Fisker Karma Ecosport : ses voies ultra-larges

Le tableau de bord

Son toit à capteurs solaires joue aussi beaucoup dans ce style avant-gardiste et, selon le constructeur, permet de générer suffisamment d’énergie pour amortir une consommation annuelle en climatisation (évaluée à 300 km d'autonomie généré par an).

L'intérieur


Boite à vitesse électrique


Vidéo : essai Fisker Karma Ecosport
Source : autodeclics.com

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